Deux personnalités éclectiques prennent d'assaut les platines du Pssound système pour faire de la Beursschouw-street la piste de danse la plus chaude et accueillante de la ville. Rendez-vous là-bas > programme complet Dimanche Sans Voiture
14:00 Bona Léa
16:00 Kampire
https://youtu.be/rFnvKNscGdo?si=xvOwZnqVLBmrwFgA
Kampire
Membre incontournable du collectif Nyege Nyege de Kampala, Kampire a réussi à faire découvrir le meilleur de la culture club ougandaise à travers la nightlife du monde entier grâce à ses sets chargés en basses. Aujourd'hui, elle tisse des liens entre le passé, le présent et l'avenir de la musique club africaine sous sa triple casquette de DJ, musicologue et historienne. Rien de tel que le Pssound système communautaire pour partager toutes ces skills dans la rue !
https://www.instagram.com/kkaybie/
https://youtu.be/okIYGz5vZno?si=QOSzV9W0oCwPpWup
Bona Léa
Polyvalente, enjouée et insouciante, Bona Léa ne craint pas d'allier la spiritualité et la danse à toutes les sauces afro-percussives et autres basses électriques. Organisatrice visionnaire des Jabanè Sessions et cofondatrice du collectif Bloom Hill, elle est une référence à Bruxelles et au-delà (et au Beursschouwburg – welcome back !)
https://www.instagram.com/bona_lea_/
Pssound
par notre artiste associé·e Psst Mlle, en savoir plus >>
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Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale
photo by Martin Kharumwa
"L'Œil du cyclope" s'ouvre comme une blessure entre la nuit du cosmique et celle de l'infiniment petit. Lumière, image de l'éveil de la conscience humaine. Conscience du spectateur comme du solitaire personnage principal. La lumière comme force primitive et opérante du film. "L'Œil du cyclope", avec une grande maîtrise des bases radicales de la fabrication d'un film, évoque le cinéma du théâtre d'ombres et de la lanterne magique, en étant ponctué de mises en abîmes des caractères primitifs du cinéma : lumière, défilement, mouvement mécanique et circulaire. Le film suit la marche d'un unique personnage à travers bois, montagnes, cavernes et déserts. Il pourrait, si on le veut bien, représenter un archétype humain universel, et sa marche, le déroulement d'une existence. Chaque escalade, plongée, passage souterrain prend une aura symbolique. Aura renforcée par le caractère froid mais intime de l'image cinématographique, nous rappelant que notre vie n'est qu'une étincelle dans la nuit.