Evénements du 25 avril 2025

  • Citroën DS - An icon turns 70

    25.04.2025  >  29.06.2025

    • Expositions
    Le mot ‘icône’ est trop souvent utilisé. S'il est une voiture qui mérite ce qualificatif, c'est bien la Citroën DS. L'impact laissé par la « Déesse » lorsqu'elle est sortie de la toile au Salon de Paris en 1955 a rarement été égalé, et encore moins surpassé. Du 25 avril au 29 juin, ‘la bombe Citroën,’ comme la DS a été appelée lors de son lancement, sera de nouveau à l'honneur à Autoworld.

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    Le mot ‘icône’ est trop souvent utilisé. S'il est une voiture qui mérite ce qualificatif, c'est bien la Citroën DS. L'impact laissé par la « Déesse » lorsqu'elle est sortie de la toile au Salon de Paris en 1955 a rarement été égalé, et encore moins surpassé. Du 25 avril au 29 juin, ‘la bombe Citroën,’ comme la DS a été appelée lors de son lancement, sera de nouveau à l'honneur à Autoworld. Autoworld présente une collection unique dans ‘Citroën DS – An Icon Turns, avec à peu près toutes les versions et variantes. De la première ID19 en passant par la ID19 Pallas qui recherchait le luxe total à la DS23 Pallas, dernier modèle à être sorti de chaînes de production en 1975. Cerise sur le gâteau à partir du 26 mai la Citroën DS ‘ballons’ rejoindra l’exposition. Ce modèle emblématique a été conçu en 1959 par Claude Puech, alors directeur de la publicité de Citroën, et a été présenté pour la première fois au Salon de l'automobile de Paris, La DS Balloons présente une DS 19 de couleur teinte orangée « Ecaille Blonde », reposant sur quatre énormes ballons à la place des roues. Ces derniers symbolisent les sphères de la célèbre suspension hydropneumatique, créant l'illusion que la voiture flotte. Les photos de cette idée visionnaire ont fait le tour du monde à l'époque, renforçant le statut de la DS en tant qu'œuvre d'art avant-gardiste et intemporelle. Devenue une marque à part entière DS Automobiles présentera la toute dernière DS N°8 sera également exposée au musée. Ce SUV 100 % électrique s'appuie sur la réputation de la DS originale. La DS N°8 s'inspire du concept DS AERO SPORT LOUNGE. Elle offre une qualité irréprochable, une grande autonomie et un confort total, ce qui en fait la voiture électrique la plus sereine. La DS N°8 affiche une autonomie de 750 km WLTP et de plus de 500 km sur autoroute grâce à un excellent Cx de 0,24. Le dimanche 4 mai, Autoworld organise le ‘Citroën-DS & Coffee’ de 10h à 14h, en collaboration avec ABCC et DS Automobiles, où toute Citroën classique ou tout modèle DS (y compris les modèles actuels) est invité à se rendre à Autoworld - sous réserve d'inscription préalable via le site web d'Autoworld - pour une célébration d'anniversaire unique sur l'Esplanade devant le musée en l'honneur de la DS. En tant que spectateur, vous êtes également invité à venir voir les belles Citroën et à profiter de l'ambiance ludique qui entoure cette voiture mythique française. Cette exposition est organisée par Autoworld avec le soutien de DS Automobiles et de l'Amicale Belge des Clubs Citroën (ABCC).
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be

  • Idle Hours

    25.04.2025

    • Divers

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    Quelque chose s’est terminé. Quelques heures flottent entre deux moments. Rien n’a encore commencé. Le dessert est sur le point d’arriver, mais il est trop tôt pour aller dormir. Le temps s’étire, sans urgence. On traîne, on boit un verre entre ami·es, on profite du vide. La nuit est ouverte : pourquoi ne pas lancer un jeu ou une chanson ? Entamer une histoire ou une conversation ? Viens partager ces heures en suspens avec nous.« Idle », c’est aussi : inutile, paresseux, sans but ni effet, déconnecté, frivole, insensé, insignifiant, vain, et plus encore. En somme : passer le temps, mode économie d’énergie. Au programme : dessert, performances, musique, jeux et autres surprises. Imagine la prestation un peu décalée de ton neveu·nièce lors d’une fête de famille. Viens t’installer, penser, regarder, être là.Picar se retrouve pendant quatre jours aux Kaaistudios – et peut-être un peu plus – pour tisser un programme qui dérive entre pratiques, désirs et questions autour du faire et de l’amitié. Une soirée furtive, juste assez pour réchauffer l’avenir, jouée entre les mains du présent.Programme complet bientôt disponible. • Picar est un atelier partagé par des artistes de différentes disciplines à Schaerbeek. Un besoin commun d’espace de travail et l’envie de contaminer nos pratiques artistiques respectives forment la base de cet atelier collectif. Un espace polyvalent construit au fil des essais et des erreurs, façonné ensemble par un groupe en constante évolution. Un endroit pour peaufiner son savoir-faire, expérimenter et partager. Actuellement, Picar est habité par Stef Assandri, Cathrin Jarema, Iris Donders, Lara Ferrari tummma, Leonie, Ferre Vuye, Carly Rae Heathcote et Jana De Kockere.
    Lieu
    Kaaistudio's
    Rue Notre-Dame du Sommeil, 81
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 201 59 59
    Réservation : +32 2 201 59 59
    info@kaaitheater.be
    http://www.kaaitheater.be

  • Plum Road Tea Dream

    25.04.2025  >  27.04.2025

    • Expositions

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    Plum Road Tea Dream se déploie sous la forme d’un jeu vidéo, d’une performance et d’une exposition. S’inspirant de leur expérience en tant que personne queer racisée, Samuel Baidoo transforme leur chagrin, leur joie et leurs souvenirs en récit et mythologie du jeu. À travers l’avatar ‘S.’, les visiteurs sont invités à explorer des sanctuaires personnels—des espaces où ralentir, réfléchir et errer librement.À chaque rencontre, vous plongez plus profondément dans la psyché de S., l’exploration se dessinant comme une archéologie délicate de guérison et de connexion. Passant avec fluidité des environnements virtuels aux installations physiques, Plum Road Tea Dream réinvente le jeu vidéo comme un espace d’introspection plutôt que de conquête. • Samuel Baidoo (iel) a obtenu en 2015 un Master en Arts plastiques, avec une spécialisation en Illustration et Design Graphique à Sint-Lucas, puis a été diplômé·e en 2018 du département Danse du Conservatoire royal d’Anvers.Dans le domaine des arts de la scène, Samuel occupe différents rôles. En tant qu’interprète, iel co-crée et tourne des œuvres pour jeunes et adultes en Belgique et à l’international, aux côtés de créateurs et compagnies tels que Koen de Preter, Maud Le Pladec, Lola Bogaert, Agostina D’Alessandro, Nat Gras, Tuur Marinus, Michiel Vandevelde et Nikima Jagudajev. En tant que mentor et coach, iel a travaillé avec Rino Sokol et Hernan Mancebo Martinez, les étudiant·es du Conservatoire royal d’Anvers, Annelies Van Hullebusch, Zoë Chungong et Kaori Ishiguro. Membre du collectif Hanafubuki, Samuel allie son amour du mouvement à une forte esthétique visuelle et une volonté de collaboration.En tant que créateur·ice individuel·le, Samuel a créé wijtwee//nosotrosdos pour Nat Gras en collaboration avec Hernan Mancebo Martinez, ainsi que grot-nest-tempel-huis pour tout petit (2024). En 2022 et 2023, iel a présenté Huis voor Tranen lors du festival STORMOPKOMST à De Warande.
    Lieu
    Kaaistudio's
    Rue Notre-Dame du Sommeil, 81
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 201 59 59
    Réservation : +32 2 201 59 59
    info@kaaitheater.be
    http://www.kaaitheater.be

  • H o l l o w

    25.04.2025

    • Spectacle
    Dans H o l l o w, la chorégraphe Catalina Insignares vous propose d’écouter les flux subtils qui traversent corps et espaces.

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    Dans H o l l o w, la chorégraphe Catalina Insignares vous propose d’écouter les flux subtils qui traversent corps et espaces. Les veines deviennent porteuses de sons, les grottes répercutent des voix oubliées. Par un jeu délicat de mouvements, de lumières et de sons, elle rend l’invisible sensible—des vibrations imperceptibles aux silences palpables. Avec un public intime, elle ouvre un espace où le sensoriel et le fictionnel se mêlent, laissant chaque résonance imprimer sa trace. • Catalina Insignares est une chorégraphe et danseuse colombienne basée à Bruxelles. Elle s’intéresse à la manière d’utiliser les moyens sensoriels et fictionnels du corps et du toucher pour communiquer avec l’invisible. Sa pratique comprend notamment un duo dansé avec un·e participant·e sur plusieurs semaines (us as a useless duet, 2015), une lecture nocturne adressée à des corps endormis (useless land, 2017), et des pratiques sensorielles qui explorent nos liens avec les morts (landscapes of the dead, 2019 ; to know the vultures so well, 2022).Elle travaille toujours en collaboration et dans des associations à long terme, que ce soit en chorégraphie, dramaturgie, enseignement ou performance. Depuis 2015, elle collabore étroitement avec Carolina Mendonça, explorant différentes manières de travailler ensemble. Depuis 2017, elle travaille avec Myriam Lefkowitz, à la fois comme interprète et dans une collaboration qui cherche à infiltrer des pratiques sensorielles dans les réalités sociales et politiques des personnes exilées (La facultad, 2017).De 2019 à 2022, Catalina a développé sa recherche dans le cadre de DAS THIRD à Amsterdam. De 2019 à 2024, elle a été co-curatrice au Gessnerallee à Zurich, où elle a conçu le festival El Caldo ainsi que le programme curatoriel Discrete. Catalina est régulièrement invitée à intervenir à DAS Choreography comme enseignante ou mentor, et plus récemment au sein du master de P.A.R.T.S. Elle enseigne également dans le master Live Art Forms à l’Académie des Beaux-Arts de Nuremberg.
    Lieu
    Les Brigittines
    Petite rue des Brigittines
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 213 86 10
    Réservation : +32 2 213 86 10
    info@brigittines.be
    http://www.brigittines.be

  • What has been stored

    25.04.2025

    • Spectacle

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    Le mouvement et la voix s’entrelacent avec les expériences de la maternité. À travers un processus intuitif, Jimena Pérez Salerno explore des partitions chorégraphiques qui réfléchissent au temps comme une expérience plurielle, mêlant souvenirs personnels, ancestraux et collectifs. Ces strates façonnent la sagesse et les sensations qui émergent du corps, offrant une exploration somatique et sonore.En partant d’une chanson apprise pendant sa grossesse, Jimena en dévoile les différentes couches, tissant une trame composée des vies qui la précèdent et la suivent. L’avant, le pendant et l’après s’entrelacent, explorant la résonance de la voix et la matérialité du moment présent. En invitant le public à entrer dans cet espace de mouvement, Jimena crée une opportunité d’explorer collectivement ce que signifie faire émerger l’intérieur vers l’extérieur à travers des gestes simples et partagés. • Jimena Pérez Salerno est une chorégraphe et danseuse argentine basée à Bruxelles. Elle considère la pratique chorégraphique comme un système de relations permettant de nouvelles formes d’imagination, d’attention et de coexistence. Son travail s’oriente vers des pratiques performatives qui activent des contextes inattendus, faisant émerger des réflexions collectives à travers des expériences incarnées.Dans son dernier projet, Unproductive Will, elle a exploré le concept de chorégraphie élargie comme approche critique de la conscience politique, en réfléchissant à la notion occidentale du temps linéaire et du comportement productif—qu’elle considère tous deux comme des blessures coloniales collectives.Elle a obtenu un diplôme de troisième cycle à a.pass en 2022, un master en Scenic Practice and Visual Culture à ARTEA et au Musée Reina Sofía, Madrid, en 2019, ainsi qu’un diplôme en composition chorégraphique de l’Université Nationale des Arts en Argentine en 2014. En 2019, elle a reçu la bourse Danceweb au festival ImPulsTanz International Dance Festival à Vienne.Son projet actuel, What has been stored, a reçu une bourse de recherche pour talents émergents du gouvernement flamand et est développé avec le soutien de Kunsthal Gent, workspacebrussels, Kunstencentrum BUDA et a.pass.
    Lieu
    Maison du Spectacle - la Bellone
    Rue de Flandre, 46
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 513 33 33
    infos@bellone.be
    http://www.bellone.be

  • écrire les silences, tisser les mémoires

    25.04.2025

    • Spectacle

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    Alphonse Eklou Uwantege invite l’artiste leïla alice pour une performance dialoguée. Comment transmettre une culture d’origine lorsque l’on ne comprend plus les gentes qui nous ressemblent, lorsque les récits se sont perdus dans les silences ?Le langage structure la pensée.Sans mots,sans langage,sans histoire,il ne reste que des récipient·es vides que l’on peut remplir de tout et de n’importe quoi.Couper une langue,c’est couper une culture.C’est couper la parentalité,détruire les ponts entre les générations.Être coupé·e de ses racines,c’est aussi être coupé·e de ses émotions,de sa capacité à exprimer pleinement ce que l’on ressent.Perdre sa langue,c’est perdre son territoire psychique.Là où certain·es se battent pour préserver leur patrimoine linguistique et culturel,nous,parfois,laissons ces territoires s’effacer.Et lorsqu’il ne reste rien, qui pourra réécrire l’histoire ?Ma grand-mère et moi ne partageons aucun mot,alors c’est dans le silence que nous nous rencontrons, fragiles mais connectées.Les langues dans ma famille sont multiples :russe,kinyarwanda,éwé,français.Elles se croisent, se superposent et s’effacent parfois, créant des espaces muets mais riches de mémoires enfouies.Ces silences ne sont pas vides :Ils portent des histoires, des blessures, des fragments oubliés d’un passé toujours présent.Ce sont dans ces entre-deux que je vous invite,« dans ce 3e territoire »où l’étranger en Belgique croise celui du muzungu au Rwanda.Là,entre silences et fragments,je tente de façonner un langage hybride,une parole inachevée mais vivante. • Alphonse Eklou Uwantege, sagittaire queer de 28 ans, est néx à Minsk d’une mère rwandaise et d’un père togolais. Alphonse est mannequin, performeureuse et metteureuse en scène baséx à Bruxelles. Son action utilise le corps comme outil, l’écriture comme arme de résurrection, la performance comme urgence politique. Sa méthode repose sur la volonté de déjouer les normes de la représentation et le lien entre spectateurices et performeureuses en perturbant les espaces scéniques.Dans le premier volet de son tryptique, restes, Alphonse développe sa recherche artistique autour des traumas transgénérationnels, de la mémoire invisible et des transmissions coloniales dans un solo en hommage à son oncle, Alphonse Kanimba, mort pendant le génocide des Tutsis en avril 1994.Actuellement, Alphonse poursuit son exploration dans le second volet de ce tryptique, en questionnant les héritages migratoires et les silences imposés aux identités diasporiques. À travers les mouvements traditionnels et contemporains, les langues de sa famille et les documents comme témoins d’effacements et de résistances, iel interroge les fractures et les réinventions liées aux déplacements. • leïla alice est un artiste transdisciplinaire basé à bruxelles qui explore les tensions entre lumière et ombre, confiance et doute, grandeur et intimité. à travers son alter ego lilo soleil, iel façonne un espace où la couleur, la voix, le son et le corps dialoguent pour raconter des histoires empreintes de métaphores et de mysticisme.diplômé en tapisserie de l’académie royale des beaux-arts de bruxelles, leïla alice approfondit sa compréhension des textures et des motifs. grâce aux techniques artisanales, iel apprend aussi à trouver la magie dans la patience. en tant qu’artiste, leïla alice découvre sa passion pour la performance, une forme d’expression qui touche son cœur car elle lui offre l’opportunité de fusionner toutes les formes d’art qui l’entourent pour créer des instants qui transcendent les limites du quotidien. sa performance PARADE by leïla alice est une création portée par 22 corps, une première exploration de la dualité humaine à travers le prisme du soleil et de la lune - du ciel. telle une funambule, elle oscille entre certitudes et incertitudes, s’inspirant des contes, de la mythologie et du tarot pour composer un rituel entre clairvoyance et chute, résilience et abandon.au fil de ses explorations, elle a investi des lieux tels que zinnema, decoratelier, recyclart, MORPHO, la mercerie, horst festival, pianofabriek, BRONKS  et d’autres espaces hybrides, affirmant une approche immersive et introspective de la performance. avec la maison de lilo, d’abord initiée au kaaitheater avant de prendre vie à kiosk radio, elle l imagine un refuge sonore où les émotions prennent forme, invitant le public à une introspection guidée par des textures sonores et vocales.ses recherches gravitent autour de l’engagement envers soi-même, du face-à-face intérieur et de la mise en forme de ce qui bouleverse, dessinant un journal intime ouvert où le sound design rencontre la chanson, où l’expérimentation devient terrain de vérité. toujours en quête de nouveaux territoires d’expression, leïla alice aspire à approfondir cette approche sensorielle, à repousser les limites de ses premières intuitions et à trouver des espaces prêts à accueillir ses désirs d’explorations les plus audacieuses.
    Lieu
    Maison du Spectacle - la Bellone
    Rue de Flandre, 46
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 513 33 33
    infos@bellone.be
    http://www.bellone.be

  • Best wel jammer als je hier niet bij bent

    25.04.2025

    • Théâtre

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    Un spectacle à ne pas rater Que faire quand on a l’impression que tout est tout le temps plus réjouissant à côté ? Boum. Qu’on entend des basses, mais qu’on ne sait pas d’où ça vient ? Boum, boum. La vie ressemble à une giga soirée dont on ne parvient pas à trouver l’entrée. Boum, boum, boum. Combien de temps va-t-on chercher dans cette zone industrielle froide et déserte ? Et tous ces autres gens heureux sont-ils réels ou ne sont-ils que des fantômes ? Une pièce de théâtre absurde et philosophique sur la peur de rater quelque chose, pour tout public à partir de 12 ans.  Attention : ce spectacle contient des effets stroboscopiques et de la musique forte. 
    Lieu
    BRONKS
    Rue du Marché aux Porcs, 15-17
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 99 21
    Réservation : +32 2 219 99 21
    info@bronks.be
    http://www.bronks.be