Evénements du 30 mars 2024

  • Degrees of separation

    01.10.2023  >  07.04.2024

    • Théâtre
    Me, you, and everyone in between us

    Lire la suite

    The ‘six degrees of separation’ theory is a familiar one by now : it only takes a certain number of acquaintances to discover a chain of mutual connection with anybody in the world. The number six may be an arbitrary one, but it’s certain that today we’re more interconnected than ever. Human connection, however, is never a neutral experience. Encounters with other people affect us - some more than others - and sometimes change us. Degrees of Separation takes an acerbic and irreverent look at how we all affect and shape each other – whether we like it or not.
    Lieu
    Théâtre l’Improviste
    Rue de Fierlant, 120
    1190 Forest
    http://www.improviste.be/
  • Cab confessions

    26.11.2023  >  14.04.2024

    • Théâtre
    Two strangers between a truth and a lie

    Lire la suite

    Inspired by Jim Jarmusch’s "Night on Earth", "Cab Confessions" is a fully improvised dramatic theatre performance discovering a taxi as a highly intimate place. A driver and a passenger meet coincidentally and most likely never see each other again. This creates an uncommon space of intimacy amongst strangers. Both can safely touch and reveal parts and corners of their lives which usually remain carefully protected – without the fear of consequences. As the conversation between the two emerges, crucial experiences are touched, come to the fore, take the full stage and fade away. That leaves them both with a physical and emotional journey either inspired, devastated, touched, sad or hopeful as they step back into their ordinary lives. The show investigates and explores those hidden places of our lives which will be played out in front of the audience, inside and outside the taxi.
    Lieu
    Théâtre l’Improviste
    Rue de Fierlant, 120
    1190 Forest
    http://www.improviste.be/
  • Art Nouveau et Bande Dessinée

    01.12.2023  >  31.03.2024

    • Exposition

    Lire la suite

    Installé dans l’un des joyaux architecturaux conçu par Victor Horta, le Centre Belge de la Bande Dessinée évolue entre Art Nouveau et Neuvième Art depuis sa création. Aussi, lorsque Bruxelles célèbre l’Art Nouveau, le CBBD est heureux de proposer à ses visiteurs une exposition inédite, valorisant la richesse du thème et l’inventivité des artistes. Au-delà de la simple représentation de l’Art Nouveau dans la bande dessinée, l’exposition mettra en lumière la relation de ces deux arts en une découverte originale. Elle invitera à une immersion dans l’époque et explorera les sources d’influences et les auteurs majeurs, tel Alphonse Mucha, qui ont inspiré le Neuvième Art. Une sélection de planches et de reproductions permettra de (re)découvrir le travail des auteurs franco-belges qui ont revisité l’Art Nouveau pour livrer des œuvres à son image : fortes, rythmées, colorées, et d’une liberté créative exceptionnelle…
    Lieu
    Musée de la Bande Dessinée (Centre Belge de la Bande Dessinée)
    Rue des Sables, 20
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 19 80
    visit@cbbd.be
    http://www.cbbd.be
  • Chez Colette

    22.02.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    Vous ne riez pas ? Tsss c’est tellement boomer !

    Lire la suite

    Chez Colette : un resto-bistro, ou une maison kangourou ? D’un côté, il y a Manu et Nikita, les jeunes qui ont repris l’endroit avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de mettre à la carte des sujets sociétaux comme la guerre en Ukraine, l’écologie ou la décolonisation… Ils ont mis une annonce : « cherche serveureuses » De l’autre, il y a Claude et Dominique, deux amies récemment retraitées qui viennent d’emménager en face avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de recommencer une nouvelle vie pleine de projets et de mouvement… Tiens, une annonce, ça tombe bien ! Entre les deux, il y a Max, en rupture. Max et ses chiens Max et son désenchantement. Max et sa grandiloquence. Chez Colette, on n’aime pas les idées toutes faites… Alors, Chez Colette, on refait le menu, on bat les cartes, et ça cause crise énergétique, âgisme, appropriation culturelle, chiens, hauteurs de tabourets de bar, Gouzoul Banosch et pâtes au sucre. Ça se toise, ça se bouscule, ça s’apprivoise, ça saute comme des kangourous. Et puis ça s’aime. Et ça, c’est tout sauf boomer.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • Le Misanthrope

    07.03.2024  >  06.04.2024

    • Théâtre
    Après L’Avare et L’École des femmes, Patrice Mincke plonge cette fois dans cet autre chef d’œuvre du grand Poquelin avec Itsik Elbaz dans le rôle-titre. L’action est transposée dans une entreprise d’aujourd’hui (genre Google, Amazon…) où l’hypocrisie, la flatterie règnent en maître, au grand désespoir d’Alceste !

    Lire la suite

    Le Misanthrope est une pièce qui m’accompagne depuis des années. Je l’ai vue pour la première fois en 1985 au Théâtre National de Belgique et, même si la langue de Molière est sans doute restée un peu hermétique pour moi (j’avais 11 ans), je me souviens d’avoir été touché par la détresse d’Alceste et par le mélange d’agacement et d’empathie qu’il suscitait. Le propos aussi m’avait bousculé : il faudrait donc mettre des limites à notre sincérité ? Mais alors, comment éviter d’être hypocrite ? Depuis lors, le Misanthrope s’est souvent rappelé à moi, dans mes relations avec mes amis ou mes collègues : je me reconnais tantôt en Alceste, tantôt en Philinte, parfois aussi en Célimène, et le fait de pouvoir conceptualiser mes actes (« mais je suis en train de faire l’Alceste ! ») m’a parfois permis, je crois, de prendre du recul et de mieux comprendre la situation dans laquelle je me trouvais. Si cette pièce m’a marqué plus qu’une autre, c’est qu’elle occupe à mon sens une place particulière dans l’œuvre de Molière : alors que la plupart de ses autres textes mettent en scène un personnage doté d’un défaut clair (l’avare, le malade imaginaire, le bourgeois, etc.) auquel s’opposent des personnages sensés (les enfants d’Harpagon, Toinette et Béralde, Nicole, etc.), celui-ci fait s’entrechoquer des personnages dont les comportements sont opposés et pourtant tous justifiés. Célimène, Alceste, Philinte, et même dans une moindre mesure Oronte et les marquis, tous ont un comportement défendable et peuvent autant susciter notre empathie que notre désapprobation. Notre point de vue sur l’un et l’autre bascule au fil de la pièce, et nous restons avec moins de réponses que de remises en question. Pour rendre plus épineuse la question de la sincérité, Molière situe son action dans un monde tendu, sous pression, hyper connecté, où chacun est informé des moindres faits et gestes de chacun, où les privilèges obtenus ne sont jamais véritablement acquis, où le critère de réussite n’est pas le mérite, ni le travail, mais bien la popularité et la capacité à « réseauter ». Dans ce monde, les conséquences de la flatterie et de la franchise deviennent concrètes : Célimène, par exemple, ne peut froisser Oronte ni les marquis sous peine de perdre son rang ou son influence, et Alceste, parce qu’il dit ce qu’il pense, est en passe de perdre des procès importants et d’être mis au ban de la société. Plus fondamentalement, Le Misanthrope nous montre ce que la société fait de nous, à quelles compromissions elle nous pousse. Quel enfant a dit un jour « moi, plus tard, je voudrais être un peu lâche, un peu flatteur, pour obtenir l’appui de gens influents afin de m’élever professionnellement, quitte à entretenir un système que je sais toxique et injuste » ? Et pourtant, nous finissons tous par faire des petits tours de passe-passe avec notre conscience et nous tentons de concilier nos valeurs avec notre envie de réussite. On renomme nos actes «mentir » devient « préserver l’autre », « flatter » devient « entretenir une bonne relation »), on se raccroche à l’idée que toute vérité n’est pas bonne à dire, et on suit la « realpolitik » dePhilinte. Mais en chacun de nous vit aussi un Alceste (parfois savamment bâillonné, il est vrai) qui n’est dupe de rien et pointe sans pitié ces petits accommodements peu reluisants. Voilà ce qui guide mon travail autour du Misanthrope : plutôt que de dépeindre un « atrabilaire amoureux » (le sous-titre de la pièce), je voudrais mettre l’accent sur le problème systémique, à savoir l’impossibilité, dans une société qui nous met en concurrence les uns avec les autres, de résoudre la délicate question de la sincérité. Ce n’est pas dans la nature intrinsèque de Célimène de séduire et manipuler, ni dans celle d’Alceste de se brouiller avec le monde entier, mais ils se débattent comme ils peuvent dans une société peu humaine. Patrice MINCKE
    Lieu
    Théâtre Royal du Parc
    Rue de la Loi, 3
    1000 Bruxelles
    Réservation : +32 2 505 30 30
    info@theatreduparc.be
    http://www.theatreduparc.be
  • Samouraï

    12.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre

    Lire la suite

    « Tu veux pas écrire un roman sérieux ? ». Voilà l’ultime conseil prodigué par Lisa à Alan, avant qu’elle le quitte. Depuis, Alan cherche un sujet de «roman sérieux». Le précédent a fait un flop : 104.546ème des ventes sur Amazon. Alors, il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’une épopée profonde et poignante. En même temps, il s’occupera de la piscine de ses voisins. Mais rien ne va : la piscine verdit et accueille rapidement une quantité de bestioles. Dans le même temps, il met une énergie de dingue à fuir les rencontres amoureuses et à gérer sa phobie des scènes de spectacles. Alan s’inscrit dans la prestigieuse lignée des anti-héros. Un personnage à la Tchekhov, dans lequel on retrouve probablement quelque chose des personnages de Fritland de Zenel Laci et du Champ de Bataille de Jérôme Colin, également mis en scène par Denis Laujol au Poche ces dernières saisons.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be
  • Héroïne(s)

    14.03.2024  >  13.04.2024

    • Théâtre
    Ne rockez pas, vous n’avez encore rien vu.

    Lire la suite

    Dans un bureau de police, une salle d’interrogatoire. Delphine Ysaye y fait sa déposition. La sienne et celle de toutes les autres, auxquelles elle s’identifie : les bad girls. Les filles du rock. Les héroïnes. Drogue, sexe, violence… Ces artistes se sont toutes retrouvées un jour dans leur vie face à la police, victimes ou coupables. Sans cesse ballotées entre le délit de sale gueule et l’outrage aux bonnes mœurs. Est-ce la raison pour laquelle ces femmes ont, elles aussi, voulu prendre une guitare et se mettre à crier ? Comment le rock leur a-t-il permis de briser leurs chaines – celles de la morale, des conventions et de leur condition ? Dans ce spectacle résolument musical, Delphine Ysaye nous raconte combien la musique la plus populaire des six dernières décennies invite à la révolte, bouscule, corrompt, abime, résonne. Définitivement rock and girl.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • Recordar c’est vivre à nouveau

    19.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    J’ai du mal à garder les souvenirs en moi, du coup je garde des souvenirs en souvenir.

    Lire la suite

    DUREE - 1h15 PAY WHAT YOU CAN - Tarif entre 8€ et 32€ au choix _______________________________________________________ On connait David Méndez Yépez comme auteur-compositeur-interprète avec son groupe Chicos y Mendez, comme ancien président de la Fédération des étudiant·e·s francophones (FEF), ou pour son implication dans des mouvements citoyens comme «Tout autre chose». Aujourd’hui, il prend la plume et il monte sur scène pour sa toute première création théâtrale. Recordar, ça veut dire “se souvenir” en espagnol. Ca vient du latin "recordari", formé à partir de “re” et de “cordis”. “Re” c’est un préfixe pour dire “à nouveau”. “Cordis” ça veut dire coeur. Recordar, se souvenir, ça veut dire "repasser par le coeur". Quand je me souviens de quelqu’un, je le fais repasser par mon coeur. En anglais, to record, ça veut dire enregistrer. To record a song. Enregistrer une chanson. Quand mon père est mort, ma sœur et moi avons hérité de 200 caisses de souvenirs. Lors de ce spectacle, j’aimerais transformer ces caisses en chansons. _______________________________________________________ AFTER SCENE - Je 21.03 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. FÊTE - Sa 23.03 après la représentation. RENCONTRE - Je 28.03 après la représentation. Autour des thématiques du spectacle, avec David Méndez Yépez et ses invitéEs. _______________________________________________________ Avec David et Marisel Méndez Yépez - Conception, texte et musique David Méndez Yépez - Aide à la recherche et à l’écriture Marisel Méndez Yépez - Mise en scène et aide à la conception Ilyas Mettioui - Dramaturgie Tatjana Pessoa – Scénographie Nathalie Moisan - Création sonore Donald Beteille - Création lumière Suzanna Bauer - Photo visuel Víctor Méndez Villegas. Un spectacle de David Méndez Yépez en coproduction avec Le Rideau, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec l’aide de La Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la création artistique, taxshelter.be, ING, du Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge. Production déléguée et diffusion Le Rideau. Avec le soutien du Musée de la Mémoire (Lugar de la Memoria) et l’Ambassade de Belgique à Lima.
    Lieu
    Le Rideau
    Rue Goffart, 7 A
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 737 16 01
    Réservation : +32 2 737 16 00
    contact@rideaudebruxelles.be
    http://www.rideaudebruxelles.be
  • Alma

    26.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    Le rideau s’ouvre sur la finale d’une émission où la candidate Faust, sur le point de perdre, fait appel au diable pour reprendre pied. Le pacte qu’elle signe va lui permettre une ascension fulgurante.

    Lire la suite

    Le mythe de Faust illustre les inquiétudes et les ambitions individuelles qui caractérisent une époque. Le metteur en scène Fabrice Murgia et l’artiste de cabaret Peggy Lee Cooper s’en emparent et l’imprègnent de l’univers de la télé-réalité et des réseaux sociaux.  Le rideau s’ouvre sur la finale d’une émission où la candidate Faust, sur le point de perdre, fait appel au diable pour reprendre pied. Le pacte qu’elle signe va lui permettre une ascension fulgurante. Mais quel en sera le prix ?  Condensé d’influences multiples, Alma est un spectacle sulfureux et audacieux qui allie traditions du cabaret glamour et comédie musicale à l’anglaise. Coproduction Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • Orphans de STAN

    26.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    En s’emparant de la pièce "Orphans" du dramaturge britannique Dennis Kelly, STAN bouscule les questions morales. Le collectif nous plonge au cœur d’une soirée où la fête tourne rapidement au vinaigre. STAN prend appui sur l’écriture corrosive de l’écrivain anglais pour mener une exploration de la cruauté sociale d’aujourd’hui, de la violence dissimulée au sein d’une intimité familiale.

    Lire la suite

    Helen et son mari Danny célèbrent chez eux la seconde grossesse d’Helen, mais leur diner est interrompu par l’arrivée du frère d’Helen, Liam. Couvert de sang, il affirme avoir trouvé dans la rue un jeune homme blessé. Mais à mesure que Danny et Helen le questionnent, l’émotion s’estompe et l’innocence du jeune homme s’évapore. La vérité de Liam se teinte alors d’ambiguïté. À travers des dialogues chaotiques et réalistes, rendant sur un ton très naturel la communication hachée et trébuchante entre individus, Dennis Kelly dénoue minutieusement un dilemme moral. La frontière entre le bien et le mal y est extrêmement ténue. Les comportements irréfléchis de chacun·e sont une métaphore d’une discussion plus vaste sur le racisme, la discrimination et la dislocation sociale. "Orphans" devient ainsi une réflexion alarmante sur notre aptitude, à toutes et tous, à nuire aux autres. « L’homme est un loup pour l’homme », disait Thomas Hobbes. Grâce à l’intense présence de STAN, le grondement sourd du texte de Dennis Kelly trouve un écho mordant et la fiction n’en révèle que plus amèrement l’aveuglement du réel. « Maybe there’s no good and evil. Just mistakes and not mistakes. »
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be