Evénements du 28 novembre 2025

  • Bockstael : Art Déco pour tous

    21.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    Au 19e siècle, à l’instar de ses voisines, Laeken devient une vraie commune ouvrière, de par sa proximité avec le canal et les infrastructures ferroviaires. Le problème du logement des travailleurs se fait dès lors de plus en plus prégnant : dans un premier temps, des propriétaires privés font construire des ensembles de maisons modestes à front de rue, mais aussi dans des impasses, où les conditions de vies deviendront tristement célèbres. Il faut attendre les années 1920 et la création de la Société Nationale des Habitations et des Logements à Bon Marché pour voir les conditions de logements des ouvriers s’améliorer. À Laeken, c’est le Foyer Laekenois qui est à la manœuvre : il édifie de nombreux ensembles de logements d’une grande qualité architecturale. A travers cette visite, l’ARAU vous invite à découvrir l’histoire du logement ouvrier à Laeken, des maisons ouvrières du 19e siècle aux magnifiques ensembles Art Déco, modernistes ou régionalistes, dessinés par des architectes de renom, tels Joseph Diongre, Jean-Baptiste Dewin, Joseph Van Neck ou encore Paul Bonduelle. Preuve supplémentaire que l’Art Déco n’est pas réservé aux habitations des classes supérieures, la visite se terminera par la découverte de l’ancienne école Karel Bogaerd Rijksnormaalschool voor Meisjes (actuellement école néerlandophone), magnifique bâtiment public de l’entre-deux-guerres.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Quartier Lepoutre : le petit Paris bruxellois

    22.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    L’avenue Louis Lepoutre à Ixelles constitue l’épine dorsale du quartier de Berkendael. Ses hôtels particuliers et immeubles de rapport, commandités par une élite à la veille de la première guerre mondiale, sont très représentatifs d’une époque et d’un art de vivre « à la belge », inspiré par Paris, mais pas seulement. Ce quartier, où le style Beaux-Arts est roi, possède un patrimoine « début de siècle » exceptionnel ainsi que quelques chefs d’œuvre, comme la maison Wolfers dessinée par l’architecte Henri Van de Velde
    Lieu
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    1050 Ixelles
    http://www.arau.org
  • Anderlecht-sur-senne

    22.06.2025  >  14.12.2025

    • Visites Guidées

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    Aux confins d’Anderlecht, du boulevard industriel à la chaussée de Mons, l’ARAU vous emmène gamberger le long de la Senne, franchir une écluse, arpenter une cité-jardin historique (et une école Art Déco !), ou encore explorer des potagers collectifs… L’occasion de s’interroger du devenir de ces zones d’entre-deux : lieux de relégation de fonctions et de typologies urbaines pas toujours assumées ailleurs, elles offrent également d’importantes réserves foncières et sont, à ce titre, l’objet de toutes les convoitises.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Bruxelles, la Congolaise

    05.09.2025  >  13.12.2025

    • Expositions
    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique.

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    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique. Cette expo donne une fresque de cette présence, dont les parcours migratoires si différents ne sont pas comme ceux des autres communautés vivant à Bruxelles. Une initiative du MigratieMuseumMigration en collaboration avec Bakushinta asbl. Vernissage : vendredi 5 septembre à 17h00 Réservations : res.museum@foyer.be
    Lieu
    MigratieMuseumMigration
    rue des ateliers, 17
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 609 55 61
    museum@foyer.be
    http://www.migratiemuseummigration.be
  • German Tuners from the ’80s and the ’90s

    05.09.2025  >  14.12.2025

    • Expositions
    Dans les années 80, des préparateurs allemands comme Koenig, Mattig et Brabus ont créé des voitures larges, colorées et extravagantes, prisées par les excentriques fortunés. Autoworld leur rend hommage avec une expo (5/9–14/12) présentant 15 icônes, dont la Quattro Roadster de Treser, la Manta Manta de Mattig et la Rainbow Porsche de Buchmann.

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    Les voitures n'étaient guère passionnantes dans les années 80. Peut-être la situation politique mondiale était-elle si tendue que les constructeurs automobiles préféraient jouer la carte de la sécurité. Sauf dans certaines régions reculées d'Allemagne. Alors que les grandes marques remplissaient leurs showrooms de voitures solides mais assez ennuyeuses, une vingtaine de préparateurs se sont déchaînés avec des turbos puissants, des jantes énormes, des kilos de polyester profilé, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, des portes capables de surpasser celles des aigles, des installations hi-fi capables de faire trembler Rock Werchter et des spoilers qui chatouillaient les nuages. Tout était possible et beaucoup trop n'était pas encore assez. Néanmoins, ce mouvement a touché la corde sensible des cheikhs fortunés et des Allemands aux coiffures douteuses et à l'étrange penchant pour les queues de renard. Du moins pendant un certain temps : au milieu des années 90, la chanson spectaculaire de la plupart des préparateurs était déjà terminée. Les voitures comme phénomène de mode éphémère : c'était du jamais vu. Depuis lors, ces préparateurs allemands, à l'exception d'AMG, Ruf et Alpina, ont été mis au ban de la société et ont même été gentiment ridiculisés par les connaisseurs automobiles. Aujourd'hui, cependant, de plus en plus d'amateurs reconnaissent la valeur technologique et culturelle des créations les plus folles de Koenig Specials, Mattig, Irmscher, Strosek, Gemballa, Brabus, Treser et tant d'autres. Autoworld est le premier musée automobile européen à célébrer ce regain d'intérêt pour les préparateurs allemands avec une exposition thématique. Du 5 septembre au 14 décembre, nous présenterons une quinzaine des plus belles voitures de cette période déjantée. Une Audi Quattro vaut toujours le détour, mais une Quattro Roadster avec toit ouvrant automatique de Treser est aussi rare qu'ingénieuse. La légende du tennis Yannick Noah en possédait une. Peut-on faire plus glamour ? L'icône ultime de la culture du tuning : la Manta Manta de Mattig. D'une largeur presque ridicule, plus colorée que les Dolly Dots et plus extravagante que Borat, mais tellement emblématique qu'elle a joué un rôle principal dans deux longs métrages. Peut-on faire plus extravagant ? Tout aussi colorée et emblématique, mais très chic : la Rainbow Porsche 911 Turbo Targa de Buchmann & Buchmann. Elle aussi a joué un rôle principal dans un long métrage : Carnapping. Peut-on faire plus élégant ?
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be
  • Y’a d’la joie

    02.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    Dis-moi Charles, y a-t-il a encore de la joie ? Et le Soleil et la Lune, ont-ils toujours rendez-vous ? Et c’est vrai que les poètes ont disparu ? Ce à quoi vous allez assister n’est ni un concert ni un tour de chant : c’est une source d’euphorie tout droit jaillie de la plume et de la verve de Charles Trenet. Greg Houben nous ouvre grandes les vannes d’un torrent de bonne humeur ! Tout est de Charles Trenet. Tout, sauf ce qui est de Greg Houben et Éric De Staercke. Et surtout, ne pensez pas que c’est du fané, du dépassé, du suranné... C’est éternel, universel, intemporel. Vous serez plongé dès la première seconde dans un réservoir de joie, un pipeline de folie, une fontaine d’enthousiasme, un ruisseau de poésie et de douceur. Alors, si vous vous demandez s’il y a encore de la joie ici-bas, ce qu’il reste de nos amours, de nos beaux jours, si le Soleil a toujours rendez-vous avec la Lune et si la mer danse éternellement le long des golfes clairs ? Venez ! Votre cœur fera d’autant Boum ! Mais oui ! Y’a d’la joie. Partout y’a d’la joie ! Il suffit pour ça... d’un peu d’imagination ! _______ D’après : Charles Trenet / Mise en scène : Eric De Staercke / Avec : Greg Houben (voix et trompette), Quentin Liégeois (guitare), Cédric Raymond (Contrebasse) / Assistanat à la mise en scène : Cécile Delberghe / Costumes : Raphaëlle Debattice / Lumière : Nicolas Thill / Création son : Benoît De Visscher / Décor : Pierre Legrand / Régie : Patrick Sainte et Raphaël Lemaitre _______ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES – DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Le silence de Claire Lagrange

    18.11.2025  >  28.11.2025

    • Spectacle

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    Céline Delbecq / Compagnie La Bête Noire À partir de 16 ans[ Durée : en création ] Se réjouir de voir une biche, c’est la moindre des choses.Une épaisse et sombre forêt sépare, de la ville, un grand établissement.Dans l’espace commun de cet établissement, Madame court d'une pièce à l'autre, submergée par des chiffres, des grilles, des listes, … et cette fissure dont il faudrait qu'elle s'occupe. Jean et Silvia, deux résident·e·s échangent au sujet de "la nouvelle", Claire Lagrange. Sa lenteur extrême contraste avec l’agitation dans laquelle elle est arrivée quelques jours plus tôt. Jean et Silvia cherchent à comprendre ce que peut recouvrir son silence, se souviennent de ce qu’elle a dit dans son agitation, écoutent à travers les murs, sondent chaque indice.Claire Lagrange peint, lentement, machinalement, avec de la gouache pour enfant.De l’autre côté́ de la forêt, Madame Lagrange, la mère de Claire, est perdue. Jamais elle n’aurait pu imaginer qu’un tel évènement surgirait dans leur famille… Mêlant théâtre de Playmobil et poésie, Céline Delbecq nous plonge dans un récit sensible où les fissures du monde révèlent la nécessité du lien et de l’émerveillement.RENCONTRE - Je 20 novembre après la représentation. Avec des intervenant.e.s choisi.e.s pour leur expertise sur la thématique du spectacle. AFTER SCENE - Je 27 novembre après la représentation. Avec l’équipe du spectacle.
    Lieu
    Le Rideau
    Rue Goffart, 7 A
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 737 16 00
    Réservation : +32 2 737 16 01
    contact@lerideau.brussels
    https://lerideau.brussels
  • Le printemps de Pippa

    19.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « Nous devons nous tenir droites, sans masque devant l’horreur du crime. Et se tenir droite pour moi, c’est être, ici, sur un plateau de théâtre. » En 2008, Pippa Bacca, une jeune artiste italienne, accompagnée de Silvia Moro, élabore une performance qui les verra traverser l'Europe depuis Milan jusqu'à Jérusalem. Habillées en robe de mariée, les deux femmes parcourront ces milliers de kilomètres en auto-stop. Baptisée Spose in Viaggio (Brides On tour), cette performance doit susciter des réfl exions sur les thèmes du corps féminin, de la vulnérabilité, de la confi ance, de la solidarité, et des relations entre les cultures. Une arme métaphorique pour répandre la bonté. Leurs robes blanches sont l’emblème d’un message de paix et d'unité, et la pratique de l'auto-stop, un geste de confi ance en l'autre. Elles lèvent le pouce le 8 mars 2008 avec une détermination aussi belle que la foi qu'elles mettent dans cette performance qu'elles considèrent autant comme une œuvre d'art que comme un message humaniste. Toutefois, la route s'arrête cruellement dans la banlieue d'Istanbul. Pippa monte dans un 4x4 noir et subit désastre, viol et meurtre. Quatre actrices nous racontent ce voyage et nous invitent au cœur même de la performance et des questions qu’elle soulève.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Les justes

    20.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « J'ai compris qu'il ne suffi sait pas de dénoncer l'injustice, il faut donner sa vie pour la combattre. » En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes − ces « meurtriers délicats » comme Camus les appela dans L’Homme révolté − appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organise un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. L’attentat, ses préparatifs et ses conséquences, tel est le sujet de la pièce Les justes écrite en 1949. Chef-d’œuvre du répertoire, elle est, pour Jean-Baptiste Delcourt, l’une des pierres angulaires qui soutient le théâtre qu’il fabrique ; ses signifi cations politiques et philosophiques, les résonnances qu’elle entretient avec notre monde actuel, le poussent aujourd’hui à vouloir la partager avec le public. « L'amour courbe doucement les têtes. » dira Dora. À quoi répondra Yanek « Nous avons la nuque raide. » L’engagement idéologique justifi e-t-il le meurtre ? La lutte justifi e-t-elle qu'on lui sacrifi e tout, y compris la mort d’innocent·e·s ? Les confl its contemporains nous confrontent encore à ces dilemmes éthiques. Albert Camus, lui, n’aura cessé de combattre le « meurtre légitimé ». Résumant sa révolte d’une phrase, il écrit : « Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente où le tueur sait d'avance qu'il atteindra la femme et l'enfant.»
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Crime et châtiment

    20.11.2025  >  28.11.2025

    • Théâtre
    Dans cette adaptation haletante du chef d’œuvre de Dostoïevski, la compagnie Karyatides dévoile l’anatomie d’un crime, de son fantasme à son aveu. 

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    Raskolnikov est un jeune homme écrasé par la misère, révolté par un avenir sans perspective, en lutte contre la pauvreté et l’injustice. Pour éprouver sa liberté, il commet l’irréparable, au mépris de la morale et de la loi : il vole et assassine une vieille usurière. Le châtiment qu’il s’inflige est immédiat : dévoré par la culpabilité, il vacille entre le cauchemar et la folie… Qui est-il vraiment ? Un petit prétentieux sans éthique, un robin des bois maladroit, un salaud séduisant ? Au tribunal, les avis divergent…  Habituée à adapter les grands classiques en théâtre d’objet, la compagnie Karyatides nous plonge dans les affres psychologiques du jeune Raskolnikov, évoluant dans un monde âpre et miséreux. Sur scène, deux comédien·nes donnent vie aux différents protagonistes en manipulant des figurines en bois, plâtre et résine et des poupées en tissu. Dans un décor sobre, à la fois tribunal et confessionnal, différents points de vue sur le crime se juxtaposent, mettant en action une réflexion sur la liberté, la responsabilité, la culpabilité et la justice.   Après avoir accueilli Frankenstein la saison dernière, nous nous réjouissons de retrouver la compagnie partenaire du Varia, Karyatides, qui relève une fois encore, tout en humour et délicatesse, ce défi : rendre accessible à tous·tes des écritures fortes, qui remontent le temps pour y lire l’avenir et nous confronter au présent...  
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be