Evénements du 29 novembre 2025

  • Bockstael : Art Déco pour tous

    21.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    Au 19e siècle, à l’instar de ses voisines, Laeken devient une vraie commune ouvrière, de par sa proximité avec le canal et les infrastructures ferroviaires. Le problème du logement des travailleurs se fait dès lors de plus en plus prégnant : dans un premier temps, des propriétaires privés font construire des ensembles de maisons modestes à front de rue, mais aussi dans des impasses, où les conditions de vies deviendront tristement célèbres. Il faut attendre les années 1920 et la création de la Société Nationale des Habitations et des Logements à Bon Marché pour voir les conditions de logements des ouvriers s’améliorer. À Laeken, c’est le Foyer Laekenois qui est à la manœuvre : il édifie de nombreux ensembles de logements d’une grande qualité architecturale. A travers cette visite, l’ARAU vous invite à découvrir l’histoire du logement ouvrier à Laeken, des maisons ouvrières du 19e siècle aux magnifiques ensembles Art Déco, modernistes ou régionalistes, dessinés par des architectes de renom, tels Joseph Diongre, Jean-Baptiste Dewin, Joseph Van Neck ou encore Paul Bonduelle. Preuve supplémentaire que l’Art Déco n’est pas réservé aux habitations des classes supérieures, la visite se terminera par la découverte de l’ancienne école Karel Bogaerd Rijksnormaalschool voor Meisjes (actuellement école néerlandophone), magnifique bâtiment public de l’entre-deux-guerres.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Quartier Lepoutre : le petit Paris bruxellois

    22.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    L’avenue Louis Lepoutre à Ixelles constitue l’épine dorsale du quartier de Berkendael. Ses hôtels particuliers et immeubles de rapport, commandités par une élite à la veille de la première guerre mondiale, sont très représentatifs d’une époque et d’un art de vivre « à la belge », inspiré par Paris, mais pas seulement. Ce quartier, où le style Beaux-Arts est roi, possède un patrimoine « début de siècle » exceptionnel ainsi que quelques chefs d’œuvre, comme la maison Wolfers dessinée par l’architecte Henri Van de Velde
    Lieu
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    1050 Ixelles
    http://www.arau.org
  • Anderlecht-sur-senne

    22.06.2025  >  14.12.2025

    • Visites Guidées

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    Aux confins d’Anderlecht, du boulevard industriel à la chaussée de Mons, l’ARAU vous emmène gamberger le long de la Senne, franchir une écluse, arpenter une cité-jardin historique (et une école Art Déco !), ou encore explorer des potagers collectifs… L’occasion de s’interroger du devenir de ces zones d’entre-deux : lieux de relégation de fonctions et de typologies urbaines pas toujours assumées ailleurs, elles offrent également d’importantes réserves foncières et sont, à ce titre, l’objet de toutes les convoitises.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Bruxelles, la Congolaise

    05.09.2025  >  13.12.2025

    • Expositions
    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique.

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    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique. Cette expo donne une fresque de cette présence, dont les parcours migratoires si différents ne sont pas comme ceux des autres communautés vivant à Bruxelles. Une initiative du MigratieMuseumMigration en collaboration avec Bakushinta asbl. Vernissage : vendredi 5 septembre à 17h00 Réservations : res.museum@foyer.be
    Lieu
    MigratieMuseumMigration
    rue des ateliers, 17
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 609 55 61
    museum@foyer.be
    http://www.migratiemuseummigration.be
  • German Tuners from the ’80s and the ’90s

    05.09.2025  >  14.12.2025

    • Expositions
    Dans les années 80, des préparateurs allemands comme Koenig, Mattig et Brabus ont créé des voitures larges, colorées et extravagantes, prisées par les excentriques fortunés. Autoworld leur rend hommage avec une expo (5/9–14/12) présentant 15 icônes, dont la Quattro Roadster de Treser, la Manta Manta de Mattig et la Rainbow Porsche de Buchmann.

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    Les voitures n'étaient guère passionnantes dans les années 80. Peut-être la situation politique mondiale était-elle si tendue que les constructeurs automobiles préféraient jouer la carte de la sécurité. Sauf dans certaines régions reculées d'Allemagne. Alors que les grandes marques remplissaient leurs showrooms de voitures solides mais assez ennuyeuses, une vingtaine de préparateurs se sont déchaînés avec des turbos puissants, des jantes énormes, des kilos de polyester profilé, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, des portes capables de surpasser celles des aigles, des installations hi-fi capables de faire trembler Rock Werchter et des spoilers qui chatouillaient les nuages. Tout était possible et beaucoup trop n'était pas encore assez. Néanmoins, ce mouvement a touché la corde sensible des cheikhs fortunés et des Allemands aux coiffures douteuses et à l'étrange penchant pour les queues de renard. Du moins pendant un certain temps : au milieu des années 90, la chanson spectaculaire de la plupart des préparateurs était déjà terminée. Les voitures comme phénomène de mode éphémère : c'était du jamais vu. Depuis lors, ces préparateurs allemands, à l'exception d'AMG, Ruf et Alpina, ont été mis au ban de la société et ont même été gentiment ridiculisés par les connaisseurs automobiles. Aujourd'hui, cependant, de plus en plus d'amateurs reconnaissent la valeur technologique et culturelle des créations les plus folles de Koenig Specials, Mattig, Irmscher, Strosek, Gemballa, Brabus, Treser et tant d'autres. Autoworld est le premier musée automobile européen à célébrer ce regain d'intérêt pour les préparateurs allemands avec une exposition thématique. Du 5 septembre au 14 décembre, nous présenterons une quinzaine des plus belles voitures de cette période déjantée. Une Audi Quattro vaut toujours le détour, mais une Quattro Roadster avec toit ouvrant automatique de Treser est aussi rare qu'ingénieuse. La légende du tennis Yannick Noah en possédait une. Peut-on faire plus glamour ? L'icône ultime de la culture du tuning : la Manta Manta de Mattig. D'une largeur presque ridicule, plus colorée que les Dolly Dots et plus extravagante que Borat, mais tellement emblématique qu'elle a joué un rôle principal dans deux longs métrages. Peut-on faire plus extravagant ? Tout aussi colorée et emblématique, mais très chic : la Rainbow Porsche 911 Turbo Targa de Buchmann & Buchmann. Elle aussi a joué un rôle principal dans un long métrage : Carnapping. Peut-on faire plus élégant ?
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be
  • Y’a d’la joie

    02.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    Dis-moi Charles, y a-t-il a encore de la joie ? Et le Soleil et la Lune, ont-ils toujours rendez-vous ? Et c’est vrai que les poètes ont disparu ? Ce à quoi vous allez assister n’est ni un concert ni un tour de chant : c’est une source d’euphorie tout droit jaillie de la plume et de la verve de Charles Trenet. Greg Houben nous ouvre grandes les vannes d’un torrent de bonne humeur ! Tout est de Charles Trenet. Tout, sauf ce qui est de Greg Houben et Éric De Staercke. Et surtout, ne pensez pas que c’est du fané, du dépassé, du suranné... C’est éternel, universel, intemporel. Vous serez plongé dès la première seconde dans un réservoir de joie, un pipeline de folie, une fontaine d’enthousiasme, un ruisseau de poésie et de douceur. Alors, si vous vous demandez s’il y a encore de la joie ici-bas, ce qu’il reste de nos amours, de nos beaux jours, si le Soleil a toujours rendez-vous avec la Lune et si la mer danse éternellement le long des golfes clairs ? Venez ! Votre cœur fera d’autant Boum ! Mais oui ! Y’a d’la joie. Partout y’a d’la joie ! Il suffit pour ça... d’un peu d’imagination ! _______ D’après : Charles Trenet / Mise en scène : Eric De Staercke / Avec : Greg Houben (voix et trompette), Quentin Liégeois (guitare), Cédric Raymond (Contrebasse) / Assistanat à la mise en scène : Cécile Delberghe / Costumes : Raphaëlle Debattice / Lumière : Nicolas Thill / Création son : Benoît De Visscher / Décor : Pierre Legrand / Régie : Patrick Sainte et Raphaël Lemaitre _______ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES – DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Le printemps de Pippa

    19.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « Nous devons nous tenir droites, sans masque devant l’horreur du crime. Et se tenir droite pour moi, c’est être, ici, sur un plateau de théâtre. » En 2008, Pippa Bacca, une jeune artiste italienne, accompagnée de Silvia Moro, élabore une performance qui les verra traverser l'Europe depuis Milan jusqu'à Jérusalem. Habillées en robe de mariée, les deux femmes parcourront ces milliers de kilomètres en auto-stop. Baptisée Spose in Viaggio (Brides On tour), cette performance doit susciter des réfl exions sur les thèmes du corps féminin, de la vulnérabilité, de la confi ance, de la solidarité, et des relations entre les cultures. Une arme métaphorique pour répandre la bonté. Leurs robes blanches sont l’emblème d’un message de paix et d'unité, et la pratique de l'auto-stop, un geste de confi ance en l'autre. Elles lèvent le pouce le 8 mars 2008 avec une détermination aussi belle que la foi qu'elles mettent dans cette performance qu'elles considèrent autant comme une œuvre d'art que comme un message humaniste. Toutefois, la route s'arrête cruellement dans la banlieue d'Istanbul. Pippa monte dans un 4x4 noir et subit désastre, viol et meurtre. Quatre actrices nous racontent ce voyage et nous invitent au cœur même de la performance et des questions qu’elle soulève.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Les justes

    20.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « J'ai compris qu'il ne suffi sait pas de dénoncer l'injustice, il faut donner sa vie pour la combattre. » En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes − ces « meurtriers délicats » comme Camus les appela dans L’Homme révolté − appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organise un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. L’attentat, ses préparatifs et ses conséquences, tel est le sujet de la pièce Les justes écrite en 1949. Chef-d’œuvre du répertoire, elle est, pour Jean-Baptiste Delcourt, l’une des pierres angulaires qui soutient le théâtre qu’il fabrique ; ses signifi cations politiques et philosophiques, les résonnances qu’elle entretient avec notre monde actuel, le poussent aujourd’hui à vouloir la partager avec le public. « L'amour courbe doucement les têtes. » dira Dora. À quoi répondra Yanek « Nous avons la nuque raide. » L’engagement idéologique justifi e-t-il le meurtre ? La lutte justifi e-t-elle qu'on lui sacrifi e tout, y compris la mort d’innocent·e·s ? Les confl its contemporains nous confrontent encore à ces dilemmes éthiques. Albert Camus, lui, n’aura cessé de combattre le « meurtre légitimé ». Résumant sa révolte d’une phrase, il écrit : « Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente où le tueur sait d'avance qu'il atteindra la femme et l'enfant.»
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Une traversée

    26.11.2025  >  05.12.2025

    • Théâtre
    À travers les yeux d’une enfant, "Une traversée" explore les mystères de la conscience et de l'imagination qui s’activent pour faire face à l'absurdité de notre monde au bord de l'effondrement, déchiré par la folie de la guerre. Inspiré de "La traversée du miroir" de Lewis Carroll, le spectacle marie ce chef-d’oeuvre à la prouesse technique et la puissance émotionnelle de la Cie Tchaïka.

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    À l’aide de la marionnette et du détournement d’objets, Natacha Belova et Tita Iacobelli entrainent le public dans ce monde désormais orphelin de toute rationalité où la logique absurde de la fantaisie d’une enfant devient soudainement salutaire, une arme indispensable contre la manipulation des mots et la domination des idées délétères. Dans les ruines de sa maison, détruite par la guerre, une jeune enfant joue avec un chaton. Par des histoires fantastiques qu’elle se raconte, elle cherche à appréhender ce nouveau monde de l’autre côté du miroir et se lance dans un jeu de survie, où les compromis, le désespoir et l’empouvoirement font grandir. Un jeu pour ne pas sombrer et ne pas oublier son nom et ses origines. Un jeu auquel il faut participer, même en tant que Pion, sur le grand échiquier, quand bien même il aurait mieux fallu être Reine. Après les succès de Tchaïka et Loco, Natacha Belova et Tita Iacobelli poursuivent leur plongée dans les espaces mentaux et invisibles, en se focalisant à présent sur celui d’une enfant, prête à devenir adulte et confrontée aux faillites du monde. L’idée du spectacle a germé en elles alors que de nombreux conflits armés font rage à travers le monde et semblent engloutir, toujours plus, les peuples dans ce rêve fou et effrayant duquel il est difficile de s’extraire. À l’aide de la marionnette et d’objets du quotidien, tout un monde prend vie. Le royaume de l’imaginaire se révèle, se déploie et se déchire à chaque instant. Mais qui rêve et qui est rêvé dans ce voyage entre l’ombre et la lumière ? Une immersion à hauteur d’enfant dans un monde absurde déchiré par l’idiotie de la guerre.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • Israel & Mohamed • Mohamed El Khatib Israel Galván

    26.11.2025  >  30.11.2025

    • Spectacle
    Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux.

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    L’un est dramaturge et documentariste, voix majeure du théâtre contemporain, l’autre est l’un des plus grands danseurs de flamenco de notre époque. Tous les deux ont rêvé d’être footballeur… À première vue, rien ne semblait prédestiner Mohamed El Khatib et Israel Galván à partager la scène. Ce n’est pourtant pas la première fois que le danseur se confronte à des artistes venu·es d’autres horizons – on se souvient de RI TE, son duo salué l’an dernier avec Marlene Monteiro Freitas au Kunstenfestivaldesarts. Mohamed El Khatib, quant à lui, n’en est également pas à son premier projet marquant. Il a déjà présenté La Vie secrète des vieux et Stadium au Théâtre National. Des œuvres qui revisitent le réel sous des angles inattendus. Il porte également le projet Maison Gertrude, un centre d’art implanté en maison de repos. Sur scène, la puissance du flamenco dialogue avec une écriture intime. Tous deux s’accordent à creuser un sujet personnel et universel : la difficulté à se présenter tels qu’ils sont devant leurs pères. Malgré leur liberté artistique et leur reconnaissance, ils continuent à taire certains éléments de leurs vies à cel·leux qui les ont vus grandir. Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux. À travers des souvenirs revisités, ils interrogent avec humour la place des parents dans un parcours d’artiste.  Mohamed El Khatib est artiste associé au Théâtre National Wallonie-Bruxelles  Coproduction Théâtre National Wallonie-Bruxelles Dans le cadre d'Europalia España
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be