Evénements du 22 mars 2025

  • BANAD Festival - Stade Joseph Marien

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées

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    Si la Royale Union Saint-Gilloise occupe déjà une partie du Parc Duden pour ses matchs et entrainements depuis 1919, ce n'est qu'en 1921 évoque un agrandissement du stade. Le Projet de l'architecte Albert Callewaert est adopté en 1922. Il porte la capacité du stade préexistant à 35 000 spectateurs et l'édification d'une nouvelle tribune plus vaste. La façade en simili-pierre blanche et briques rouges rehaussées de pierre blanche frappe par sa prestance et sera construite en 4 mois. La tribune principale, comptant environ 2500 places est couverte d'une charpente métallique rivetée. Sous la tribune, outre les vestiaires et les douches, on retrouve un café et une salle des membres qui a conservé un vitrail décoratif Art déco aux couleurs du club Saint-Gillois. Arch. Albert CALLEWAERT, 1926
    Lieu
    Stade Joseph Marien
    Chaussée de Bruxelles, 223
    1190 Forest
  • BANAD Festival - Hôtel communal de Forest

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées
    Arch. Jean-Baptiste Dewin, 1935 - 1939

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    Lieu
    Hôtel Communal de Forest
    Chaussée de Bruxelles, 59
    1190 Forest
  • BANAD Festival - Maison Cohen

    22.03.2025

    • Visites Guidées

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    Remarquable maison moderniste, conçue en 1928 par les architectes Henry Van de Velde et Stanislas Jasinski pour l'industriel Georges Cohen, il s'agit d'un bâtiment aux lignes sobres et régulières, s'élevant sur quatre niveaux. Les volumes intérieurs sont imposants et les pièces disposent encore de luminaires d'époque ainsi que d'une remarquable cheminée.... Actuellement résidence diplomatique autrichienne, l'aménagement fait la part belle à de nombreux ensembles de la Sécession viennoise. Arch. S. JASINKI & H. VAN DE VELDE
    Lieu
    Maison Cohen
    Avenue Franklin Roosevelt, 60
    1050 Ixelles
  • BANAD Festival - Visite guidée du Musée et Jardins Van Buuren

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées

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    Achevée en 1928, la maison du couple van Buuren présente une architecture extérieure typique de l'Ecole d'Amsterdam (architectes Léon Emmanuel Govaerts et Alexis Van Vaerenbergh), alors que la décoration intérieure constitue un ensemble Art Déco unique où mobilier, tapis, vitraux, sculptures et tableaux de maîtres sont restés à leur place. Les jardins, d'une taille exceptionnelle pour la ville, ont été aménagés successivement par Jules Buyssens et René Pechère et ont fait l'objet d'une rénovation toute récente. Le ticket donne accès à la visite guidée de la maison et des jardins. Arch. Léon Emmanuel GOVAERTS, 1928 Supplément de 10 euros par personne à payer pour pouvoir visiter ce lieu
    Lieu
    Musée et Jardins Van Buuren
    Avenue Léo Errera, 41
    1180 Uccle
    Tél : +32 2 343 48 51
    info@museumvanbuuren.be
    http://www.museumvanbuuren.be
  • BANAD Festival - Maison van Bruystegem

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées
    Arch. François VAN MEULECOM, 1924

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  • BANAD Festival - Maison Anciaux (ancienne Imprimerie des Sciences) - Studio Xavier Lust

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées
    Arch. Léonard HOMEZ, 1928

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  • BANAD Festival - Maison Averbouch - The Palm Beach

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées
    Arch. Joseph DIONGRE, 1929

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  • BANAD Festival - Hôtel Danckaert

    22.03.2025  >  23.03.2025

    • Visites Guidées

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    Villa trois façades de style Art Déco conçue par l'architecte Jean-Baptiste Dewin en 1922 pour l'industriel Jean Danckaert. Témoignage remarquable de l'habitat déstiné à une bourgeoisie bruxelloise et industrielle de l'entre-deux-guerres, cette grande propriété se développe à front de rue en trois séquences originales : à gauche une maison trois façades, au centre un jardin pourvu d'une roseraie et à droite un garage. Premier travail de collaboration entre J-B Dewin et les Ateliers De Coene, cet hôtel de maître a conservé son décor d'origine avec boiseries, quincailleries, serrurerie, cheminées, vitraux et éviers. Classée depuis 2016, La villa Danckaert, ainsi qu'une partie de son jardin, accueille aujourd'hui la galerie Design Maniera. Arch. Jean-Baptiste DEWIN, 1922
    Lieu
    Hôtel Danckaert - Villa Dewin
    Hôtel Danckaert - Villa Dewin
    1190 Forest
    http://www.museumvanbuuren.be
  • L’immensité : des maux aux mots • Martin Tshibayi Ghizlane Charaf Jonathan Carrier Laurent d’Ursel Laurence Vielle

    22.03.2025

    • Spectacle
    Sur scène et dans la salle, les immenses, les « Individus dans une Merde Matérielle Enorme mais Non Sans Exigence » déploient les trouvailles subversives du Thésaurus de l’immensité, le lexique révolutionnaire du sans-abrisme ou plutôt du sans-chez-soirisme.

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    Brussels marée haute Derrière l’odyssée sublimement intime, c’est bien l’imaginaire de la ville qui est repolitisé en investiguant les polarités de la vie, la naissance et la mort. Comme un choc existentiel, dans un geste poético-musical inspirant. Dis-leur qu’ils n’abîment pas trop Brussels, je n’aurai pas la force pour une nouvelle guerre, écrit Krzysztof Styczynski. Brussels marée haute est une errance sauvage et subtile, emportée et mélancolique, entre Bruxelles et Carnage, l’endroit qui a vu peut-être naître l’auteur. Alors on le regarde, on l’écoute en se demandant ce qu’il a à nous dire, cherchant du côté du bonheur et du mal de vivre, de la lettre et du portrait. On arpente le pavé inflammable de la ville. On se souvient qu’on ne survit que par l’amour et l’art, sur la scène où brûlent les corps, les mots et la musique. L’immensité : des maux aux mots Sur scène et dans la salle, les immenses, les « Individus dans une Merde Matérielle Enorme mais Non Sans Exigence » déploient les trouvailles subversives du Thésaurus de l’immensité, le lexique révolutionnaire du sans-abrisme ou plutôt du sans-chez-soirisme conçu par le Syndicat des immenses. Parmi nous, i·els égrènent leurs vies, désirs et colères. Un précipité d’émotions aussi cru qu’interpellant. Mal nommer, c’est faire de la langue une prison qui rassure les nanti·es, conforte les indifférent·es, fragilise les plus précaires. Mais voici que surgissent de nouveaux vocables pour définir la condition des sans-abri, ou plutôt des sans-chez-soi, cell·eux que l’on nomme les immenses. Ce Thésaurus est-il un manifeste poétique ? Politique ? Éthique ? C’est en tout cas une manière de pulvériser le racisme social. Dans la foulée, c’est une société tout entière qui risque bien de s’embras(s)er. Programme 17:00 Brussels marée haute 18:00 L'immensité : des maux aux mots
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • Imbratoura إمبراطورة • Alexandra Dols Alex Mesnil

    22.03.2025

    • Spectacle
    Alexandra Dols et Alex Mesnil explorent l’auto (science) fiction pour mieux éclairer les enjeux d’aujourd’hui sur le cauchemar politique et les violences silenciées.

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    Le regard toujours tourné vers l’avant, Alexandra Dols et Alex Mesnil explorent l’auto (science) fiction pour mieux éclairer les enjeux d’aujourd’hui sur le cauchemar politique et les violences silenciées, entre histoires aventureuses, autodéfense et guérison. Une certaine manière de développer une esthétique de la résistance dans l’hybridation des langues, des imaginaires et des disciplines. 2054. L’Empire a partagé le monde en deux zones : la Zone-d'Être et la Zone-de-Non-Être. Réalisatrice dans la Zone-d'Être, Slod se rend dans la Zone-de-Non-Être pour réaliser un film sur la célèbre guérisseuse d'âmes. Là-bas, elle rencontre Blue. Débute alors un amour immense et « hors normes » à l’abris de la surveillance de l’Empire. Mais leur clandestinité a un coût, tout comme leur résistance. Lorsque Slod regagne la Zone-d'Être, l'Empire ferme les frontières. Slod et Blue sont condamnées à ne plus se revoir. Une créature apparaît à Slod, c’est son inconscient. Il ouvre un portail. Projetée dans un combat épique, elle doit retrouver sa souveraineté par l’amour, Al Houb, le krump et la foi. Et redevenir Imbratoura, l’impératrice de son monde intérieur. Et anéantir l'Empire en elle. Formée en création et réalisation audiovisuelle à Paris VIII et en écriture de scénario Paris I Panthéon-Sorbonne, Alexandra Dols est autrice, réalisatrice et performeuse. Au sein d'Hybrid Pulse, elle écrit et réalise des films documentaires sur les luttes de libérations dans le monde arabe et en France, tels que Moudjahidate (2007) ; Derrière les fronts (2017 – Sunbird Award, en sortie nationale en France, et soutenu par Ken Loach) ; Minimum syndical (2019). Depuis 2010, elle conçoit des parcours « Images et auto-défense » outils féministes anti-racistes pour les jeunes et les adultes. Attachée à la transmission, elle participe à de nombreuses projections/débats, séminaires et conférences – Le Média TV, Université Sorbonne, Fémis, Théâtre National de Bretagne, University of Virginia, Museum of Fine Arts de Houston, Institut Français de Tunis, SOAS University (Londres), Sandberg Institutes (Amsterdam). Depuis quelques années, elle opère une vraie révolution du regard et une réactivation du mouvement en passant du film documentaire à la performance, telles que Imbratoura et Maquis intérieurs. Formé à l’ENS en mathématiques et à l’École Supérieure d’Art Dramatique de Paris (ESAD) auprès de Cyril Teste, Igor Mendjisky et Wajdi Mouawad, Alex Mesnil est auteur, metteur en scène et vidéaste. Curieux, il suit une formation en réalisation, cadrage, montage et écriture de scenarii en cinéma. Entre autres, il est assistant metteur en scène de Christian Benedetti sur Ivanov de Tchekhov (2018) et L’intégrale Tchekhov (2022). Entre 2018 et 2022, il dirige des stages de cinéma au CRR de Paris. Sarah Di Bellah est historienne des spectacles et dramaturge. Après 15 ans d’enseignement supérieur dans les Université de Copenhague-KUA, Université Paris 3 et 10, Université de Caen et Université Aix-Marseille-AMU, elle accompagne des projets artistiques en tant que formatrice et dramaturge. Sensible à la place de la mémoire dans le geste artistique, elle développe une approche transhistorique sur la migration des formes dans le temps et l’espace, au croisement de l’histoire des idées et de l’anthropologie culturelle. Julien "Wrestler" Adjovi est danseur, chorégraphe, organisateur et activiste. Figure incontournable du Krump français depuis plus de seize ans, il chorégraphie en 2024 Bullet Time de Maya Masse au Carreau du Temple à Paris. Wrestler débute en 2009, après avoir vu le film Steppin’ de Sylvain White. Très vite, les opportunités s'enchaînent. En 2017, il crée la compagnie et l’évènement Krumpfest, respectivement dédiée à la recherche artistique et chorégraphique krump et destinée à ouvrir le Krump à un large public et le connecter à d’autres pratiques artistiques. Depuis, l’artiste continue d'explorer et conquérir les publics au travers des stages, performances et événements en tant qu’organisateur, maître de cérémonie ou artiste. Son style se démarque par l'alternance habile entre fluidité et puissance, donnant ainsi une versatilité imprévisible à son krump qu’il nomme "heavy fluidity". Pour lui, la vie est un combat constant pour garder la tête haute, réussir, rester heureux et reconnaissant. Et donc, "lutter" .
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be