Evénements du 28 mars 2024

  • Degrees of separation

    01.10.2023  >  07.04.2024

    • Théâtre
    Me, you, and everyone in between us

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    The ‘six degrees of separation’ theory is a familiar one by now : it only takes a certain number of acquaintances to discover a chain of mutual connection with anybody in the world. The number six may be an arbitrary one, but it’s certain that today we’re more interconnected than ever. Human connection, however, is never a neutral experience. Encounters with other people affect us - some more than others - and sometimes change us. Degrees of Separation takes an acerbic and irreverent look at how we all affect and shape each other – whether we like it or not.
    Lieu
    Théâtre l’Improviste
    Rue de Fierlant, 120
    1190 Forest
    http://www.improviste.be/
  • Art Nouveau et Bande Dessinée

    01.12.2023  >  31.03.2024

    • Exposition

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    Installé dans l’un des joyaux architecturaux conçu par Victor Horta, le Centre Belge de la Bande Dessinée évolue entre Art Nouveau et Neuvième Art depuis sa création. Aussi, lorsque Bruxelles célèbre l’Art Nouveau, le CBBD est heureux de proposer à ses visiteurs une exposition inédite, valorisant la richesse du thème et l’inventivité des artistes. Au-delà de la simple représentation de l’Art Nouveau dans la bande dessinée, l’exposition mettra en lumière la relation de ces deux arts en une découverte originale. Elle invitera à une immersion dans l’époque et explorera les sources d’influences et les auteurs majeurs, tel Alphonse Mucha, qui ont inspiré le Neuvième Art. Une sélection de planches et de reproductions permettra de (re)découvrir le travail des auteurs franco-belges qui ont revisité l’Art Nouveau pour livrer des œuvres à son image : fortes, rythmées, colorées, et d’une liberté créative exceptionnelle…
    Lieu
    Musée de la Bande Dessinée (Centre Belge de la Bande Dessinée)
    Rue des Sables, 20
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 19 80
    visit@cbbd.be
    http://www.cbbd.be
  • Chez Colette

    22.02.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    Vous ne riez pas ? Tsss c’est tellement boomer !

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    Chez Colette : un resto-bistro, ou une maison kangourou ? D’un côté, il y a Manu et Nikita, les jeunes qui ont repris l’endroit avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de mettre à la carte des sujets sociétaux comme la guerre en Ukraine, l’écologie ou la décolonisation… Ils ont mis une annonce : « cherche serveureuses » De l’autre, il y a Claude et Dominique, deux amies récemment retraitées qui viennent d’emménager en face avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de recommencer une nouvelle vie pleine de projets et de mouvement… Tiens, une annonce, ça tombe bien ! Entre les deux, il y a Max, en rupture. Max et ses chiens Max et son désenchantement. Max et sa grandiloquence. Chez Colette, on n’aime pas les idées toutes faites… Alors, Chez Colette, on refait le menu, on bat les cartes, et ça cause crise énergétique, âgisme, appropriation culturelle, chiens, hauteurs de tabourets de bar, Gouzoul Banosch et pâtes au sucre. Ça se toise, ça se bouscule, ça s’apprivoise, ça saute comme des kangourous. Et puis ça s’aime. Et ça, c’est tout sauf boomer.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • Le Misanthrope

    07.03.2024  >  06.04.2024

    • Théâtre
    Après L’Avare et L’École des femmes, Patrice Mincke plonge cette fois dans cet autre chef d’œuvre du grand Poquelin avec Itsik Elbaz dans le rôle-titre. L’action est transposée dans une entreprise d’aujourd’hui (genre Google, Amazon…) où l’hypocrisie, la flatterie règnent en maître, au grand désespoir d’Alceste !

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    Le Misanthrope est une pièce qui m’accompagne depuis des années. Je l’ai vue pour la première fois en 1985 au Théâtre National de Belgique et, même si la langue de Molière est sans doute restée un peu hermétique pour moi (j’avais 11 ans), je me souviens d’avoir été touché par la détresse d’Alceste et par le mélange d’agacement et d’empathie qu’il suscitait. Le propos aussi m’avait bousculé : il faudrait donc mettre des limites à notre sincérité ? Mais alors, comment éviter d’être hypocrite ? Depuis lors, le Misanthrope s’est souvent rappelé à moi, dans mes relations avec mes amis ou mes collègues : je me reconnais tantôt en Alceste, tantôt en Philinte, parfois aussi en Célimène, et le fait de pouvoir conceptualiser mes actes (« mais je suis en train de faire l’Alceste ! ») m’a parfois permis, je crois, de prendre du recul et de mieux comprendre la situation dans laquelle je me trouvais. Si cette pièce m’a marqué plus qu’une autre, c’est qu’elle occupe à mon sens une place particulière dans l’œuvre de Molière : alors que la plupart de ses autres textes mettent en scène un personnage doté d’un défaut clair (l’avare, le malade imaginaire, le bourgeois, etc.) auquel s’opposent des personnages sensés (les enfants d’Harpagon, Toinette et Béralde, Nicole, etc.), celui-ci fait s’entrechoquer des personnages dont les comportements sont opposés et pourtant tous justifiés. Célimène, Alceste, Philinte, et même dans une moindre mesure Oronte et les marquis, tous ont un comportement défendable et peuvent autant susciter notre empathie que notre désapprobation. Notre point de vue sur l’un et l’autre bascule au fil de la pièce, et nous restons avec moins de réponses que de remises en question. Pour rendre plus épineuse la question de la sincérité, Molière situe son action dans un monde tendu, sous pression, hyper connecté, où chacun est informé des moindres faits et gestes de chacun, où les privilèges obtenus ne sont jamais véritablement acquis, où le critère de réussite n’est pas le mérite, ni le travail, mais bien la popularité et la capacité à « réseauter ». Dans ce monde, les conséquences de la flatterie et de la franchise deviennent concrètes : Célimène, par exemple, ne peut froisser Oronte ni les marquis sous peine de perdre son rang ou son influence, et Alceste, parce qu’il dit ce qu’il pense, est en passe de perdre des procès importants et d’être mis au ban de la société. Plus fondamentalement, Le Misanthrope nous montre ce que la société fait de nous, à quelles compromissions elle nous pousse. Quel enfant a dit un jour « moi, plus tard, je voudrais être un peu lâche, un peu flatteur, pour obtenir l’appui de gens influents afin de m’élever professionnellement, quitte à entretenir un système que je sais toxique et injuste » ? Et pourtant, nous finissons tous par faire des petits tours de passe-passe avec notre conscience et nous tentons de concilier nos valeurs avec notre envie de réussite. On renomme nos actes «mentir » devient « préserver l’autre », « flatter » devient « entretenir une bonne relation »), on se raccroche à l’idée que toute vérité n’est pas bonne à dire, et on suit la « realpolitik » dePhilinte. Mais en chacun de nous vit aussi un Alceste (parfois savamment bâillonné, il est vrai) qui n’est dupe de rien et pointe sans pitié ces petits accommodements peu reluisants. Voilà ce qui guide mon travail autour du Misanthrope : plutôt que de dépeindre un « atrabilaire amoureux » (le sous-titre de la pièce), je voudrais mettre l’accent sur le problème systémique, à savoir l’impossibilité, dans une société qui nous met en concurrence les uns avec les autres, de résoudre la délicate question de la sincérité. Ce n’est pas dans la nature intrinsèque de Célimène de séduire et manipuler, ni dans celle d’Alceste de se brouiller avec le monde entier, mais ils se débattent comme ils peuvent dans une société peu humaine. Patrice MINCKE
    Lieu
    Théâtre Royal du Parc
    Rue de la Loi, 3
    1000 Bruxelles
    Réservation : +32 2 505 30 30
    info@theatreduparc.be
    http://www.theatreduparc.be
  • Samouraï

    12.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre

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    « Tu veux pas écrire un roman sérieux ? ». Voilà l’ultime conseil prodigué par Lisa à Alan, avant qu’elle le quitte. Depuis, Alan cherche un sujet de «roman sérieux». Le précédent a fait un flop : 104.546ème des ventes sur Amazon. Alors, il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’une épopée profonde et poignante. En même temps, il s’occupera de la piscine de ses voisins. Mais rien ne va : la piscine verdit et accueille rapidement une quantité de bestioles. Dans le même temps, il met une énergie de dingue à fuir les rencontres amoureuses et à gérer sa phobie des scènes de spectacles. Alan s’inscrit dans la prestigieuse lignée des anti-héros. Un personnage à la Tchekhov, dans lequel on retrouve probablement quelque chose des personnages de Fritland de Zenel Laci et du Champ de Bataille de Jérôme Colin, également mis en scène par Denis Laujol au Poche ces dernières saisons.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be
  • La passion de Victor Paléon

    13.03.2024  >  29.03.2024

    • Théâtre
    Une des rares choses dont on puisse être sûrs est que nous avons toutes et tous été enfant. Victor lui a eu une enfance coupée en deux, une longue enfance…presque quarante ans. Au fond, quand se termine l’enfance?

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    Une des rares choses dont on puisse être sûrs est que nous avons toutes et tous été enfant. Que cette enfance ait été douce ou amère, courte ou longue, nous avons vécu cet âge. Et c’est d’enfant dont nous allons vous parler, d’enfant qui vit, qui rencontre le bonheur, les joies et aussi la peur, le malheur, le cri, le silence. C’est l’histoire d’un gamin que nous allons raconter et jouer pour vous, oui jouer comme des enfants… Victor a eu une enfance coupée en deux, une longue enfance…presque quarante ans. Au fond, quand se termine l’enfance? Bien sûr, Victor est devenu un monsieur "bien sous tous rapports", un monsieur "on ne dirait pas". Un bon métier, une famille, être dans la norme... On ne peut pas raconter cette histoire en dix lignes, mais ce qu’on peut dire, c’est qu’il y a sur la scène trois artistes, une fille et deux garçons qui joueront tous les rôles: des messieurs, des dames. Que le décor est comme un grand livre tout écrit, réécrit, raturé. Qu’il se plie, se déplie. Que les costumes sont en papier, tout blanc, comme si on pouvait y dessiner la suite. Qu’il y a de la musique, des airs bien connus. Que l’histoire brise le silence et qu’elle donne la parole à cet enfant qui pourrait être vous, vos voisins, vos amis et amies… Que ça se termine bien. Oh, ce n’est pas un happy end, mais c’est bien à la fin. Ce serait chouette d’ailleurs, lorsque vous viendrez nous voir, qu’on reste un peu à parler après, prendre un verre… Ca nous fera du bien à toutes et tous. Ce qui est sûr aussi, c’est que cette histoire, quand on vous l’aura jouée…vous ne l’oublierez jamais. **************************************** Parce que nous croyons en l'importance du respect des sensibilités comme de l'intégrité des œuvres que nous présentons, nous tenions à vous avertir que ce spectacle aborde la thématique de la pédophilie dans l'église. Vous pouvez ainsi choisir de poursuivre votre réservation en toute connaissance de cause. Sachez également que, volontairement, les artistes ne présenteront rien frontalement et prendront le temps de la discussion à l'issue des représentations. **************************************** Tarif libre - "Choose ce que tu betaalt" De 8 à 25€, payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous parait juste, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous semble utile, ce qui vous semble indispensable, équitable, acceptable!
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 548 25 80
    Réservation : +32 2 548 25 80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be
  • Mario & Maria

    13.03.2024  >  29.03.2024

    • Théâtre
    Mario & Maria est une tragédie comique pour 2 interprètes et 1 DJ. Grâce à un mécanisme théâtral hypnotisant, masculin et féminin se font face. Amour, mort, foi : Sur le ring, tous les coups sont permis.

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    Mario & Maria est une tragédie comique pop, pour deux interprètes et un DJ. Mario et Maria incarnent les stéréotypes du masculin et du féminin et tous les malentendus pouvant découler de leur rencontre. Grâce à un mécanisme théâtral hypnotisant, Mario et Maria redécouvrent la dimension physique du face à face, un espace de confrontation et d'incompréhension entre des identités différentes. Amour, séduction, mort, foi : le spectacle est un ring où tous les coups sont permis. Une dangereuse introspection au plus profond de nos sentiments, un pèlerinage à la recherche de la compréhension de soi et de l’autre, à la recherche du pardon. Avec le soutien de la Maison des Cultures de Saint-Gilles - Les Riches Claires - Ad Lib's ATTIC ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 13/03 - 19h00 jeudi 14/03 - 20h30 vendredi 15/03 - 20h30 lundi 18/03 20h30 mercredi 20/03 - 19h00 jeudi 21/03 - 20h30 vendredi 22/03 - 20h30 mercredi 27/03- 19h00 jeudi 28/03 - 20h30 vendredi 29/03 - 20h30
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 548 25 80
    Réservation : +32 2 548 25 80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be
  • Héroïne(s)

    14.03.2024  >  13.04.2024

    • Théâtre
    Ne rockez pas, vous n’avez encore rien vu.

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    Dans un bureau de police, une salle d’interrogatoire. Delphine Ysaye y fait sa déposition. La sienne et celle de toutes les autres, auxquelles elle s’identifie : les bad girls. Les filles du rock. Les héroïnes. Drogue, sexe, violence… Ces artistes se sont toutes retrouvées un jour dans leur vie face à la police, victimes ou coupables. Sans cesse ballotées entre le délit de sale gueule et l’outrage aux bonnes mœurs. Est-ce la raison pour laquelle ces femmes ont, elles aussi, voulu prendre une guitare et se mettre à crier ? Comment le rock leur a-t-il permis de briser leurs chaines – celles de la morale, des conventions et de leur condition ? Dans ce spectacle résolument musical, Delphine Ysaye nous raconte combien la musique la plus populaire des six dernières décennies invite à la révolte, bouscule, corrompt, abime, résonne. Définitivement rock and girl.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • Thérèse Claus Philipp Maria

    19.03.2024  >  29.03.2024

    • Théâtre
    Thérèse Claus Philipp Maria s’annonce en tant que Scène de genre.

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    Thérèse Claus Philipp Maria s’annonce en tant que Scène de genre. Selon une parfaite unité de temps, celui nécessaire à l’éclusage d’une bouteille de liqueur, le spectacle offre la rencontre improbable entre Thérèse d’Avila, grande mystique et réformatrice de l’ordre des Carmélites déchaussées et Claus von Stauffenberg, officier de la Wehrmacht et initiateur autant qu’auteur de l’attentat contre Hitler du 21 juillet 44, figures ectoplasmiques surgies de leurs couloirs temporels respectifs que quatre siècles séparent et télescopées l’une contre l’autre dans un lieu voué à la représentation de cela, une cage de scène vide. Parés de leur vêture du dernier soir, les personnages recomposent ensemble, au fil de la consommation d’une bouteille de liqueur bue jusqu’à son terme, une autre histoire et opèrent un consensus philosophique où se prophétise, d’une manière tout à fait désenchantée cependant que pertinente, notre propre époque, laboratoire décomplexé de cynisme aveugle au sein duquel danseront et chanteront in fine les enfants, les descendants, soit le chœur des modernes angelots du purin, toutes et tous chaussés de Nike et culottés de langes.
    Lieu
    Théâtre la Balsamine
    Avenue Félix Marchal, 1
    1030 Schaerbeek
    Tél : +32 2 732 96 18
    Réservation : +32 2 735 64 68
    info@balsamine.be
    http://www.balsamine.be
  • Recordar c’est vivre à nouveau

    19.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    J’ai du mal à garder les souvenirs en moi, du coup je garde des souvenirs en souvenir.

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    DUREE - 1h15 PAY WHAT YOU CAN - Tarif entre 8€ et 32€ au choix _______________________________________________________ On connait David Méndez Yépez comme auteur-compositeur-interprète avec son groupe Chicos y Mendez, comme ancien président de la Fédération des étudiant·e·s francophones (FEF), ou pour son implication dans des mouvements citoyens comme «Tout autre chose». Aujourd’hui, il prend la plume et il monte sur scène pour sa toute première création théâtrale. Recordar, ça veut dire “se souvenir” en espagnol. Ca vient du latin "recordari", formé à partir de “re” et de “cordis”. “Re” c’est un préfixe pour dire “à nouveau”. “Cordis” ça veut dire coeur. Recordar, se souvenir, ça veut dire "repasser par le coeur". Quand je me souviens de quelqu’un, je le fais repasser par mon coeur. En anglais, to record, ça veut dire enregistrer. To record a song. Enregistrer une chanson. Quand mon père est mort, ma sœur et moi avons hérité de 200 caisses de souvenirs. Lors de ce spectacle, j’aimerais transformer ces caisses en chansons. _______________________________________________________ AFTER SCENE - Je 21.03 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. FÊTE - Sa 23.03 après la représentation. RENCONTRE - Je 28.03 après la représentation. Autour des thématiques du spectacle, avec David Méndez Yépez et ses invitéEs. _______________________________________________________ Avec David et Marisel Méndez Yépez - Conception, texte et musique David Méndez Yépez - Aide à la recherche et à l’écriture Marisel Méndez Yépez - Mise en scène et aide à la conception Ilyas Mettioui - Dramaturgie Tatjana Pessoa – Scénographie Nathalie Moisan - Création sonore Donald Beteille - Création lumière Suzanna Bauer - Photo visuel Víctor Méndez Villegas. Un spectacle de David Méndez Yépez en coproduction avec Le Rideau, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec l’aide de La Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la création artistique, taxshelter.be, ING, du Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge. Production déléguée et diffusion Le Rideau. Avec le soutien du Musée de la Mémoire (Lugar de la Memoria) et l’Ambassade de Belgique à Lima.
    Lieu
    Le Rideau
    Rue Goffart, 7 A
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 737 16 01
    Réservation : +32 2 737 16 00
    contact@rideaudebruxelles.be
    http://www.rideaudebruxelles.be