Evénements du 16 février 2022

  • MIMA Reload

    04.02.2022  >  29.05.2022

    • Exposition
    Le musée se dévoile en exposant sa collection permanente. Chacune des oeuvres est une porte d'entrée sur l'univers d'un artiste ou sur le souvenir d'une exposition. Rassemblées par le MIMA, elles donnent une image de la création contemporaine, de l'esprit créatif de l'époque, d'un "Zeitgeist" du Millénium.

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    'MIMA RELOAD' Le musée se dévoile en exposant sa collection permanente. Chacune des oeuvres est une porte d'entrée sur l'univers d'un artiste ou sur le souvenir d'une exposition. Rassemblées par le MIMA, elles donnent une image de la création contemporaine, de l'esprit créatif de l'époque, d'un "Zeitgeist" du Millénium. La caverne Les oeuvres rassemblées au premier étage ont été produites par des artistes qui n'ont pas exposés ici. Elles ont été acquises, pour la plupart, avant l'ouverture du MIMA en 2016. Symboliquement cet étage est baptisé la "caverne" en clin d'oeil à l’allégorie platonicienne critiquant notre connaissance biaisée de la réalité. Dans le mythe, des hommes au fond d'une grotte prennent les ombres sur les murs pour la réalité. Ces illusions du réel, sont comparables pour le MIMA aux peintures du premier niveau qui vantent une culture filtrée par les écrans et les livres plutôt qu'expérimentée sur son propre terrain d'exposition. Le terrain de jeu Les travaux présentés au deuxième étage sont comme des jouets laissés par les artistes exposés au MIMA. À partir de 2016, la collection devient un miroir imparfait du passé ou tous les artistes et toutes les expositions de l’institution n’y figurent pas pour de nombreuses raisons. En pointillé se dessine là le portrait sociétal raconté par l'institution. Les champs Élisée Le projet muséal du MIMA sera-t-il encore adapté à son époque après dix ans d'activité? Pour y répondre, le musée annonce sa fermeture définitive à la fin de 2026! En se fixant une deadline à sa propre existence, le musée s'impose une remise en question qui aboutira soit à se réinventer, soit à disparaître. L'installation du troisième étage imagine l'héritage que laisserait le MIMA s'il ferme ses portes en 2027.
    Lieu
    MIMA the Millennium Iconoclast Museum of Art
    Quai du Hainaut, 39-41
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    info@mimamuseum.eu
    http://www.mimamuseum.eu
  • Hoda Siahtiri No Body’s Body

    04.02.2022  >  25.05.2022

    • Exposition

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    The space holds a series of life-size photographs and a sound composition that convey the patterns and rhythms of lamentation. Laments often accompany the process of mourning with music, song and poetry. No Body’s Body is a reflection and an embodiment of mourning in the form of a lament, where individual and collective memories come together in a practice of healing. Hoda's own body is also part of her research. In a series of photographic portraits, she poses in various outfits illustrating different phases in a person’s life and in the unfolding of historical periods. The pictures blend with the uncanny atmosphere created by an immersive soundscape that represents ‘the song of the mothers’. It is a collection of sounds that draws on the tonalities of earth, water, minerals, alongside recordings of lamentations sung by Bahktiari women. By wearing these traces of the past and using personal sound recordings, the artist becomes herself a living archive and a body of transmission. She performs a practice of "auto-ethnography", claiming the codes of ethnography - a discipline that has a tradition of reducing, patronizing or labelling persons and communities as exotic - to tell her own story. Thus, No Body's Body invites us to enter a layered bodyscape of loss, healing and memory. WHO? Hoda Siahtiri is a multidisciplinary artist based in Brussels. She would like to call herself a diseuse, someone who narrates stories muted somewhere in the past. Hoda studied Cinema in Tehran and holds a Documentary Film Directing master degree from Docnomads. She has directed a number of short films shown in international festivals. In 2017, she joined the artistic research platform a.pass and since then, she has been putting forward her ideas through the medium of performance and audio-visual arts. She has performed in different venues including the Belgian Royal Museum of Fine Arts and BOZAR. Since 2020, she is a PhD researcher at Sint Lucas Antwerpen and University of Antwerp where she is working on her project Singing The Silences . https://www.instagram.com/siahtiri.hoda/ Photo credit: Manuel Bischof
    Lieu
    Beursschouwburg
    Rue Auguste Orts, 20 28
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 550 03 50
    info@beursschouwburg.be
    http://www.beursschouwburg.be
  • Frantz

    04.02.2022  >  21.05.2022

    • Cinéma
    The First World War has ended: a demobbed Frenchman arrives in a German village and meets a young woman who is mourning the death of her brother... 

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    La première guerre mondiale a pris fin : un Français démobilisé arrive dans un village allemand et y rencontre une jeune femme immergée dans le deuil de son frère… Le film prend pour point de départ un roman qui avait déjà inspiré un classique de Lubitsch (L’homme que j’ai tué, 1931). Le noir et blanc d’un raffinement extrême suffirait à le placer très haut dans la hiérarchie d’un genre noble devenu trop rare : le mélodrame. 6 Césars. Quant à l’exquise Paula Beer, elle a réalisé un doublé rare : meilleur espoir féminin aux Césars et à Venise. Flagey, Cinematek € 7 > € 5,5
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 10
    Réservation : +32 2 641 10 10
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • La Mesure des Choses

    05.02.2022  >  18.05.2022

    • Cinéma
    Comme une promenade poètique tout autour de la Méditerranée, le nouveau documentaire de Patric Jean pose la question : notre volonté de mesurer le monde pour le maitriser n’est-elle pas tombée en démesure ?

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    Comme une promenade poètique tout autour de la Méditerranée, le nouveau documentaire de Patric Jean pose la question : notre volonté de mesurer le monde pour le maitriser n’est-elle pas tombée en démesure ? Ne va-t-elle pas vers une perte de sens pour l’être humain qui nous nous brûler les ailes ? Flagey, Cinematek € 7 > € 5,5
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 10
    Réservation : +32 2 641 10 10
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • Hogwarts : An Improvised History

    09.02.2022  >  06.04.2022

    • Théâtre

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  • L’Amant double

    10.02.2022  >  22.05.2022

    • Cinéma
    Adapté d'un roman de Joyce Carol Oates, L'amant double prend la figure psycho-pathologique du "jumeau cannibal", comme base d'un thriller.

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    Adapté d'un roman de Joyce Carol Oates, L'amant double prend la figure psycho-pathologique du "jumeau cannibal", comme base d'un thriller. Ozon y gomme délibérément les frontières entre fantasme, réalité et psychose, pour nous plonger dans les désordres de ses protagonistes. Flagey, Cinematek € 7 > € 5,5
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 10
    Réservation : +32 2 641 10 10
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • Outwalkers

    10.02.2022  >  14.10.2022

    • Spectacle
    Après la trilogie célébrée Coloured Swan, la chorégraphe Moya Michael invite Camilo Mejía, Holland Andrews et Loucka Fiagan à construire, décaler, briser, tomber, se redresser, chanter, danser, déconstruire et reconstruire ensemble dans une tentative de se souvenir la signification de se rassembler.

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    Michael se concentre principalement sur le processus et la dynamique, non seulement entre les artistes, mais aussi entre les artistes et le public. L'œuvre de Moya est une ode au droit à la vie intérieure et à l'opacité des personnes noires, indigènes et de couleur.
    Lieu
    KVS
    Quai aux Pierres de Taille, 7
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 11 12
    Réservation : +32 2 210 11 12
    info@kvs.be
    http://www.kvs.be
  • Notre collection en question

    10.02.2022  >  30.07.2023

    • Exposition
    Dans le cadre de la campagne Museum in Questions lancée à l’automne 2021, les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique sont soucieux de participer au débat qui entoure les questions de société actuelles.

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    Deux salles d’exposition contextualisent ainsi deux sujets brûlants pour les musées du monde entier : en apportant un éclairage scientifique sur les questions de colonialisme et de diversité, d’une part, et de la problématique des restitutions des biens culturels pillés pendant la Seconde Guerre Mondiale, d’autre part, les MRBAB se veulent un laboratoire de réflexion qui permettra de participer à la construction du musée de demain, en insistant sur ce que la recherche scientifique, mission primordiale du musée, peut apporter au débat contemporain. ŒUVRES SPOLIÉES : COMMENT PROCÉDER À LA RESTITUTION DES BIENS CULTURELS PILLÉS PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE ? La problématique des restitutions n’est pas neuve et est en réalité plus large que le cas le plus proéminant, celui des pillages commis pendant la Seconde Guerre mondiale et durant l’existence du IIIe Reich. Les maîtres anciens et les peintres modernes réunis en une salle témoignent de la complexité et de l’actualité toujours existante de la problématique 76 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour identifier les œuvres dont le parcours est contestable, une seule solution : en connaître la provenance. Savoir entre quelles mains une œuvre a circulé depuis sa sortie de l’atelier jusqu’à l’instant présent constitue un travail essentiel mais ardu, qui suscite aujourd’hui encore de nombreuses interrogations. Le cas très concret du tableau de Lovis Corinth présenté ici est révélateur de la complexité du processus de restitution. Existe-il des accords internationaux en la matière ? Les pillages étaient-ils organisés ? Le marché de l’art était-il impliqué ? Où en sont les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique? Autant d’interrogations que nous tentons d’éclairer dans cette salle thématique. Musée Old Masters – Salle 51 POURQUOI REVOIR LE TITRE D’UN CHEF D’ŒUVRE DE RUBENS ? Des titres d’œuvres d'art sont remis en question dans les musées du monde entier : la responsabilité des musées à être inclusifs et non-discriminants s’est intensifiée par les mouvements sociaux tels que #metoo ou #BlackLivesMatter. L’œuvre de Rubens présentée dans cette salle et rebaptisée une deuxième fois depuis 2007 est un exemple typique de ce qu’un titre peut rappeler au public d’une expérience coloniale pénible. Reconnaissant cette réaction du public, les Musées royaux s'engagent à appliquer une politique d'inclusion étayée sur des faits et contextes historiques, et contribuant ainsi à un débat scientifiquement fondé. Pourquoi le titre d'un chef-d'œuvre de Rubens fait-il plus que jamais l'objet de discussions ? Pourquoi cette esquisse à l'huile n'avait-elle pas de titre à l'origine, et quelle était sa fonction dans l'atelier de Rubens ? Quelles étaient les intentions initiales de Rubens et quelle place les personnes originaires d'Afrique avaient-elles dans sa pensée et son œuvre ? Autant de questionnements autour desquels nous désirons susciter la réflexion. Musée Old Masters – Salle 60
    Lieu
    Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique
    Rue de la Régence, 3
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 508 32 11
    info@fine-arts-museum.be
    http://www.fine-arts-museum.be
  • Pierre Devis (1846-1919) et Auderghem aux 19e et 20e siècles

    11.02.2022  >  13.03.2022

    • Exposition

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    Pierre Devis (Watermael-Boitsfort-Auderghem 1846-Auderghem 1919) Décorateur de théâtre et peintre, Pierre Devis dirigea l’atelier de décors du Théâtre royal de la Monnaie de 1875 à 1905 avec, comme associés, Fontaine et Lynen. En 1905, il quitte La Monnaie, s’installe à Auderghem et se consacre uniquement à la peinture. La commune et, en particulier, les environs de Rouge-Cloître, où il fréquente Jean Degreef, Jean Delescluze, Jean Laudy et Léon Houyoux, ainsi que les natures mortes et les bouquets de fleurs deviendront alors ses principales sources d’inspiration. En 2001, la collection communale s’est enrichie de nombreuses œuvres de l’artiste ; la donation, initialement transmise en legs à l’a.s.b.l. Conseil de Trois-Fontaines, fut ensuite transmise à la Commune. Cette donation comprend principalement des œuvres de cette période la vie de l’artiste où il fut un peintre paysagiste réaliste. Ces œuvres, réalisées d’une facture tout en finesse sont à la fois des témoignages de paysages du début du 19ème siècle et un régal pour les yeux. En 1913, la Commune d’Auderghem rend hommage à l’artiste en donnant son nom à une rue qui relie le boulevard du Souverain à la rue J. Bassem. A ces peintures empreintes de poésie, répondent des cartes postales anciennes agrandies, ce qui permet d’en percevoir toute la richesse. Elles nous projettent dans le passé de la Commune d’Auderghem et nous font voyager dans le temps à travers différents lieux d’Auderghem tels qu’ils furent autrefois
    Lieu
    Centre d'Art de Rouge-Cloître
    Rue du Rouge-Cloître, 4
    1160 Auderghem
    Tél : +32 2 660 55 97
    info@rouge-cloitre.be
    http://www.rouge-cloitre.be
  • La Farce du Pâté et de la Tarte (ou pas)

    12.02.2022  >  20.03.2022

    • Théâtre
    La pièce raconte l'histoire d'une femme, de son mari, de leur ami Blaise, d'un pâté de lièvre, de voleurs imaginaires et d'une tarte également imaginaire... Ou pas. Les deux marionnettistes tentent de vous raconter cette aventure. Maladroits, certes. Idiots, surement. Mais une chose est sûre, c'est qu'ils le font avec conviction. Ou pas.

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