Evénements du 6 février 2021
-
Stanley : small choice in rotten apples
26.01.2021 > 06.02.2021
-
A travers la pierre
27.01.2021 > 12.02.2021
Il s'agit là d'un spectacle visuel et musical qui tend à mettre en lumière ces êtres de l'ombre. -
Vinci avait raison
27.01.2021 > 12.02.2021
Les Moreau et les Boulin se réunissent pour un dîner à la campagne qui s’annonce délicieux. Sauf que les toilettes sont bouchées, il faut déranger les voisins. Au moment de passer à table, c’est le choc : un caca gît sur la nappe. -
Saule, pieds nus dans les aiguilles
29.01.2021 > 13.02.2021
Un spectacle délicat et plein de fantaisie, un conte cruel qui explore les vertiges et les gouffres propres à l’adolescence. -
Doe de groeten aan de ganzen
31.01.2021 > 20.02.2022
-
Nothingness
02.02.2021 > 06.02.2021
-
Je ne haïrai pas
02.02.2021 > 13.02.2021
Izzeldin Abuelaish est palestinien, né à Gaza. A force de ténacité, il réussit à devenir médecin, spécialisé en gynécologie obstétrique. Il est un spécialiste mondial de l’infertilité. Il donne la vie… Puis il y a l’opération Plomb Durci. Un tank tire deux obus sur sa maison, tuant trois de ses filles et une de ses nièces, et blessant grièvement plusieurs autres de ses enfants. -
All Inclusive
02.02.2021 > 06.02.2021
All inclusive interroge l’esthétisation de la violence et la puissance explosive des images de guerre. Partant du principe que la destruction peut recéler de la beauté et que les événements les plus horribles peuvent avoir un immense potentiel esthétique, quelques kilos de débris de guerre de Syrie sont transformés en « art » et s’invitent dans la visite guidée d’une exposition d’art contemporain. -
Journal d’un lit vide
02.02.2021 > 06.02.2021
Il est seul près d’un lit vide, au milieu de boîtes contenant des morceaux de tissus sur lesquels sont écrits des mots en arabes. « Notre tête est une boîte pleine de boîtes ». Dans chacune d’elle, un contenu différent : un événement, un son, une odeur, des morceaux de vie… Mokhallad Rasem recueille des notes personnelles depuis vingt ans : il note les images quotidiennes qui apparaissent dans ses rêves, les souvenirs qui surgissent et les impressions qui tombent dans son imagination de la réalité quotidienne. Entre un lit vide et des boîtes pleines de souvenirs, Mokhallad Rasem exprime des pensées profondes et des émotions intenses, parfois encore des observations et des fantasmes surprenants. Et tout cela pour la première fois dans sa langue maternelle, l’arabe. Journal d’un lit vide est une invitation poétique à penser au temps qui passe, à la distance et à l’intimité, à la nécessité de dire au revoir et de recommencer. -
Festival d’humour
02.02.2021 > 13.02.2021
Une scène ouverte à l'humour