Evénements du 1er avril 2019

Quatre jeunes filles kidnappée sur le yacht d'un milliardaire par des militants arabes, réclamant un blocus d'Israël. 

Un professeur de philosophie aigri jusqu’au nihilisme croit trouver un sens à sa vie dans l’accomplissement du meurtre parfait… Au service d...

L’académie de Muziekpublique propose plus de 50 cours de musiques et danses traditionnelles du monde. Tous les cours sont donnés par des musiciens et danseurs professionnels dans différents lieux à Bruxelles.

Aventuriers des océans, Petzi et ses amis naviguent sur un bateau qu’ils ont construit eux-mêmes de bric et de broc. Tout semble facile pour ces heureux compagnons : ils ne découvrent que des terres accueillantes peuplées d’animaux gentils et souriants.

« Passez notre amour à la machine. Faites le bouillir. Pour voir si les couleurs d’origine peuvent revenir » (A.Souchon). Pour sa première mise en scène, Delphine Bibet plonge dans le répertoire de la chanson française des années 60 à nos jours. A cette matière universelle et familière, elle associe des textes non moins universels des extraits des Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes. Au plateau, jouant sur la résonance entre les mots et la musique, Delphine Bibet, Thierry Hellin, Catherine Mestoussis et Alexandre Trocki proposent un playback comme un remède aux bleus à l’âme et au cœur. Car comme le dit si justement Barthes : « Le langage est une peau, je frotte mon langage contre l’autre. C’est comme si j’avais des mots en guise de doigts, ou des doigts au bout des mots. Mon langage tremble de désir, j’enroule l’autre dans mes mots, je le caresse, je le frôle, je me dépense à faire durer ce moment pour qu’il ne s’arrête jamais ».   Programme de salle  

Une usine à l’abandon, un nom de famille et une valise remplie de vieilles affaires. Dans ce premier film, Messaline Raverdy dresse un compte-rendu poétique de ses expériences personnelles quand en tant que jeune étudiante cinéaste elle s’installa dans la maison de sa grand-mère.

Un petit dernier pour la route ?

A une époque où le virtuel occupe une place toujours plus prégnante, Alec De Busschère (°1964, vit et travaille à Bruxelles) se plaît à mélanger geste pictural et langage numérique. Dans cette logique d’hybridation, il questionne l’identité tant individuelle que collective en alliant la tradition séculaire du portrait aux méandres des réseaux sociaux.