Evénements du 27 novembre 2025

  • Bockstael : Art Déco pour tous

    21.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    Au 19e siècle, à l’instar de ses voisines, Laeken devient une vraie commune ouvrière, de par sa proximité avec le canal et les infrastructures ferroviaires. Le problème du logement des travailleurs se fait dès lors de plus en plus prégnant : dans un premier temps, des propriétaires privés font construire des ensembles de maisons modestes à front de rue, mais aussi dans des impasses, où les conditions de vies deviendront tristement célèbres. Il faut attendre les années 1920 et la création de la Société Nationale des Habitations et des Logements à Bon Marché pour voir les conditions de logements des ouvriers s’améliorer. À Laeken, c’est le Foyer Laekenois qui est à la manœuvre : il édifie de nombreux ensembles de logements d’une grande qualité architecturale. A travers cette visite, l’ARAU vous invite à découvrir l’histoire du logement ouvrier à Laeken, des maisons ouvrières du 19e siècle aux magnifiques ensembles Art Déco, modernistes ou régionalistes, dessinés par des architectes de renom, tels Joseph Diongre, Jean-Baptiste Dewin, Joseph Van Neck ou encore Paul Bonduelle. Preuve supplémentaire que l’Art Déco n’est pas réservé aux habitations des classes supérieures, la visite se terminera par la découverte de l’ancienne école Karel Bogaerd Rijksnormaalschool voor Meisjes (actuellement école néerlandophone), magnifique bâtiment public de l’entre-deux-guerres.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Quartier Lepoutre : le petit Paris bruxellois

    22.06.2025  >  06.12.2025

    • Visites Guidées

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    L’avenue Louis Lepoutre à Ixelles constitue l’épine dorsale du quartier de Berkendael. Ses hôtels particuliers et immeubles de rapport, commandités par une élite à la veille de la première guerre mondiale, sont très représentatifs d’une époque et d’un art de vivre « à la belge », inspiré par Paris, mais pas seulement. Ce quartier, où le style Beaux-Arts est roi, possède un patrimoine « début de siècle » exceptionnel ainsi que quelques chefs d’œuvre, comme la maison Wolfers dessinée par l’architecte Henri Van de Velde
    Lieu
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    Au croisement de la chaussée de Waterloo et la rue de Tenbosch
    1050 Ixelles
    http://www.arau.org
  • Y’a d’la joie

    02.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    Dis-moi Charles, y a-t-il a encore de la joie ? Et le Soleil et la Lune, ont-ils toujours rendez-vous ? Et c’est vrai que les poètes ont disparu ? Ce à quoi vous allez assister n’est ni un concert ni un tour de chant : c’est une source d’euphorie tout droit jaillie de la plume et de la verve de Charles Trenet. Greg Houben nous ouvre grandes les vannes d’un torrent de bonne humeur ! Tout est de Charles Trenet. Tout, sauf ce qui est de Greg Houben et Éric De Staercke. Et surtout, ne pensez pas que c’est du fané, du dépassé, du suranné... C’est éternel, universel, intemporel. Vous serez plongé dès la première seconde dans un réservoir de joie, un pipeline de folie, une fontaine d’enthousiasme, un ruisseau de poésie et de douceur. Alors, si vous vous demandez s’il y a encore de la joie ici-bas, ce qu’il reste de nos amours, de nos beaux jours, si le Soleil a toujours rendez-vous avec la Lune et si la mer danse éternellement le long des golfes clairs ? Venez ! Votre cœur fera d’autant Boum ! Mais oui ! Y’a d’la joie. Partout y’a d’la joie ! Il suffit pour ça... d’un peu d’imagination ! _______ D’après : Charles Trenet / Mise en scène : Eric De Staercke / Avec : Greg Houben (voix et trompette), Quentin Liégeois (guitare), Cédric Raymond (Contrebasse) / Assistanat à la mise en scène : Cécile Delberghe / Costumes : Raphaëlle Debattice / Lumière : Nicolas Thill / Création son : Benoît De Visscher / Décor : Pierre Legrand / Régie : Patrick Sainte et Raphaël Lemaitre _______ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES – DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Le printemps de Pippa

    19.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « Nous devons nous tenir droites, sans masque devant l’horreur du crime. Et se tenir droite pour moi, c’est être, ici, sur un plateau de théâtre. » En 2008, Pippa Bacca, une jeune artiste italienne, accompagnée de Silvia Moro, élabore une performance qui les verra traverser l'Europe depuis Milan jusqu'à Jérusalem. Habillées en robe de mariée, les deux femmes parcourront ces milliers de kilomètres en auto-stop. Baptisée Spose in Viaggio (Brides On tour), cette performance doit susciter des réfl exions sur les thèmes du corps féminin, de la vulnérabilité, de la confi ance, de la solidarité, et des relations entre les cultures. Une arme métaphorique pour répandre la bonté. Leurs robes blanches sont l’emblème d’un message de paix et d'unité, et la pratique de l'auto-stop, un geste de confi ance en l'autre. Elles lèvent le pouce le 8 mars 2008 avec une détermination aussi belle que la foi qu'elles mettent dans cette performance qu'elles considèrent autant comme une œuvre d'art que comme un message humaniste. Toutefois, la route s'arrête cruellement dans la banlieue d'Istanbul. Pippa monte dans un 4x4 noir et subit désastre, viol et meurtre. Quatre actrices nous racontent ce voyage et nous invitent au cœur même de la performance et des questions qu’elle soulève.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Les justes

    20.11.2025  >  29.11.2025

    • Théâtre

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    « J'ai compris qu'il ne suffi sait pas de dénoncer l'injustice, il faut donner sa vie pour la combattre. » En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes − ces « meurtriers délicats » comme Camus les appela dans L’Homme révolté − appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organise un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. L’attentat, ses préparatifs et ses conséquences, tel est le sujet de la pièce Les justes écrite en 1949. Chef-d’œuvre du répertoire, elle est, pour Jean-Baptiste Delcourt, l’une des pierres angulaires qui soutient le théâtre qu’il fabrique ; ses signifi cations politiques et philosophiques, les résonnances qu’elle entretient avec notre monde actuel, le poussent aujourd’hui à vouloir la partager avec le public. « L'amour courbe doucement les têtes. » dira Dora. À quoi répondra Yanek « Nous avons la nuque raide. » L’engagement idéologique justifi e-t-il le meurtre ? La lutte justifi e-t-elle qu'on lui sacrifi e tout, y compris la mort d’innocent·e·s ? Les confl its contemporains nous confrontent encore à ces dilemmes éthiques. Albert Camus, lui, n’aura cessé de combattre le « meurtre légitimé ». Résumant sa révolte d’une phrase, il écrit : « Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente où le tueur sait d'avance qu'il atteindra la femme et l'enfant.»
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Une traversée

    26.11.2025  >  05.12.2025

    • Théâtre
    À travers les yeux d’une enfant, "Une traversée" explore les mystères de la conscience et de l'imagination qui s’activent pour faire face à l'absurdité de notre monde au bord de l'effondrement, déchiré par la folie de la guerre. Inspiré de "La traversée du miroir" de Lewis Carroll, le spectacle marie ce chef-d’oeuvre à la prouesse technique et la puissance émotionnelle de la Cie Tchaïka.

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    À l’aide de la marionnette et du détournement d’objets, Natacha Belova et Tita Iacobelli entrainent le public dans ce monde désormais orphelin de toute rationalité où la logique absurde de la fantaisie d’une enfant devient soudainement salutaire, une arme indispensable contre la manipulation des mots et la domination des idées délétères. Dans les ruines de sa maison, détruite par la guerre, une jeune enfant joue avec un chaton. Par des histoires fantastiques qu’elle se raconte, elle cherche à appréhender ce nouveau monde de l’autre côté du miroir et se lance dans un jeu de survie, où les compromis, le désespoir et l’empouvoirement font grandir. Un jeu pour ne pas sombrer et ne pas oublier son nom et ses origines. Un jeu auquel il faut participer, même en tant que Pion, sur le grand échiquier, quand bien même il aurait mieux fallu être Reine. Après les succès de Tchaïka et Loco, Natacha Belova et Tita Iacobelli poursuivent leur plongée dans les espaces mentaux et invisibles, en se focalisant à présent sur celui d’une enfant, prête à devenir adulte et confrontée aux faillites du monde. L’idée du spectacle a germé en elles alors que de nombreux conflits armés font rage à travers le monde et semblent engloutir, toujours plus, les peuples dans ce rêve fou et effrayant duquel il est difficile de s’extraire. À l’aide de la marionnette et d’objets du quotidien, tout un monde prend vie. Le royaume de l’imaginaire se révèle, se déploie et se déchire à chaque instant. Mais qui rêve et qui est rêvé dans ce voyage entre l’ombre et la lumière ? Une immersion à hauteur d’enfant dans un monde absurde déchiré par l’idiotie de la guerre.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • Israel & Mohamed • Mohamed El Khatib Israel Galván

    26.11.2025  >  30.11.2025

    • Spectacle
    Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux.

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    L’un est dramaturge et documentariste, voix majeure du théâtre contemporain, l’autre est l’un des plus grands danseurs de flamenco de notre époque. Tous les deux ont rêvé d’être footballeur… À première vue, rien ne semblait prédestiner Mohamed El Khatib et Israel Galván à partager la scène. Ce n’est pourtant pas la première fois que le danseur se confronte à des artistes venu·es d’autres horizons – on se souvient de RI TE, son duo salué l’an dernier avec Marlene Monteiro Freitas au Kunstenfestivaldesarts. Mohamed El Khatib, quant à lui, n’en est également pas à son premier projet marquant. Il a déjà présenté La Vie secrète des vieux et Stadium au Théâtre National. Des œuvres qui revisitent le réel sous des angles inattendus. Il porte également le projet Maison Gertrude, un centre d’art implanté en maison de repos. Sur scène, la puissance du flamenco dialogue avec une écriture intime. Tous deux s’accordent à creuser un sujet personnel et universel : la difficulté à se présenter tels qu’ils sont devant leurs pères. Malgré leur liberté artistique et leur reconnaissance, ils continuent à taire certains éléments de leurs vies à cel·leux qui les ont vus grandir. Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux. À travers des souvenirs revisités, ils interrogent avec humour la place des parents dans un parcours d’artiste.  Mohamed El Khatib est artiste associé au Théâtre National Wallonie-Bruxelles  Coproduction Théâtre National Wallonie-Bruxelles Dans le cadre d'Europalia España
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • Piñata Cake • Gaël Santisteva

    26.11.2025  >  28.11.2025

    • Spectacle
    Que se passe-t-il quand l’attente procure davantage de frissons que la révélation elle-même ?

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    Une explosion de dévoilements ludiques et inattendus pour titiller notre avidité de découvertes. Les tissus cachent et révèlent des corps libres et des numéros de slow cirque. Tada ! Après Voie, Voix, Vois la saison dernière, Gaël Santisteva se tourne vers une exploration du jeu et de l’étonnement : que se passe-t-il quand l’attente procure davantage de frissons que la révélation elle-même ? Dans un théâtre physique où le corps s’affranchit des contraintes, Piñata Cake joue avec les matières et les apparences, entre prouesse et transgression. Drapés lamés, voiles et tissus pailletés se font écrans ou pièges, dissimulant et laissant apparaître tour à tour des performeur·ses empilé·es en pyramides, lancé·es dans une tirade ou une chanson. La scène devient un terrain d’expérimentations inspirées du cirque où la surprise est reine. Jamais là où on l’attend. C’est drôle, mais pas seulement. Derrière la légèreté, Piñata Cake questionne notre fascination pour le mystère orchestré, cette attente frénétique d’une révélation qui nous lasse aussitôt survenue. Comme sur les réseaux sociaux où les « reveals » attisent le désir bien plus que le produit dévoilé. Une fête de l’absurde, propulsée par le plaisir de l’illusion insolite et du scoop, et qui regorge d'humanité ! Coproduction Théâtre National Wallonie-Bruxelles  Coprésentation Charleroi danse, Théâtre National Wallonie-Bruxelles  Les places seront en vente chez notre partenaire. Charleroi danse
    Lieu
    Charleroi danse / La Raffinerie
    Rue de Manchester, 21
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 71 20 56 40
    Réservation : +32 71 20 56 40
    contact@charleroi-danse.be
    http://www.charleroi-danse.be
  • Meurtres coloniaux : Patrice Lumumba et Mehdi Ben Barka

    27.11.2025

    • Divers
    Deux figures majeures de la lutte anticoloniale, deux défenseurs du panafricanisme, deux disparitions encore aujourd’hui entourées de mystère : Patrice Lumumba (1925–1961) et Mehdi Ben Barka (1920–1965).

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    Produit par Moussem – Centre nomade des arts, cette soirée donne à découvrir deux hommages à ces figures emblématiques. Deux artistes partagent ici des extraits de leurs projets artistiques : Pour sa nouvelle pièce Tand des Tijds (La Dent des Temps), l’écrivain et metteur en scène Tim Natens propose un monologue inspiré de Gérard Soete, policier belge chargé de faire disparaître le corps de Lumumba en 1961. Lors de cette opération, il confisqua quelques incisives du Premier ministre congolais, qu’il garda ensuite comme propriété privée, possiblement comme souvenirs morbides. L’artiste proposera une première lecture de son texte. Pendant cette soirée, il présentera la traduction en français de son monologue. Hamza Halloubi signe quant à lui une installation 3D autour de la disparition mystérieuse de Mehdi Ben Barka. À ce jour, nul ne sait précisément ce qu’il est advenu de l’homme politique marocain après son exil en France. Avant sa disparition, il a échappé à une tentative d’assassinat puis à un accident de la route suspect, qui aurait pu être orchestré. À partir de ces éléments, l’artiste imagine d’autres récits possibles, mêlant faits historiques, hypothèses et fiction. En brouillant les frontières entre réalité et imagination, Hamza Halloubi invite à repenser l’écriture de l’histoire à travers un regard global et sensible. Une soirée où mémoire, politique et fiction s’entrelacent pour offrir une réflexion sensible sur deux crimes coloniaux majeurs du 20e siècle, dont les répercussions résonnent encore aujourd’hui. La présentation sera suivie d’un échange avec les artistes.
    Lieu
    Centre culturel Espace Magh asbl
    Rue du Poinçon
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 274 05 10
    info@espacemagh.be
    http://www.espacemagh.be
  • Parvin Saljoughi Feral Reverie

    27.11.2025  >  28.11.2025

    • Spectacle

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    Feral Reverie est une chorégraphie expérimentale, un système conçu avec amour pour échouer. Sur scène, trois danseur·euse·s évoluent aux côtés de pigeons – ni métaphores ni accessoires, mais complices dans le refus. Ensemble, iels traversent l'effondrement, le glitch et l'évasion. La pièce met en scène le sauvage non pas comme quelque chose de chaotique mais comme une tactique pour vivre autrement, au-delà du contrôle et de la résolution. C'est là que le numérique atterrit et que la performance refuse de se comporter convenablement. La chorégraphie devient une sorte de sabotage en douceur, un code corrompu, un bug doté d'une volonté propre, un mode d'existence qui n'a pas besoin d'avoir de sens pour donner la vie. Feral Reverie demande : qu'est-ce qui tremble sous l'algorithme, sous l'exigence du sens ? Que se passe-t-il si le sauvage nous abandonne ? à propos Parvin Saljoughi travaille à l’intersection des arts visuels, de la chorégraphie et de la recherche artistique dans des contextes sociopolitiques. Son travail tourne autour du corps, de ses complicités, de ses fuites et de ses disparitions à la vue de tous·tes. Plus que des abstractions, les questions d'appartenance, de deuil, de malentendus et d’héritages troubles traversent son œuvre comme les résidus d’un vécu. En 2023, Parvin a été boursière à l'IF Berlin, et son travail a été soutenu et coproduit par Flash Art, Live Works VOL.07, Batard Festival et Tashweesh. Elle a participé à des résidences, notamment au PACT Zollverein, au Beursschouwburg, au workspacebrussels, à la Centrale Fies, au Mousonturm, au Kunstenwerkplaats et au BUDA. Elle a créé ses œuvres chorégraphiques Make Sense Who May, I Switch Off et Temporarily Closed au Beursschouwburg. Originaire de Téhéran, Parvin vit aujourd'hui à Bruxelles, comme une étrangère à plus d'un titre. https://www.instagram.com/pa_siiin/
    Lieu
    Beursschouwburg
    Rue Auguste Orts, 20 28
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 550 03 50
    info@beursschouwburg.be
    http://www.beursschouwburg.be