Evénements du 24 février 2021
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Exposition /Paradise City - Sébastien Cuvelier
05.01.2021 > 06.03.2021
Dans les années 70, l’oncle de Sébastien Cuvelier est parti explorer l’Iran, tenant un journal de son périple. Inspiré par ce manuscrit, l’artiste y est retourné à plusieurs reprises pour construire sa propre image du pays. À travers ce projet combinant archives et vision personnelle, il crée un dialogue entre l’Iran d’avant la chute du Shah et d’aujourd’hui, à la recherche d’une version insaisissable et onirique du paradis. → En partenariat avec le Musée de la photographie de Charleroi -
Armando
10.01.2021 > 01.03.2021
Saison 2020/21 Derrière chaque mot, il y a une histoire, derrière chaque histoire un univers. La LIP : Ligue d'Improvisation Professionnelle -
FLUXFILM, Hommage à l’anthologie
04.02.2021 > 28.02.2021
Héritiers auto-proclamés des courants de pensée anti-art introduis par les dadaïstes au début du XXe siècle, les artistes, poètes, compositeurs et cinéastes de Fluxus font du film leur médium de prédilection, un « art au mètre », pour parachever la dissolution d’une séparation entre l’art et la vie. -
Dernière récolte
17.02.2021 > 06.03.2021
Un western social made in Belgium sur fond de blues aux relents de houblon et de sauce andalouse. -
Pour en finir avec la question juive
17.02.2021 > 27.02.2021
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La Cour des Grands
23.02.2021 > 06.03.2021
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Les Arrière-Mondes
23.02.2021 > 27.02.2021
Un groupe compact de six personnes déboule du fond de la nuit et se retrouve propulsé sur un chemin balisé, en forme de triangle, que chacun·e suit sans jamais perdre le contact avec les autres. Ces êtres perdus, plus morts que vivants, traversés par l’effroi, sont comme projetés dans l’existence. Où leur voyage incessant va-t-il les mener ? -
« Normal »
23.02.2021 > 06.03.2021
Mêlant théâtre d’objets, actrices, vidéo et marionnettes, la création d’Isabelle Darras raconte l’histoire de trois femmes déclassées, reléguées comme les accessoires qui les entourent au service des objets trouvés. Claire, cascadeuse équestre au chômage à la suite d’une chute, reconvertie à l’accueil y fait la rencontre de ses collègues, Christelle, correctrice de roman, et Teresa, chauffeuse de bus, tout aussi parachutées qu’elle au guichet de ce sous-sol. Comment ces femmes aux parcours « atypiques » vont-elles mettre en œuvre de petites résistances quotidiennes, à l’heure du tout jetable ? Au centre du travail d’Isabelle Darras, un questionnement sur la fragilité des êtres face à la machine sociale et bureaucratique. Nourrie par cette phrase d’Annie Ernaux « De nos jours, les objets n’accèdent plus au vieillissement », elle construit ici un dispositif dont l’esthétique monochrome puise notamment dans l’univers de Nous Les Vivants de Roy Andersson, entre néo-vintage et rétro-futuriste. Elle y dépeint une sorte de no man’s land dans lequel la trajectoire des objets, comme celle des personnes, témoigne d’un égarement et de la quête d’une résistance à l’absurdité d’un système qui broie.