Evénements du 1er février 2020

  • Désir meurtrier

    19.01.2020  >  18.02.2020

    • Cinéma
    Au départ d’un viol, une épouse disgracieuse et résignée découvre la sensualité, le mensonge et les pulsions de mort.

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    Au départ d’un viol, une épouse disgracieuse et résignée découvre la sensualité, le mensonge et les pulsions de mort. Une surprenante odyssée de fuite avec son séducteur, en “un mélange de quotidien et d’onirisme proprement surréaliste, d’où toute connotation morale est supprimée” (Max Tessier). Flagey, Cinematek   € 7 > € 5,5
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 20
    Réservation : +32 2 641 10 20
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • Cendres

    19.01.2020  >  16.02.2020

    • Cinéma
    CAMILLA TOMSICH, 2016, FR, HD, VO IT ST FR ANG, 90'

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    La Barbargia, arrière pays de la Sardaigne, est réputée pour son paysage accidenté et son carnaval dont les racines remontent au premier Âge du bronze. De la période des graffitis de cavernes préhistoriques à nos jours, les rites de la vie et de la mort continuent à être célébrés selon des pratiques ancestrales spécifiques à chaque village, dont la marche des Mamuthones de Mamoïada, vêtus de peaux de brebis noire, de sombres masques de bois et de lourdes cloches, est parmi les plus impressionnantes. "Cendres" suit des protagonistes du carnaval de cette région italienne agro-pastorale où l'industrie périclite. Des feux de Saint Antoine jusqu'au Mercredi des Cendres, on s'attachera à leur quotidien. Qu'ils soient ouvrier en grève, paysan labourant à la charrue, berger, livreur de bonbonnes de gaz, leurs soucis ne s'arrêtent pas entre les moments de fêtes, bien au contraire. Le carnaval n'apparaît qu'au détour d'un plan, d'une conversation ou de brèves séquences, qui suffisent à comprendre son caractère authentique. Dépourvu d'interviews, entretenant une atmosphère de mystère égrenée de ponctuations musicales d'Amon Tobin et Soap&Skin, abrupte, rude et cru, "Cendres" reste jusqu'à la fin radical, loin de toute carte postale.
    Lieu
    Cinema Nova
    Rue d'Arenberg, 3
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 511 24 77
    nova@nova-cinema.org
    http://www.nova-cinema.org
  • "Mondo Disco" de Nicolas Wild

    21.01.2020  >  15.03.2020

    • Exposition
    Dans sa Gallery, le Musée de la BD propose une sélection de planches dessinées par Nicolas Wild pour réaliser son album "Mondo Disco", une BD reportage sous forme de tour du monde!

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    Dessinateur-reporter, Nicolas Wild parcourt le monde et se rend sur les lieux des évènements abordés pour mieux les comprendre. Sur place, il prend des photos, remplit ses carnets de croquis et de notes. De retour chez lui, l’auteur travaille en numérique pour mettre en forme son reportage et finaliser son album. Mondo Disco nous raconte ainsi ses missions en dessin à travers huit destinations et histoires différentes. En exposant une sélection de reproductions des planches numériques, le Musée de la BD salue une œuvre originale et documentée, mêlant avec talent humour, ressentis de l’auteur et témoignages forts de ses interlocuteurs. Une démarche efficace et passionnante rappelant si besoin que la bande dessinée est un vecteur privilégié pour sensibiliser les lecteurs et raconter le monde… Mélanie Andrieu, Centre Belge de la Bande Dessinée Partez en tour du monde avec l'auteur de Kaboul Disco, Kaboul Requiem et Ainsi se tut Zarathoustra ! Globe-trotteur et reporter graphique, Nicolas Wild enfile une fois de plus sa casquette d’aventurier pour notre plus grand plaisir. Envoyé en reportage autour du globe par Arte, l'armée française ou mû par ses propres envies, il livre à l'issue de chacune de ses missions un récit court marqué par son regard tout à la fois pertinent et décalé. De la France au Népal, en passant par l’Ukraine, la Turquie et le Liban, ses pas le mènent dans le capharnaüm de Phnom Penh, à la recherche de débris d’avion sur un glacier alpin et dans des camps de réfugiés sur le toit du monde. Le regard faussement naïf de Nicolas Wild et sa patte reconnaissable entre toutes apportent une fois encore un éclairage fascinant sur des réalités géopolitiques méconnues, qui s’entrelacent aux quatre coins du monde. Diplômé en juin 2000 de l’atelier d’illustration des arts décoratifs de Strasbourg, Nicolas Wild part étudier aux États-Unis, puis trouve un « vrai » métier à Kaboul. Il se dit « je vais raconter ma life parce que c’est trop fou », et ça donne Kaboul Disco. Son intérêt pour la géopolitique en Asie Centrale le mène en Iran faire des recherches sur le zoroastrisme et enquêter sur l’assassinat de Cyrus Yazdani, et ça donne Ainsi se tut Zarathoustra, une BD qui allie majestueusement polar, humour et zoroastrisme. En février 2014, il rencontre Sean Langan et signera avec lui Kaboul Requiem, la suite de Kaboul Disco. Nicolas a beaucoup voyagé et réalisé des reportages dessinés autour du monde, rassemblés dans l’ouvrage Mondo Disco. Les Éditions La Boîte à Bulles Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale
    Lieu
    Musée de la Bande Dessinée
    Rue des Sables, 20
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 19 80
    visit@cbbd.be
    http://www.cbbd.be
  • Pour un oui ou pour un non

    21.01.2020  >  07.02.2020

    • Théâtre
    En moins de 70 minutes, une amitié de 30 ans va être disséquée de fond en comble, jusqu'à l'os, débusquant les violences, les envies mais aussi la tendresse de ces deux hommes sans concession.

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    En moins de 70 minutes, une amitié de 30 ans va être disséquée de fond en comble, jusqu'à l'os, débusquant les violences, les envies mais aussi la tendresse de ces deux hommes sans concession. Deux hommes se font face: l’un veut comprendre ce qu’il y a eu, l’autre dit que ce n’est rien, « ce qui s’appelle rien… ce qu’on appelle ainsi… en parler seulement, évoquer ça… ça peut vous entraîner…(…) Personne, du reste… personne ne l’ose… On n’en entend jamais parler… ». Pourtant il va oser, oser dire les mots et avec eux, le fond de son sentiment. Le risque c’est de perdre une amitié de trente ans. L’enjeu est énorme pour l’un comme pour l’autre. Mais pourquoi dire le fond de son sentiment et risquer tant? Ne vaut-il pas mieux se taire parfois? Il ne s’agirait pas de nier, de refouler, de faire comme si de rien n’était, non... ce serait plutôt d’assumer le silence entre eux deux pour préserver l’essentiel. C’est d’abord ce que l’un des deux tente, mais l’autre insiste, fait pression. Alors les mots deviennent tranchants comme des scalpels. L’affrontement est inévitable, on dissèque jusqu’à l’os, non sans un certain plaisir d’ailleurs, pour constater le désastre, ou alors pour se rendre compte que l’essentiel subsiste malgré tout… "Le texte est déjà d’une finesse et d’une précision extraordinaires, plein de subtilités, détails loin d’être anodins qui tissent les relations intimes. Mais le jeu des deux acteurs est si réaliste qu’on a quasi l’impression de vivre une véritable scène d’explications. Dans cette promiscuité, ils sont époustouflants" - Cécile Berthaud, L’Écho
    Lieu
    Le Boson
    Chaussée de Boondael, 361
    1050 Ixelles
    Tél : +32 471 32 86 87
    Réservation : +32 471 32 86 87
    reservations@leboson.be
    http://www.leboson.be
  • Les mots font le mur

    21.01.2020  >  20.03.2020

    • Exposition
    De mi-janvier à mi-mars, la Maison du Livre interroge les divers aspects de la détention dans ses rapports à l’écriture.

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    Ecriture qui libère, enferme, répare, dénonce, témoigne, s’évade ... Une exposition, dse rencontres, des ateliers, des jeux et des joutes verballes pour interroger ce que notre conception de la punition dit de notre société : enfermer qui, comment, pourquoi, combien de temps ? De la Ballade des pendus de François Villon au Dernier jour du condamné de Victor Hugo, du Comte de Monte-Cristo de Dumas au Journal du voleur de Jean Genet, de Dickens à Apollinaire, de Crime et châtiment au Prisonnier d’Azkaban, l’enfermement est un thème littéraire majeur. De tout temps, des auteur.e.s ont connu la prison et des prisonnier.e.s sont devenus auteur.e.s. D’autres, sans y avoir séjourné, laissent un travail documenté sur leur époque, à l’instar de Surveiller et punir de Michel Foucault, qui constitue une oeuvre de référence incontournable, à la fois érudite et militante, qui questionne et conteste la notion même d’emprisonnement. La réflexion existe mais est-elle entendue ? Nos prisons sont-elles des écoles du crime, des trous à rats, des zones de non-droit ? Proposent-elles à l’inverse des occasions de se reconstruire, s’amender, préparer sa réinsertion ? Quels sont les obstacles ? Pourquoi, en dépit des constats et des alarmes, enferme-t-on toujours plus, toujours plus mal ? "Faire le mur" signifie à la fois l’évasion et l’enfermement. Comment maintenir un lien entre dehors et dedans ? Quels mots pour dire l’écartèlement, les longues peines, les vies brisées ? Ecrire en prison peut aider à mieux en sortir. Ecrire sur les prisons nous semble indispensable pour désentraver la réflexion et ne pas abandonner les prisonnier.e.s aux oubliettes. L’exposition présentera quelques figures emblématiques : Albertine Sarrazin, Chester Himes, Nawal el Saadawi, Frédéric Beigbeder, le rappeur Samat ... Une cellule permettant de s’immerger dans l’univers carcéral sera reconstituée dans notre espace, où chacun.e pourra se plonger dans des écoutes radiophoniques thématiques. Nous présenterons divers objets de l’univers carcéral ou réalisés en cellule : oeuvres artistiques, résultats d’aterliers menés en prison, textes, photos, films et vidéos. La visite pourra s’accompagner de jeux de société et mini-ateliers : réflexion sur le sens des mots qui varie selon qu’on soit dedans ou dehors, rédaction d’une carte postale à l’intention d’un prisonnier ... Sur réservation
    Lieu
    La Maison du Livre
    Rue de Rome, 24 28
    1060 Saint-Gilles
    Tél : +32 2 543 12 20
    info@lamaisondulivre.be
    http://www.lamaisondulivre.be
  • Gipsy Jazz Jam Sessions

    21.01.2020  >  09.06.2020

    • Concert
    Chaque mois, le Théâtre Poème accueille les Gipsy Jazz Jam sessions, concerts de Jazz manouche acoustique, suivis d'une jam endiablée... C'est Le rendez-vous des aficionados !

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  • On est sauvage comme on peut

    21.01.2020  >  01.02.2020

    • Théâtre
    Un repas entre amis. Léa l’organise en espérant passer un moment convivial. C’est que Thomas, son compagnon, est en dépression. Voilà des mois qu’il ne fréquente plus le bureau. Alors l’idée d’accueillir son collègue Antoine, sa femme Marie et un troisième comparse, Sami, est plutôt réjouissante. Mais le souper prend des allures effrayantes quand épuisant les discussions de surface, Thomas fait une demande aussi terrible qu’incongrue, plongeant ces retrouvailles dans un abîme de folie. Alors le réel vacille. On est sauvage comme on peut glisse du réalisme à la farce, puis de la farce au tragique. Porté par son désir d’expérimenter de nouvelles pistes de création libératrices, le Collectif Greta Koetz bondit avec allégresse de l’humour absurde à la férocité. Au fil des improvisations, il explore les tensions qui peuvent peupler un repas et les prises de pouvoir qui l’alimentent. Qui ne s’est pas un jour retrouvé attablé avec l’étrange sensation de se sentir piégé, contraint d’endurer une interminable soirée aux accents de solitude et de conventions respectées ? De cette situation somme toute banale, Greta Koetz tire un véritable laboratoire théâtral. Pétri d’inventivité, de justesse, de réflexion aussi sur ce qui anime les individus en amour ou en amitié, le collectif livre ici un fascinant premier spectacle.

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    Un repas entre amis. Léa l’organise en espérant passer un moment convivial. C’est que Thomas, son compagnon, est en dépression. Voilà des mois qu’il ne fréquente plus le bureau. Alors l’idée d’accueillir son collègue Antoine, sa femme Marie et un troisième comparse, Sami, est plutôt réjouissante. Mais le souper prend des allures effrayantes quand épuisant les discussions de surface, Thomas fait une demande aussi terrible qu’incongrue, plongeant ces retrouvailles dans un abîme de folie. Alors le réel vacille. On est sauvage comme on peut glisse du réalisme à la farce, puis de la farce au tragique. Porté par son désir d’expérimenter de nouvelles pistes de création libératrices, le Collectif Greta Koetz bondit avec allégresse de l’humour absurde à la férocité. Au fil des improvisations, il explore les tensions qui peuvent peupler un repas et les prises de pouvoir qui l’alimentent. Qui ne s’est pas un jour retrouvé attablé avec l’étrange sensation de se sentir piégé, contraint d’endurer une interminable soirée aux accents de solitude et de conventions respectées ? De cette situation somme toute banale, Greta Koetz tire un véritable laboratoire théâtral. Pétri d’inventivité, de justesse, de réflexion aussi sur ce qui anime les individus en amour ou en amitié, le collectif livre ici un fascinant premier spectacle.
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • Non-Dits

    22.01.2020  >  07.02.2020

    • Théâtre
    Marcha Van Boven et Dominique Pattuelli explorent le langage sous toutes ses facettes. À travers l’histoire de deux sœurs qui se retrouvent pour fêter Noël, les comédiennes explorent l’art de dissimuler les vérités et questionnent avec humour notre rapport à l’autre.

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    À quoi bon dire des vérités si c’est pour faire souffrir? Quand on ne veut pas faire de mal, quand on s’applique à éviter le conflit, on devient souvent maître d’une communication toute particulière mêlant non-dits, mensonges, jargons professionnels et langue de bois. L’important c’est de ne pas avoir peur des mots. Marcha Van Boven et Dominique Pattuelli explorent le langage sous toutes ses facettes. À travers l’histoire de deux sœurs qui se retrouvent pour fêter Noël, les comédiennes explorent l’art de dissimuler les vérités et questionnent avec humour notre rapport à l’autre. ► Du 22 janvier au 7 février Le mercredi à 19h - Le jeudi et le vendredi à 20h30 Le 29.01 à 19h : Max. 10€ en prévente
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 548 25 80
    Réservation : +32 2 548 25 80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be
  • La difficile journée de Mademoiselle H

    22.01.2020  >  07.02.2020

    • Théâtre
    Bienvenue dans une Belgique uchronique rendue à nouveau compétitive grâce à l’utopie néolibérale !

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    Bienvenue dans une Belgique uchronique rendue à nouveau compétitive grâce à l’utopie néolibérale ! George est sans emploi. Il ne lui reste qu’une seule étoile sur son permis-chômage et, s’il la perd, il sera envoyé en séjour de réactivation dans un camp de travail en Ardennes pour assembler gratuitement des smartphones en prestant des journées de 72h. Anna, elle, est contrôleuse. C’est elle qui retire les étoiles. Aujourd’hui Anna doit contrôler George. Mais rien ne va se passer comme prévu… ► Du 22 janvier au 7 février Le mercredi à 19h - Le jeudi et le vendredi à 20h30 Le 29.01 à 19h : Max. 10€ en prévente Lundi-Théâtre (6€) : le 27.01 à 20h30 Deux représentations le 23.01 : à 14h et à 20h30 De Alexandre Drouet - Avec Sandrine Desmet et Hugues Hausman - Décor et costumes : Clémence Didion - Création lumières : Jérôme DEJEAN - Chorégraphies : Aubéline Barbieux - Assistanat à la mise en scène : Julien Besure - Diffusion : Christine Dejean - Visuel : Alexandre Drouet. Une création Le Projet Cryotopsie. En collaboration avec MTP memap. Avec l’aide du BAMP, du Centre culturel de Braine-l’Alleud et du CED-WB.
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 548 25 80
    Réservation : +32 2 548 25 80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be
  • Les Falaises

    22.01.2020  >  01.02.2020

    • Théâtre
    L’histoire se déroule sur trente-cinq années, des années 80 à nos jours. Bozec, Bruno, Claude, Denis et leur chef travaillent dans un commissariat désuet d’une petite ville de province, au bord de l’océan. Un jour, le commissaire disparaît. Que devient-il? Et pourquoi les autres restent-ils tous là?

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    L’histoire se déroule sur trente-cinq années, des années 80 à nos jours. Bozec, Bruno, Claude, Denis et leur chef travaillent dans un commissariat désuet d’une petite ville de province, au bord de l’océan. Un jour, le commissaire disparaît. Que devient-il? Et pourquoi les autres restent-ils tous là? Plusieurs fois par jour, ces personnes se croisent dans le couloir, travaillent, discutent, rêvent et se confient. Ce n’est pas le rythme intense qui habite les commissariats des séries télévisées. Aucun prisonnier, aucun avocat, aucun interrogatoire. La tension ne se situe pas sur une affaire policière, mais se concentre sur l’histoire interne et privée des personnages, sur la vie de tous les jours. Dans ce récit-chorale, les angoisses, les doutes, les questions, les mensonges, les amours, les trahisons, les manques et les objectifs ratés des personnages passent et repassent comme le temps. Les Falaises est le premier spectacle d’Antonin Jenny. Entouré de la même équipe depuis l’école – Alice De Cat à la lumière et Charles-Hippolyte Chatelard à la scénographie –, il porte une démarche novatrice, esthétiquement très étudiée. Antonin déplace le réel, par petites touches temporelles et rythmiques, le magnifie comme une œuvre d’art, inquiète et drolatique. Il mélange sans arrêt les codes : comédie, absurde et tragique s’entremêlent. En détournant le genre policier et en déplaçant l’endroit de la tension, il bouleverse les attentes des spectateurs. La pièce dresse une cartographie des relations réelles et fantasmées au travail, ou comment l’intime se fraie un chemin au sein d’un groupe de collègues.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be