Evénements du 1er avril 2020

L'ennemi est à l'intérieur...

Sous une forme décalée, un spectacle qui propose une réflexion autour de la nature de l’argent et de la valeur, dans un monde mû par la récupération marchande.

Le photographe François-Xavier Gbré se nourrit de l’architecture comme témoin de la mémoire et des changements  sociaux. Il explore ainsi différents territoires et revisite l’Histoire. Pour cette exposition, il a sélectionné des images capturées au Mali, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.    En partenariat avec la Fondation A Stichting.

Un texte délicat, qui explore avec malice et sous forme d’un conte, les vertiges et les gouffres propres à l’adolescence. À partir de 13 ans.

À sa table, un conteur tourne les pages de ses épopées intimes. À la manière des benshi japonais – ces commentateurs de films muets – il manipule des objets, projette des images, illustre ses récits de rencontres et de voyages intérieurs. Artiste plasticien dont la renommée dépasse largement les frontières, Patrick Corillon s’est créé peu à peu une forme unique de fiction en entremêlant des modes traditionnels de narration orale (benshi, kamishibai, cantastories, etc). Ses récits-voyages pleins de surprises, nourris d’anecdotes sur sa vie, de son enfance, invitent le spectateur à s’ouvrir à de nouvelles réflexions, en partant du tangible pour s’envoler vers le philosophique et l’universel. Un artiste à (re)découvrir en cinq performances :  La Rivière bien nommée Le Benshi d'Angers L'Appartement à trous Les Images flottantes Le Zéro absolu

Comment une simple collection de petits bouts de scotch blanc que les acteurs placent sur scène pour se retrouver dans le noir nous en fait voir de toutes les couleurs.

A la mort de sa grand-mère, une petite fille décide qu’elle, on ne la mettra jamais dans une boite. Elle va grandir, et vivre sa vie. Biologiste, elle devient chercheuse. Elle s'intéresse à un animal en particulier, une méduse. Un jour, elle va faire une découverte la concernant, découverte qui va la bouleverser.

« J’avais perdu l’habitude d’entendre le mot demain. D’ailleurs, jusqu’à la mort de Sam, j’avais aussi relégué le mot hier. »