Evénements du 20 mars 2021
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Eddy Bellegueule
09.03.2021 > 20.03.2021
« Pourquoi ma vie est une question alors que celle des autres une évidence? » Edouard Louis -
Fstn
09.03.2021 > 03.04.2021
Une fresque aux couches multiples faite d’éléments typographiques et illustratifs en dialogue avec des problématiques sociétales. Une invitation faite au public à déconstruire, arracher les couches successives pour laisser découvrir ce qu’il y a dessous. S’inspirant des décollagistes français tel Jacques Villeglé, Fstn propose une intervention collaborative, à la fois abstraite, plastique et aléatoire, qui profitera des accidents pour trouver sa propre narration. -
Mon ange
10.03.2021 > 24.04.2021
Voici, inspirée d’une histoire vraie, l’incroyable destin d’une jeune fille comme les autres, qui deviendra malgré elle le symbole de la résistance lors du siège de la ville syrienne de Kobané en 2015. -
La vie comme elle vient
11.03.2021 > 17.04.2021
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Final cut
16.03.2021 > 02.04.2021
Prix Maeterlinck de la critique scène 2019 Meilleur spectacle / Meilleure actrice Un spectacle événement, Prix Maeterlinck de la critique scène 2019 du meilleur spectacle et de la meilleure actrice. -
Nasha Moskva
16.03.2021 > 20.03.2021
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Africa simply the best
16.03.2021 > 20.03.2021
Initié en 2015 par Serge Aimé Coulibaly pour repérer de nouveaux talents de la danse, le concours chorégraphique Simply the Best initialement organisé à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso s’est ouvert à tout le continent africain en 2019. Rebaptisé Africa Simply The Best il a permis à son jury de choisir les trois meilleurs solos de danse contemporaine parmi les 14 présélectionnés. Les trois lauréats du concours ont bénéficié d’un coaching professionnel avant d’entamer leur tournée pour présenter leurs pièces respectives. Avec Le Départ, le Camerounais Zora Snake met en mouvement un moment charnière de la vie, celui de l’étincelle avant une reconstruction. Une performance à vif à partir d’un texte proféré pour s’élever contre le système injuste de nos sociétés. À qui le tour ? explore les affres et les spasmes d’un corps en deuil après la perte d’un être cher. Choc, colère, souvenirs, dépression, acceptation et renaissance, la Camerounaise Agathe Djokam interprète les étapes de ce difficile processus. Enfin, le Burkinabè Charlemagne Kevin Kabore entame avec Corps en mutation une réflexion sur l’être humain dans sa diversité. Par le biais de la cendre qu’il utilise pour délimiter l’espace et comme outil de purification et de protection, il symbolise un pont entre le monde des vivants et l’au-delà. -
Hidden Paradise - Alix Dufresne + Marc Béland
18.03.2021 > 20.03.2021
Le spectacle est présenté dans le cadre des soirées thématiques Politiques du pire et de l’espoir. Autour de problématiques interpellantes d’aujourd’hui, Les Brigittines proposent quatre propositions particulières dans leur forme et aiguës dans leur propos. -
Pleasant Island - Slke Huysmans & Hannes Dereere / CAMPO
18.03.2021 > 20.03.2021
Le spectacle est présenté dans le cadre des soirées thématiques Politiques du pire et de l’espoir. Autour de problématiques interpellantes d’aujourd’hui, Les Brigittines proposent quatre propositions particulières dans leur forme et aiguës dans leur propos. -
A concert called landscape
18.03.2021 > 20.03.2021
« C’est un jour brumeux en automne, mon environnement a disparu dans la brume. (…) À midi, le soleil perce enfin, les nuages s'éloignent et l'horizon s'étend jusqu'à la ligne éloignée à l'intérieur de laquelle toutes choses sont unies dans un grand contexte : le monde est devenu un paysage ». Inspiré par ces mots de la Philosophie du paysage de Ton Lemaire et dans la lignée de son spectacle An Old Monk, Josse De Pauw offre une voix et une musique à notre cartographie intime. Le vieux grenier de l’enfance, une chambre apaisante ou le calme d’une forêt qui confèrent à notre monde une familiarité tranquille. Entre concert et déclamation théâtrale, Joss De Pauw et le Kris Defoort Trio distillent la nostalgie, encouragent à la contemplation comme un acte de résistance à la frénésie du monde. De l’infiniment grand d’une étendue maritime aux détails d’une scène d’enfance, l’accord rythmé des mots avec le langage sonore des musiciens jazz nous entraîne dans une rêverie tantôt tendre et tantôt lyrique, dont les accents demeurent ancrés bien après la dernière note.