Evénements du 1er mars 2019

  • If beale street could talk

    27.02.2019  >  05.03.2019

    • Cinéma

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  • colette

    27.02.2019  >  05.03.2019

    • Cinéma

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  • mary queen of scots

    27.02.2019  >  05.03.2019

    • Cinéma

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  • Schieve Cabaret - Coiffure Liliane

    28.02.2019  >  02.03.2019

    • Théâtre

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    Après 4 ans d'absence, Coiffure Liliane revient pour trois soirées de cabaret exceptionnelles. Un délicieux melting-pot de numéros plus "schieve" les uns que les autres. Clowns, magiciens, effeuilleuses, chanteurs de charme… Une trentaine d'artistes de Bruxelles et d'ailleurs enflammeront la scène du Bruegel ces 28 février, 1er et 2 Mars. Venez retrouver l'ambiance festive de Coiffure Liliane le temps d'une soirée. Avant et après le spectacle : bar à bières, musique, danse, papote... Réservation indispensable au 0489 393 606
    Lieu
    Centre Culturel Bruegel
    Rue des Renards, 1 F
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 25034268
    Réservation : +32 25034268
    info@ccbruegel.be
    http://www.ccbruegel.be
  • Michel Mazzoni - Other things visible

    28.02.2019  >  14.04.2019

    • Exposition
    Michel Mazzoni (1966) est un artiste plasticien qui utilise le medium photographique et explore son essence. Une recherche et une réflexion sur les limites de l’image, une esthétique fragmentaire qui brouille le référent figuratif et révèle la matérialité des images, placent son travail à la frontière de la figuration et de l’abstraction.

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    Michel Mazzoni (1966) est un artiste plasticien qui utilise le medium photographique et explore son essence. Une recherche et une réflexion sur les limites de l’image, une esthétique fragmentaire qui brouille le référent figuratif et révèle la matérialité des images, placent son travail à la frontière de la figuration et de l’abstraction. Considérant que la photographie n’est pas un médium destiné à rendre compte du réel ou à en proposer une représentation fidèle, il s’éloigne de ce regard concret pour produire des «objets» venant brouiller notre vision établie. Le travail repose sur l’image en tant que motif, mais qui tendrait à disparaître. L’accident est chez lui le fruit d’un travail technique et d’une réflexion sémantique. Michel Mazzoni procède par soustraction et avec cette prise de distance, les images deviennent plus intrigantes, le spectateur s’interroge sur leur sens, leur contenu et leurs relations. Au moment de la création des images, il n’y a pas de mode opératoire défini, cela part de choses simples, de rencontres fortuites. Une façon de saisir la banalité pour la transformer en un univers poétique et conceptuel. Détourner les images de leurs usages pour en brouiller la lecture. Je dirais que mon approche est intemporelle et atemporelle : les lieux que je photographie ne sont pas vraiment définis et pourraient être dans des époques indéterminées. Il s’agit généralement de vues fragmentaires, des images «sans qualités», du quotidien avec d’infimes indices. Ces lieux sont là, bien réels mais la façon dont je les traite provoque cette distance abstraite et complexe. Ce que je cherche à montrer ce sont les forces qui y circulent et les pensées que cela fait naître chez celui qui regarde. Pointer des espaces, des lieux, des objets où cela «accroche», une présence visuelle forte mais qui n’explique rien. Les images qui retiennent l’attention, sont celles qui demandent aux spectateurs de s’arrêter, de regarder et de réfléchir, de se poser des questions sur ce qu’ils perçoivent et sur le processus de création de l’œuvre. Sur le plan formel, il s’agit d’une tentative d’épuisement et d’appauvrissement du médium par des procédés alternatifs et expérimentaux, à savoir des manipulations d’ordres lumineuses, chimiques, optiques (à la source, sur le négatif), ou directement sur l’image en post traitement (scans et impressions multiples, trames, inversions, courbes…). Michel Mazzoni Dans ses installations, ses scénographies, le choix et la séquence des images est faite selon ses critères propres, non communiqués au spectateur afin que celui-ci puisse créer lui-même un cheminement, des rapprochements, des distances, voire une narration. Ses dispositifs «in situ» développent des raccourcis sensoriels, des tensions qui affectent le regard, des expériences réflexives dont les significations restent en suspens. Parmi les moyens de diffusion, il affectionne également l’édition de livres dont le rapport fond/forme est méticuleusement pensé. La mise en espace des œuvres s’articule sur le même principe, avec des images qui entrent en résonance ou en contrepoint dans un souci rythmique qui tient compte de l’espace d’exposition. La confrontation, le rapprochement, l’échelle, l’espacement, la technique de tirage et le mode de présentation font partie intégrante de la perception globale de l’œuvre. A l’occasion de cette exposition paraîtra une publication de 128 pages : Michel Mazzoni, Other Things Visible, co-production Le Botanique et MER. Paper Kunsthalle.
    Lieu
    Botanique
    Rue Royale, 236
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +00 32 22183732
    info@botanique.be
    http://www.botanique.be
  • Page blanche

    28.02.2019  >  30.03.2019

    • Théâtre
    Le plein d’émotions

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    Avant de commencer le spectacle, le texte inexistant de la pièce est montré aux spectateurs : une page blanche. Un élément est demandé au public. Cela peut être un mot, un lieu, un genre à aborder,… Cette impulsion de départ est écrite sur la page blanche et à partir d’elle, les comédiens créent intégralement une pièce de théâtre d’1H15 de manière totalement spontanée. Ils se lancent dans une histoire qu’ils vont jouer au fur et à mesure qu’ils l’inventent et la découvrir en même temps que les spectateurs.
    Lieu
    Théâtre L'improviste
    rue de Fierlant, 120
    1190 Forest
    http://www.improviste.be/
  • lostmovements - Marc Vanrunxt / kunst/werk & Jan Martens

    28.02.2019  >  01.03.2019

    • Spectacle
    Les chemins artistiques de Marc Vanrunxt et de Jan Martens se sont déjà régulièrement croisés et se rencontrent à présent dans un solo pour Jan Martens. Vanrunxt a fait partie de cette vague innovante de la danse au début des années 80 en Flandre. Quelques générations plus tard, Jan Martens assure avec verve la relève et la poursuite de cette vague. Dans lostmovements, ils partent en quête de mouvements perdus et oubliés.

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    Les chemins artistiques de Marc Vanrunxt et de Jan Martens se sont déjà régulièrement croisés et se rencontrent à présent dans un solo pour Jan Martens. Vanrunxt a fait partie de cette vague innovante de la danse au début des années 80 en Flandre. Quelques générations plus tard, Jan Martens assure avec verve la relève et la poursuite de cette vague. Dans lostmovements, ils partent en quête de mouvements perdus et oubliés. Ou s’agit-il plutôt d’archiver des mouvements à venir, de mouvements négligés, de nouvelles intentions et ambitions pour (l’avenir de) la danse ? On aurait tout aussi bien pu y voir un prélude au passé de la danse, de ses mouvements, motifs et motivations. • Au cours des vingt dernières années, Marc Vanrunxt a développé une œuvre intègre. Discografie, ZEIT et Extraction, entre autres, étaient précédemment au programme du Kaaitheater. Jan Martens a réalisé, entre autres, The Dog Days Are Over et Sweat Baby Sweat, tous deux présentés au Theaterfestival.
    Lieu
    Kaaistudio's
    Rue Notre-Dame du Sommeil, 81
    1000 Bruxelles
    Tél : 02-201.59.59
    Réservation : 02-201.59.59
    info@kaaitheater.be
    http://www.kaaitheater.be
  • Making Men

    28.02.2019  >  01.03.2019

    • Spectacle
    Cet événement se compose de 3 parties : un film, un spectacle de danse et un débat. Making Men aborde le thème de la masculinité à travers une série de tableaux chorégraphiques qui évoquent différentes étapes que traverse un groupe d’hommes lors de son développement identitaire.

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    « On ne naît pas homme, on le devient » disait Erasme : Est-on vraiment libre de devenir l’homme que l’on souhaite, ou de devenir l’homme que nous sommes réellement au plus profond de notre intimité, de notre sensibilité ? Le stéréotype de la masculinité et le rôle de l’homme tel qu’il est imposé encore aujourd’hui, conduit-il au malaise et à la violence que l’on observe aujourd’hui ? Quatre danseurs africains explorent cette thématique en nous livrant une danse rythmée et forte, mais aussi sensible et poétique. Confrontés au doute et au trouble intérieur, ils s’expriment tantôt avec pudeur, tantôt avec rage et détermination. La richesse du style chorégraphique repose sur la fusion des danses africaines et occidentales ; il est rythmé et puissant, mais aussi subtil et sensible.
    Lieu
    Centre culturel Espace Magh asbl
    Rue du Poinçon, 17
    1000 Bruxelles
    Tél : 02-274.05.10
    info@espacemagh.be
    http://www.espacemagh.be
  • Je ne suis pas une arme de guerre - Bourask ! Festival

    28.02.2019  >  02.03.2019

    • Théâtre
    Le viol de guerre vise à détruire, au travers de la femme, la famille et l’ensemble d’une communauté. Un spectacle témoigne pour ces femmes, où qu’elles soient dans le monde, afin que leur corps ne soit plus un champ de bataille, qu’elles puissent sortir de leur isolement et réintégrer la société.

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    Dans un espace vide, un musicien et une femme sacrificielle nous plongent dans l’horreur du nettoyage ethnique. Cette « madone » universelle, témoigne du sort des femmes utilisées comme arme de guerre. Ni cri, ni plainte. Cette voix nue raconte l’horreur vécue au nom de la pureté ethnique qui, quels que soient les époques et les lieux, partage le monde en bourreaux et victimes. Son témoignage est un plaidoyer pour l’humanité, contre les folies nationalistes et les crimes qui en résultent. Il n’en est pas moins un hymne à l’amour et à la liberté. S’y mêlent sons de guitare rock, prises de paroles, proclamations universelles, projections oniriques, chant d’amour qui embrasent la salle et font communier acteur et spectateur. Inspiré de la chronique tenue par Sevdije Ahmeti, militante albanaise des droits de l’homme, durant la guerre au Kosovo, ce projet collectif traite des crimes contre l’humanité parmi lesquels le viol, utilisé comme arme de guerre, atteint le sommet de l’indignité dans la hiérarchie des barbaries modernes. La pièce dénonce avec une dignité exemplaire les exactions commises contre les femmes et les enfants, dans ces périodes de feu et de sang, et adresse aux spectateurs un message universel de résistance au mal et de commune humanité avec d’autres peuples humiliés et opprimés. Le viol de guerre vise à détruire, au travers de la femme, la famille et l’ensemble d’une communauté. Il empêche toute réconciliation future. Parce que la honte est trop forte pour que la femme puisse exprimer publiquement la moindre revendication. Cette création théâtrale témoigne pour ces femmes, où qu’elles soient dans le monde, afin que leur corps ne soit plus un champ de bataille, qu’elles puissent sortir de leur isolement et réintégrer la société. Du 28 février au 2 mars, dans la cadre du Bourask! Festival
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : 02-548.25.80
    Réservation : 02-548.25.80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be
  • Myriam Van Imschoot - Le Cadeau

    28.02.2019  >  10.03.2019

    • Exposition
    Myriam Van Imschoot est une artiste qui œuvre dans les domaines de la performance, du film, de la poésie sonore et dans l’espace public.

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    Le Cadeau est une ode au 'youyou' ou 'zagharit' (en arabe), ce cri strident pratiqué par les femmes notamment en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, Afrique subsaharienne, pour exprimer la joie et d’autres émotions intenses. Aujourd’hui, dans des contextes occidentaux, il se fait entendre de plus en plus souvent dans les paysages sonores des espaces privés et publics. Dans ce film, quatre portraits de femmes évoquent leur relation personnelle au youyou et à leur voix. Leurs histoires trouvent un aboutissement dans une performance collective du groupe bruxellois YOUYOU. Du haut des toits de Bruxelles, de leurs voix puissantes, elles lancent leur chant sur la ville comme l’on jette un sortilège. Myriam Van Imschoot est une artiste qui œuvre dans les domaines de la performance, du film, de la poésie sonore et dans l’espace public.
    Lieu
    ARGOS, Centre for Art & Media
    Rue du Chantier, 13
    1000 Bruxelles
    Tél : +00 32 (0)2 229 00 03
    Réservation : +00 32 (0)2 229 00 03
    info@argosarts.org
    http://www.argosarts.org