Evénements du 22 mars 2025
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Rebecca
11.03.2025 > 23.03.2025
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Peut-on encore mourir d’amour ?
11.03.2025 > 23.03.2025
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Timber de Cie Still Life
11.03.2025 > 22.03.2025
Avec "Timber", la Cie Still Life investit, comme terrain de jeu théâtral, la forêt. Un espace en dehors de toute norme, un milieu sauvage entre utopies et cauchemars. Un lieu aujourd’hui terriblement mis en péril et où le sol peut, à tout moment, se dérober. -
Incas(s)ables
12.03.2025 > 28.03.2025
Qui, pour prendre le temps d’écouter un ou une ado quand ses parents sont absents ? Et si les jeunes prenaient la parole ? Et si un ou une ado de 14 ans acceptait une rencontre citoyenne pour échanger sur sa situation et son avenir ? C’est à cette question que le spectacle « Inca(s)ables » tente de répondre. -
The artist is sleeping
12.03.2025 > 28.03.2025
The Artist is sleeping est l'histoire d'un artiste qui décide de défier le temps. Al Septimo, crée une performance dans laquelle il dormira au sein de ses œuvres, sans vieillir, sans que le temps n'ait de prise sur lui. Il n'aura cependant pas l'occasion de mener son œuvre à terme car il va disparaître. S'ensuit une enquête délirante menée par l'inspecteurice Del Tempo et son assistante Camomille. -
Biographies | Cie EAEO
13.03.2025 > 23.03.2025
Une Jongleuse & un Rappeur déclinent humour décalé & questions existentielles dans un voyage slamé d’un genre nouveau. -
Brussels Art Nouveau & Art Deco (BANAD) Festival 2025
15.03.2025 > 30.03.2025
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Dans la mesure de l’impossible
21.03.2025 > 23.03.2025
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Voyage en chanson française
21.03.2025 > 22.03.2025
Ariane De Bièvre, Barry McNeese, Patrick De Schuyter et Bernard Degavre vous offrent une soirée intimiste et poétique à travers les chansons de Georges Moustaki, Maxime Le Forestier, Beau Dommage, David Mc Neil, Nicolas Peyrac, Yves Simon entre autres et quelques chansons originales de Bernard Degavre. -
Punch Life (Le mur des apparences)
22.03.2025
L’école, Justine y évolue comme dans une jungle. Sitôt la grille franchie, elle se camoufle pour sauver sa peau. Face aux « hyènes », elle se tait et s’efface toujours alors que tout en elle rugit son besoin d’exister.