Evénements du 16 novembre 2024

  • Le Tartuffe

    17.10.2024  >  30.11.2024

    • Théâtre

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    Orgon (Laurent Capelluto) est persuadé d’avoir trouvé en Tartuffe (Pietro Pizzuti) l’âme sœur, le sauveur, le confident tant rêvé. Totalement séduit par le saint homme, il lui ouvre grand les portes de son logis et de son amitié. Il impose ce directeur de conscience à toute sa maisonnée, et bientôt le voilà de « cet homme entièrement coiffé » ! Mais Tartuffe est un mendiant, un usurpateur, un menteur infiniment séduisant qui va tournebouler le cerveau du maître de maison pour tenter de mettre toute la famille à ses pieds, la femme dans son lit, la fille à son bras et l’argent dans sa poche. Le Tartuffe est une histoire d’abus de pouvoir. Celle d’un patriarche autoritaire qui entend tout régenter, et qui, par peur du monde tel qu’il va, se réfugie dans les bras d’un beau parleur-tricheur-manipulateur. Quand l’avenir est déroutant, il est plus facile pour certains en perte de repères, de se retourner vers d’anciennes valeurs morales « ayant fait leurs preuves », plutôt que de chercher à inventer de nouvelles voies. Horrifié, désarçonné, l’entourage ne veut pas se laisser « Tartuffier ». Or, quand le pouvoir est concentré dans les mains d’un seul, il faut déployer des trésors d’ingéniosité et de courage pour parvenir à remettre un peu de raison dans la déraison et l’église au milieu du village. Notre monde est rempli de ces fameux prédicateurs, faux dévots, faux bienveillants, vrais abuseurs, qui entendent régenter le monde par cupidité et besoin de domination. Molière, l’intemporel, n’a rien perdu de son universalité ni de sa verve et avec beaucoup d’humour nous incite une fois encore à aiguiser notre libre arbitre. __________ De Molière / Mise en scène : Michel Kacenelenbogen / Avec : Laurent Capelluto, Jonas Claessens, Lily Dupont, Emile Falk-Blin, Janine Godinas, Jeanne Kacenelenbogen, Simon Lombard, Pietro Pizzuti, Réal Siellez et Anne Sylvain / Assistante à la mise en scène : Hélène Catsaras / Scénographie : Renata Gorka / Costumes : Chandra Vellut / Lumière : Laurent Kaye / Musique originale : Pascal Charpentier __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES - DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • En attendant Bojangles

    24.10.2024  >  17.11.2024

    • Théâtre

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    Que la folie est contagieuse quand elle est heureuse ! Voici donc une pièce déconcertante, poétique et folle, qui met les sens, sens dessus dessous. Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis. Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui n’a de cesse de les entrainer dans un tourbillon de poésie et de chimères. Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte. L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom. Avec ce trio d’acteurs là, on vous promet des soirées folles et tendres. Reprise d’un spectacle joué deux fois à guichets fermés les deux saisons passées, pour que la fête continue, encore et encore. __________ D’après le roman D’Olivier Bourdeaut / Adaptation et mise en scène : Victoire Berger-Perrin / Avec : Charlie Dupont, Tania Garbarski et Jérémie Petrus / Assistante à la mise en scène : Cachou Kirsch / Scénographie : Caroline Mexme / Chorégraphie : Cécile Bon / Création son : Pierre-Antoine Durand __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L’AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES – DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • La Soeur de Jésus-Christ

    29.10.2024  >  16.11.2024

    • Théâtre

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    Quand tu dois tirer, tire, cause pas ! (Sergio Leone) Dans ce village du sud de l’Italie, tout le monde est affublé d’un surnom. Simeone, le frère de la jeune Maria, on l’appelle Jésus. Il ressemble au Christ dont il joue le rôle lors de la Passion du vendredi saint. Maria, c’est cette jeune fille qui s’empare du pistolet Smith & Wesson 9 mm dans le buffet de la cuisine. Elle quitte la maison, l’arme à la main. Elle marche en direction du village. Elle se rend chez Angelo le Couillon, le jeune homme qui lui a fait violence la veille. Le village prend sa suite, finissant par former un cortège bigarré : le président du club des chasseurs, les employés de la casse-auto, le garagiste, les bikers du coin, la vieille institutrice, les voisines envieuses de la jeunesse de Maria. Et de sa beauté. Chacun y va de son anecdote sur Maria, livrant tour à tour chaque pan de sa vie. Il y a ceux qui l’encouragent, ceux qui veulent la dissuader, mais rien ni personne ne pourra l’arrêter, lui faire lâcher son arme, pas même sa famille, pas même les gendarmes. La Sœur de Jésus-Christ est ce western moderne, mis en scène par Georges Lini, qui a fait un joli succès lors de sa création au Poche la saison dernière. La pièce a été nommée aux Prix Maeterlinck dans les catégories meilleur spectacle, meilleur interprète, meilleure scénographie.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be
  • L’abattoir de verre

    05.11.2024  >  17.11.2024

    • Théâtre

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    Je dédie cette adaptation à cette truie que j’ai rencontrée dans un hangar industriel, au Royaume du Danemark. Nous nous sommes regardées et je lui ai promis de ne jamais l’oublier, elle, cette mère. Valérie Battaglia, co-adaptatrice Adaptation libre d’Elisabeth Costello, ainsi que de trois nouvelles de L’Abattoir de verre de John Maxwell Coetzee, Prix Nobel de Littérature, le spectacle nous conte l’histoire d’une romancière célèbre, qui à l’automne de sa vie, se pose en lanceuse d’alerte, faisant fi de sa carrière, de l’opinion de sa famille et de toutes les moqueries potentielles. Personnage de fiction inventé par Coetzee et avatar de ce dernier, Elisabeth Costello peuple non seulement son œuvre, mais aussi celle d’autres artistes et activistes et est devenue une figure culte de l’écoféminisme, de la cause du vivant et de la cause animale. D’emblée, la relation entre le réel et la fiction s’impose comme un fil conducteur du spectacle. Nous sommes à Bruxelles, où John, son fils, s’adresse directement au public. Elisabeth Costello a fait le trajet depuis l’Australie pour recevoir le prix Stowe qui récompense tous les deux ans un écrivain célèbre. Très vite, la relation privilégiée et unique que mère et fils entretiennent devient sensible, c’est l’autre fil conducteur… Et au cours de la représentation, qui accepte sauts dans le temps et incursions de l’imaginaire, on assiste à ses entrées en scène entre maladresse, ratage, humour, colère et génie, où elle démasque le déni organisé de l’extermination des animaux plutôt que de parler de sa vie et de son œuvre romanesque. Instillant en nous par ses questions le doute créateur, elle nous apparaît à la fois héroïne tragique d’un lendemain menacé, et anti-héroïne du non-sens, prête à tout sacrifier – sa famille, sa gloire, le respect qu’elle suscite -, pour dénoncer notre inhumanité. Car « sauver son âme» a un prix : le sacrifice de la rationalité cartésienne et de la normalité sociale…
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Par grands vents d’Éléna Doratiotto & Benoît Piret

    07.11.2024  >  16.11.2024

    • Théâtre
    Inspiré·es par la figure de Kaspar Hauser comme par des figures anciennes du théâtre grec, Éléna Doratiotto et Benoît Piret livrent une « fantaisie tragique » portée par des êtres dramatiques fragiles.

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    Le plateau de théâtre, le terrain de jeu, se fait ici « tremblant ». Un terrain tremblant où l’on se joue de ce qui est difficile à dire, invisible ou impossible à représenter. Par-là, il est sans cesse matière à étonnement. Des êtres maladroits et sensibles occupent ce terrain, se côtoient, se rencontrent. Iels dévoilent un lieu aux multiples strates qui aurait gardé de son histoire et de sa mémoire sa fonction de lieu d’annonce, de parole et de pressentiments. Dans ce paysage (réel et fantasmé), la pierre est blanche, la mer proche et le soleil rude. Ces êtres de la marge, brisés et obstinés, pourraient s’apparenter à un choeur de théâtre. Profitant de la présence d’une source d’eau potable, iels entament, en complicité avec le public, une sorte de rituel qui s’avère rapidement trop grand pour elleux. Ce rituel, qui leur est pourtant nécessaire, charrie « ce qui manque » autant que l’indicible, et vacille. L’intuition d’une tragédie se ravive sans cesse. Mais n’a-t-elle pas déjà eu lieu ? Et pour quelle sorte de larmes à verser sommes-nous ici au fond réunis ? Tandis que des forces contraires voudront pousser vers la périphérie le rituel en cours, et que l’eau potable sera disputée, ces êtres tenteront malgré tout que le lieu de parole devienne celui où s’autorise le droit de ressasser des événements et des mémoires, de convoquer des récits, d’user de la parole poétique comme contre-discours. Après "Des caravelles et des batailles", Éléna Doratiotto et Benoît Piret poursuivent l’exploration d’une écriture de théâtre aiguisée et singulière avec le désir d’y approfondir la puissance évocatrice des mots, la liberté de jeu et la tension entre ces deux dernières. Ils empruntent un chemin fracturé, de par les risques qu’il comporte et les joyeux étonnements qu’il présage.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • Louise Jallu - "Piazzolla Nuevo" + "JEU"

    15.11.2024  >  16.11.2024

    • Concert

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    Depuis le succès de ses deux premières créations Francesita (2019) et Piazzolla Nuevo (2021), saluées et de nombreuses fois récompensées, la bandonéoniste Louise Jallu est aujourd’hui reconnue comme une artiste interprète et compositrice à la vision musicale éclairée. Elle a foulé les scènes légendaires tant dans le classique, le jazz que la musique contemporaine (Philharmonie de Paris, Jazz in Marciac, Scène nationale La Filature, Abbaye de Noirlac, …) Pour la première fois, la Jazz Station l’invite pour deux soirées, chacune proposant un set de chacun de ces extraordinaires projets : PIAZZOLLA NUEVO (2021) et JEU (2024). PIAZZOLLA NUEVO Nombreux sont les hommages au maître du tango. Trop rares sont celleux qui auront su se hisser à la hauteur de ce monument statufié de son vivant. C’est cet Himalaya qu’a osé gravir Louise Jallu, en choisissant de passer à la loupe – parfois même à la découpe – une dizaine de pièces de ce mélodiste hors pair. Oblivion, Buenos Aires Hora Cero, Soledad, Adios Nonino et bien entendu Libertango sont ainsi au programme de ce recueil. La Française choisit de ne pas jouer la carte revival, préférant s’échapper de l'original pour tracer à partir de ce sillon sa propre originalité. En clair jouer dans l’esprit, jamais à la lettre près. Une relecture aussi scrupuleuse que critique, ralentissant le tempo, ouvrant des espaces propres à l’improvisation, restructurant le matériau thématique, libérant de nouvelles voies harmoniques, reformulant la mélodie. C’est là que peut s’écrire une relecture pertinente de ce maître à déjouer les clichés pour qui sait écouter entre les lignes. JEU Après avoir modernisé le tango, c’était une évidence, l'exploration et l’explosion plus profonde des styles et courants musicaux modernes devait être au cœur de son nouveau projet : JEU À la manière d’un joailler, Louise Jallu décompose l’ancien, choisit ses matériaux avec précision, les assemble avec finesse, les confronte avec élégance et puissance. Le dialogue virtuose et malicieux entre les différents instruments, déborde de poésie, de force et d’imagination. À chaque morceau un nouveau paysage, une nouvelle écoute est suscitée, comme une invitation à interpeller, émouvoir et surprendre sur le vif. Comme elle l’avait fait avec Piazzolla, dans son nouvel album Louise s’attaque sans complexe à des grands noms, du classique (Schumann, Berg), au jazz (Coltrane), en passant par des références plus populaires (Boléro de Ravel, Brassens). Infos et réservations: 20€ ·15€ membres, étudiants, demandeurs d’emploi · 14€ étudiants CRB/KCB, carte ULB Culture Réservations vivement conseillées via notre billetterie en ligne. Accès et transports : Les cyclistes peuvent laisser leur vélo sans se préoccuper, dans l'enceinte de la Jazz Station. Les bus 29 et 351 s'arrêtent à deux pas, à l'arrêt Clovis. Les bus 60 et 63 s'arrêtent à Ambiorix, cinq pas. Le 61 s'arrête à Steurs, trois pas ! Les automobilistes doivent chercher pour se garer, mais ce n'est pas difficile. Le parking le plus proche est à Madou, de là 15 min à pied.
    Lieu
    Jazz Station
    Chaussée de Louvain, 195
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 733 13 78
    Réservation : +32 2 733 13 78
    info@jazzstation.be
    http://www.jazzstation.be/
  • Jean-Jacques KIRA

    16.11.2024

    • Concert
    Accompagné de trois musiciens : piano, basse, batterie, Jean-Jacques Kira promène sa silhouette et son chapeau, un peu partout de Belgique au Canada, en passant par la France où il demeure. De passage à Bruxelles pour notre plus grand plaisir. À ne pas rater.

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  • L’arbre qui cachait la forêt - je n’ai pas perdu une miette du paysage, sauf quand je me suis endormie

    16.11.2024

    • Spectacle
    « Or voici que regardant ailleurs nous trouverions la chance d’un nouveau départ : une nouvelle prise nous est donnée insoupçonnée… ? » Vivre de paysage de François Jullien

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    Sophie Sénécaut est connue pour son travail de comédienne dans différentes compagnies de théâtre contemporain, mais ce n’est pas de sa pratique d’interprète dont il sera question ici. En effet, ces dernières années, Sophie Senecaut a entamé un autre travail, de fond, celui d’une progressive translation. En dehors des assignations de la scène et dans des lieux autrement propices à l’expression d’une parole singulière. Elle nous rejoindra cette saison, à trois reprises, pour habiter l’espace de la Balsamine en mode saxifrage et nous inviter à des ouvertures publiques pensées comme des « moments temps libre » dont le détail sera communiqué en amont de chaque rencontre. « Je suis en enquête. Loin des habitudes impossibles à tenir. Depuis un costume mal ajusté, depuis un atelier qu’il m’aura fallu construire. Le scénario Toujours pareil. Same same (samo). Je m’attèle à ne pas proposer un spectacle mais construire un espace refuge, qui irait de l’avant, et nous engagerait dans une nouvelle pratique commune. Une culture au vocabulaire précis et respectueux des passages à vides, d’un retour impossible au pays natal, de retours impossibles tout court. Comment en débordant les modes et codes connus Bouger les lignes ? Je pratique une langue apprise Qui me tient Qui tient ma langue Je me propose de la Délier à mon échelle ». Sophie Sénécaut
    Lieu
    Théâtre la Balsamine
    Avenue Félix Marchal, 1
    1030 Schaerbeek
    Tél : +32 2 732 96 18
    Réservation : +32 2 735 64 68
    info@balsamine.be
    http://www.balsamine.be
  • Marcellin Caillou

    16.11.2024

    • Théâtre
    Marcellin Caillou, c’est une histoire écrite et dessinée par Jean-Jacques Sempé, illustrateur du Petit Nicolas. Alors bien sûr, c’est teinté de légerté, d’humour et de tendresse.

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    Caillou : quel drôle de nom pour ce petit personnage ! Marcellin Caillou ce n’est pas du granit, non. Plutôt du kaolin ; il est friable ce petit être, il porte en lui la fêlure de la porcelaine. Il rosit, il rougit. Il rougit quand il ne faut pas et ne rougit pas quand il le faudrait. Oh, ce n’est pas un gros handicap, c’est juste embêtant, une petite déchirure, un froissement, un complexe qui grattouille, un grain de sable au fond de la chaussure qui fait que la vie n’est pas toujours facile. Et voilà, qu’il rencontre René Rateau. Rateau, drôle de nom pour ce petit personnage. René Rateau ne cesse d’éternuer, sans raison et sans pour autant avoir un rhume. Il éternue pour un oui, pour un non, comme ça, dans la rue, dans la cour de récré, en jouant du violon... Oh, ce n’est pas un gros handicap, c’est juste embêtant pour jouer du violon, énervant de se faire remarquer, parce que Rateau c’est un discret, un délicat qui préfère le violon à la trompette. Sur le chemin de la vie, le petit Caillou et le petit Rateau vont se rencontrer, mais un jour la vie va les séparer... mais un autre jour, la vie va...
    Lieu
    Le Senghor - Centre Culturel d’Etterbeek
    Chaussée de Wavre, 366
    1040 Etterbeek
    Tél : +32 2 230 31 40
    Réservation : +32 2 230 31 40
    info@senghor.be
    http://www.senghor.be
  • Kiki à Paris

    16.11.2024

    • Concert
    Paris d’entre-deux-guerres: audace, invention, rébellion esthétique, glissement des arts convenus vers la fête, changement de paradigme. Fille de rien qui veut tout, Alice Prin, dite Kiki, sera tout à tour modèle, danseuse, peintre, chanteuse, actrice et, plus sobrement, « reine de Montparnasse ».

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    Paris d’entre-deux-guerres: audace, invention, rébellion esthétique, glissement des arts convenus vers la fête, changement de paradigme. Fille de rien qui veut tout, Alice Prin, dite Kiki, sera tout à tour modèle, danseuse, peintre, chanteuse, actrice et, plus sobrement, « reine de Montparnasse ». Kiki n’était pas la plus belle, la plus talentueuse ou la plus brillante, c’était juste une femme libre, débarrassée des conventions, qui avait peut-être compris qu’en se libérant du qu’en dira-t-on on révélait la force créatrice de l’insoumission. Par la libération des corps, et spécifiquement celui de la femme, le vieux monde s’est mué en un autre monde. C’est ce que chante ce projet discographique. Le répertoire du concert illustre le glissement progressif d’un monde où l’identité féminine était dictée par les hommes vers une nouvelle réalité où les femmes elles-mêmes, comme Kiki et les icônes qui l’ont suivie, se dessinent et se réservent des destins plus appropriés.
    Lieu
    Centre Culturel d'Uccle
    Rue Rouge, 47
    1180 Uccle
    Tél : +32 2 374 64 84
    Réservation : +32 2 374 64 84
    reservation@ccu.be
    http://www.ccu.be