Evénements du 18 mai 2023

  • Sex and Jealousy

    13.04.2023  >  27.05.2023

    • Théâtre
    Après vous, mon cher

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    Le grand succès de l’été 2021, joué en plein air à Genval, est aujourd’hui rapatrié à l’intérieur. Quoi de mieux que le confort ouaté du TTO pour découvrir ce classique du Boulevard, où du salon à la cuisine, les couples se font et se défont ? Le sexe et la jalousie dansent en effet un tango sacrément inflammable. Quand Bernard découvre que sa femme Jacqueline le trompe avec son ami Robert, il n’a plus qu’une idée en tête : se venger. Alors Bernard piège Robert et le place devant un affreux dilemme. Soit Robert accepte que Bernard couche à son tour avec sa femme, soit Bernard devra le tuer. Easy, non ? Avalanche de quiproquos, gags en cascade… (re)découvrez ce spectacle mythique, au charme enivrant et jamais démenti des portes qui claquent, redynamisé par six de nos comédiens préférés.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • Co-Lock

    11.05.2023  >  18.05.2023

    • Spectacle
    Nouveau spectacle de la Cie Opinion Public. Cohabiter à 4 dans 3m³ !

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    La compagnie Opinion Public propose un tout nouveau projet : CO-LOCK. Quatre colocataires se partagent une maisonnette de 3m³ et un espace extérieur commun millimétré. Tempérance et charte écologique drastique sont leurs leitmotivs. Ce spectacle est une invitation à décloisonner nos solitudes, à partager notre espace (aussi petit soit-il), à ne pas rester dans nos individualités mais au contraire à embrasser les notions de « collectivité », de « connexion », de « partage » et de les réintégrer dans nos actions envers les autres, dans notre quotidien et dans nos vies, de renouer avec « l'autre », de le reconsidérer comme étant soi-même et de ne pas sombrer dans la misanthropie. L'écologie et de ses dérives, les compromis inhérents à la collectivité, le code pour tous, et de l'impact du numérique sur l'humanité se dessinent en filigranes de la chorégraphie collective. Avec Chorégraphie et mise en scène Collectif Opinion Public Danseurs Etienne Béchard, Johann Clapson, Sidonie Fossé et Victor Launay Son et Lumière Tom Vincke Soutiens SACD, Latitude 50, C. C. de Rixensart, C.C. de Waterloo, La Maison de la création, Académie Yantra, Maison Culturelle d'Ath, Théâtre Marni, CCBW, Ferme de Martinrou, Absoludanse, GC Tenweygaert , Detours, Firm Artlab, Art et Vie, Production16/09.
    Lieu
    Théâtre Marni
    Rue de Vergnies, 25
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 639 09 80
    Réservation : +32 2 639 09 82
    info@theatremarni.com
    http://www.theatremarni.com
  • Mawda, ça veut dire tendresse

    17.05.2023  >  21.05.2023

    • Théâtre
    Report de la saison 21-22 / Interprété en FR/NL/EN et KURDE (kurandji et sorani). Sur-titré FR/NL/EN

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    Mawda Shamdin Ali avait deux ans. Elle se trouvait dans une camionnette qui devait la ramener en Angleterre avec ses parents, son frère et une vingtaine d’autres personnes. La camionnette a été prise en chasse par la police sur une autoroute belge. Un policier a tiré. La balle a atteint Mawda à la tête. Elle est morte. Ses parents et son frère ont été emmenés au cachot. Ils ont reçu un ordre de quitter le territoire. Nous voulons raconter l’histoire d’amour de Prhast et Shamdin, les parents de Mawda, des Roméo et Juliette kurdes. Raconter l’exil. Mais nous voulons aussi comprendre comment un tel drame peut arriver. Comment nos médias s’emparent-ils de tels événements ? Comment ce qui devrait alimenter le débat public sur la politique migratoire se résume à un simple fait divers ? Un spectacle haletant, éclat de dignité dans une tragédie qui ne grandit pas la Belgique. Une formidable distribution. Enlevée, parfois drôle, parfois bouleversante, la pièce reconstitue les pièces d’un puzzle que les rouages politico-judiciaires ont allègrement brouillé. *** LE SOIR C’est un fil tragique et infiniment tendre qui se tend, se distend, se remonte, se noue, se tord. Œuvre forte, œuvre utile. *** LA LIBRE Belgique RENCONTRE Je 18.05 après la représentation. Prise de parole de Sylvie Saroléa, Professeure à l’UCLouvain (droit des migrations, droits humains), cofondatrice de la Clinique juridique Rosa Parks et Avocate au Barreau du Brabant wallon. CONCERT SA 20.05 après la représentation. De et avec Juliette Lacroix et Hussein Rassim. Dès les premiers instants de leur histoire partagée, la musique sert l’universalité́. Et tout en jouant de son violoncelle, Juliette Lacroix, et celui qui est devenu son compagnon, Hussein Rassim, sensibilisent avant tout à la manière d’accueillir l’Autre, quel qu’il soit. Texte et mise en scène Marie-Aurore d’Awans - Texte et réalisation Pauline Beugnies - Avec Aicha Cissé, Mieke De Groote, Thierry Hellin, Deborah Rouach, Leopold Terlinden, Melodie Valemberg, Sayf & Zakaria Hamdard (en alternance) - Dramaturgie Kristin Rogghe - Co-autrices Victoire de Changy, Maud Vanhauwaert - Musique Malena Sardi - Scénographie Zoé Tenret - Conseil à la scénographie Eugenio Szwarcer - Costumes Élise Abraham - Vidéographie Tristan Galand - Recherche Awoulath Alougbin, Mesut Alp, Saif Al-Qaissy, Camille Crucifix, Nyira Hens, Ismaïl L’hamiti, Purni Morell, Sophie Sénécault, Joeri Smet, Frances Timberlake, Hussein Rassim, Christian Roe - Photo visuel Tristan Galand - Photos du spectacle Denis Willems/KVS. Production KVS. Co-production Maison de la Culture de Tournai/Maison de Création, Le Rideau, Mars - Mons arts de la scène. Aides Théâtre des Doms (Avignon), Fédération Wallonie-Bruxelles - Service Générale de la Création Artistique - Direction du Théâtre.
    Lieu
    Le Rideau
    Rue Goffart, 7 A
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 737 16 01
    Réservation : +32 2 737 16 00
    contact@rideaudebruxelles.be
    http://www.rideaudebruxelles.be
  • J’ai une épée

    18.05.2023  >  21.05.2023

    • Théâtre
    Léa Drouet fait peu à peu apparaître sans jamais le montrer directement, ce point absent de l’enfant qui insiste tout en échappant.

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    Le théâtre de Léa Drouet ne pardonne rien. Il est profondément calme, enraciné dans les replis de la matière quotidienne, par souci de nécessité, mais aussi de simple honnêteté du regard. Il est inséparable de la recherche d’une forme de représentation qui ne s’arrête pas à ce qui est « donné » ou à l’archétypal, mais va plus loin, jusqu’à une expérience souvent mystérieuse. C’est de là que tout part. Après Violences présentée au Kunstenfestivaldesarts en 2021, la nouvelle création J’ai une épée est l’un des sommets de ce mystère, celui de l’enfance. Croisant l’enquête de terrain, la fiction et une écriture de plateau qui se trame à la jonction du son, de la scénographie, du texte et du corps, la metteuse en scène et performeuse cherche moins à « regarder les enfants » selon une logique qui, sous couvert de nouvelle attention à donner, demeure celle du ciblage des identités, mais commence par « regarder comment on regarde les enfants ». Quels sont les « entours » de l’enfance ? Quelle forme donne aux enfants la manière dont ils sont observés et représentés, notamment par les institutions supposées les protéger, les éduquer, les encadrer ? Quels cadres  existent, justement, et quels décadrages peuvent s’opérer pour qu’un enfant ait la place d’exister? Que voit-on de l’enfant de 10 ans que l’on accompagne dans un centre psychiatrique ; de celui de 12 ans que l’on a placé en foyer spécialisé ou famille d’accueil ; de celui de 8 ans que l’on conduit à l’aube au poste de police sous l’accusation d’apologie du terrorisme ; de celui de 14 ans que l’on accueille à la maison, en famille, comme « mineur non accompagné » ? Passant d’une histoire à l’autre dans une esthétique du stand-up, une scénographie qui démultiplie le rideau de scène comme autant de castelets, une musique, composée par Èlg, reprenant les codes de « l’ouverture » et de la charge épique qu’on aurait trempée dans un bain de sonorités électroniques synthétiques et colorées, Léa Drouet fait peu à peu apparaître sans jamais le montrer directement, ce point absent de l’enfant qui insiste tout en échappant. Il ne s’agit pas de le rattraper mais peut-être juste de le laisser filer avec tout ce que cela implique de difficulté, de fragilité, de cruauté mais aussi de paillettes, de licornes aux couleurs acidulées et saturées. Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Coproduction Kunstenfestivaldesarts, Théâtre de Liège, Mars-Mons, Le Maillon-Strasbourg, Le Printemps des Comédiens Corealisation Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be