Evénements du 22 mars 2026

  • Visite du Musée René Magritte (Maison) et du Musée d’Art abstrait

    01.09.2025  >  31.03.2026

    • Expositions
    Maison où Magritte vécut de 1930 à 1954. Le musée montre le vrai cadre de vie de l’artiste, des gouaches, dessins et peintures ainsi que des centaines de photos, lettres et documents personnels.

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    Le Musée René Magritte occupe la maison où le surréaliste belge œuvra pendant près de 24 ans. L’artiste a occupé le rez-de-chaussée de cette maison de rapport pendant sa période surréaliste la plus féconde, de 1930 à 1954. Il la quitte à 55 ans alors qu’il a acquis une renommée internationale. Cette maison fut ensuite rachetée et rénovée par un passionné d’art dans les années 90. Depuis 1999, elle est ouverte au public pour une visite qui s’organise autour de deux parties: au rez-de-chaussée, l’appartement de Magritte reconstitué principalement avec le mobilier authentique et aux étages une exposition biographique dédiée au peintre.
    Lieu
    Musée René Magritte (Maison)
    Rue Esseghem, 135
    1090 Jette
    Tél : +32 2 428 26 26
    Réservation : +32 2 428 26 26
    info@magrittemuseum.be
    http://www.magrittemuseum.be

  • CinéSoupe

    09.11.2025  >  22.03.2026

    • Cinéma

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    Le CinéSoupe, c’est un programme itinérant de courts métrages en Belgique et dans le nord de la France, doublé d’un échange final autour d’un délicieux buffet soupe. Un concept unique pour découvrir la richesse du format court à travers une belle sélection internationale, offrir un aperçu de la diversité des techniques de réalisation cinématographiques et aborder des sujets de société ou des thématiques plus légères dans un contexte créatif, original et convivial. Pour la neuvième année, BahVoyons ! asbl revient à la Tricoterie pour une projection spécialement destinée aux jeunes enfants : une sélection de films courts internationaux qui offre un bel aperçu de la diversité de ce format si peu représenté sur grand écran. La projection sera suivie par un petit échange sur les films vus, en s’attardant autant sur les techniques abordées que sur les thèmes évoqués. Une belle façon de s’initier au cinéma d’aujourd’hui, tout en apprenant de façon ludique à analyser le monde qui nous entoure. En bonus, les enfants repartiront avec un petit bricolage à faire à la maison : un thaumatrope (jouet optique du pré-cinéma). Durée de l’activité : 1h max. (35 min de films + échange avec les enfants) Réservations par mail : severine.bahvoyons@gmail.com Dates et heure : 9/11/25 et 22/03/26 à 14H30 Tarif : 7€ - Articles 27 Salle : Boudoir
    Lieu
    La Tricoterie - Fabrique de liens
    Rue Théodore Verhaegen, 158
    1060 Saint-Gilles
    Tél : + 32 (0)2 537 96 69
    charlotte@tricoterie.be
    http://www.tricoterie.be

  • Déshabillez-moi

    16.11.2025  >  22.03.2026

    • Théâtre

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    Mise en scène Frédérique Lecomte 3 portraits singuliers 3 seul en scène 3 fois 30 minutes Suivi d’un débat Artistes : Angélique Sautois OH MY SWEET DARLING Pendant des années , elle jouait le cliché de l’homme qui a des gros muscles, répare des voitures, lit Playboy. Aujourd’hui, Elle se déshabille de ses aliénations, de ses masques, des diktats de genre. En robe rouge pétillante, elle se découvre hybride, multiple et se réinvente. Sonia Byby LE PASSE-TÊTE Sonia Byby, c’est de l’or brut. Une Castafiore bouleversante. Elle chante avec fureur l’ironie de son sort. De sang belge et congolais, elle n’a pas de papiers, pas de travail, pas de pays. Elle hachure, invente des mots, chante sur ses failles et ses enfants qu’elle pleure. Elle voyage à travers les corps de Mama Mia, Wonder Woman ou encore Fiona, la femme de Shrek, bouleversés par cette sorcière groovy au grand cœur. Christine Mobers T H A T ’ S L I F E Elle n’est pas noire, pas lesbienne, pas transgenre…Pas tout à fait handicapée, ni vraiment vieille… Alors, de quoi va-t-elle parler, me direz-vous. Des années 50, de sa mère cette héroïne de la modernité, de la libération sexuelle, de l’Espagne si elle en a le temps. Elle ne fera pas de strip-tease, eh non… mais un acte magique. Sur des musiques de Frank Sinatra, Janis Joplin et Shirley Bassey, elle vous racontera sa vie banale et unique à la fois. Avec le soutien de la FWB et de la Cocof Photo : Véronique Vercheval Dates & Heure : 16.11 & 22.03 à 19H Salle : Boudoir Prix : 14€ | 10€ | art. 27
    Lieu
    La Tricoterie - Fabrique de liens
    Rue Théodore Verhaegen, 158
    1060 Saint-Gilles
    Tél : + 32 (0)2 537 96 69
    charlotte@tricoterie.be
    http://www.tricoterie.be

  • Pascal Kaduli en rodage

    20.01.2026  >  31.03.2026

    • Théâtre
    Imagine un nuage magique qui t'élève au-dessus de tes doutes et galères. Ce nuage, c’est un voyage : de la vingtaine floue, où chaque détour semble nous éloigner de ce que l’on pensait être la bonne route, à la trentaine où l'on se demande si on a fait les bons choix.

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    C’est aussi le trajet entre l’Afrique, terre natale, et l’Europe, terre d'accueil, avec ses chocs culturels, ses contradictions et une double virilité imposée. Entre stéréotypes et pressions sociales, comment trouver sa voie ? Embarque pour ce voyage chaotique, décalé, touchant, mais surtout hilarant.
    Lieu
    Le Petit Chapeau Rond Rouge
    Rue Père Eudore Devroye, 12
    1040 Etterbeek
    Tél : +32 498 51 35 63
    info@lepetitchapeaurondrouge.be
    http://www.lepetitchapeaurondrouge.be

  • Max Gericke ou pareille au même

    10.03.2026  >  04.04.2026

    • Théâtre

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    Les apparences sont trompeuses… Personne ne sait que Max est mort, alors, pour survivre, Ella, sa femme, coupe ses cheveux, se glisse dans les vêtements de Max, et prend sa place dans l’entreprise : il était grutier ! La voilà travestie par obligation. Mais dans une période de crise économique, si elle veut continuer à toucher la paye, elle n’a trouvé que ce plan-là. La voilà prisonnière de son apparence, la tromperie va devenir sa réalité. Ella va devenir Max, et sa vie va se résumer désormais à cela : s’assurer que tout le monde le croit et le voit. Max est donc un homme qui est une femme qui joue un homme. Et Anne Sylvain sera cette comédienne qui sera cette femme qui joue à devenir un homme… Les apparences sont décidément trompeuses ! À l’heure où les questions de genres entrent dans le débat, à l’heure où la peur et l’intolérance, refont surface, ce spectacle tombe à pic. Créé il y a un an, dans une mise en scène épurée, Max Gericke avec une comédienne au sommet, a emporté les spectateurs et offert aux publics l’une des plus belles émotions que permet le théâtre : l’empathie. _______ De : Manfred Karge / Mise en scène : Jeanne Kacenelenbogen / Avec : Anne Sylvain / Traduction : Michel Bataillon / Assistanat à la mise en scène : Chloé Struvay / Lumière : Laurent Kaye / Musique originale : Jean-Philippe Feiss / Régie : Martin Celis _______ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES – DIRECTION DU THÉÂTRE. La pièce « Max Gericke ou pareille au même » de Manfred Karge (Traduction Michel Bataillon) est représentée par L’Arche – Agence théâtrale. www.arche-editeur.com
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be

  • Le Long Chemin du retour

    10.03.2026  >  28.03.2026

    • Théâtre
    Nick et Tom reviennent à la maison après avoir fait la guerre d’Afghanistan. En apparence ils vont bien. Mais ils ont ramené avec eux quelques souvenirs encombrants : les fantômes de soldats en mission envahissent leur quotidien, troublant les retrouvailles en famille, perturbant leurs jours et leurs nuits, s’immisçant dans les tâches ménagères, et leurs tentatives d’oublier ce qu’ils ont vu...

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    "Capitaine Crackafat : Donc, avant de quitter l’Afghanistan, vous avez été soumis aux tests de dépistage psychologique préalable à un retour. Tom : Je m’en suis sorti comment ? Capitaine Crackafat : Vous vous en êtes très bien sorti. Je dirais même parfaitement bien. Aucun problème, absolument aucun." Daniel Keene Nick et Tom reviennent à la maison après avoir fait la guerre d’Afghanistan. En apparence ils vont bien. Mais ils ont ramené avec eux quelques souvenirs encombrants : les fantômes de soldats en mission envahissent leur quotidien, troublant les retrouvailles en famille, perturbant leurs jours et leurs nuits, s’immisçant dans les tâches ménagères, et leurs tentatives d’oublier ce qu’ils ont vu... Face à eux, sur leur Long Chemin du retour, presque comme dans un duel, celles qui partagent leurs vies tentent de les soutenir et de les recoller en un seul morceau. Le Long Chemin du retour permet d’ouvrir la réflexion tant sur les dégâts collatéraux des guerres se profilant à nos portes, que sur une certaine attirance pour la violence. Dans un premier temps, la pièce de Daniel Keene fut écrite à des fins thérapeutiques pour et avec des soldats des forces armées australiennes déployées en Afghanistan, en Irak, au Timor et en Somalie. Il est étonnant de constater combien ceux-ci ont conservé un sens de l’humour à toute épreuve, auquel il s’agissait aussi de rendre hommage.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be

  • Respire

    10.03.2026  >  28.03.2026

    • Théâtre
    Ce seule-en-scène de et avec Geneviève Damas aborde avec humour et tendresse la question de l’argent – de l’(im)possibilité de le dépenser – et de l’autonomie des femmes. Au départ de son histoire familiale, la comédienne tente de comprendre comment une incapacité quotidienne révèle les traces de la grande Histoire dans les destinées humaines.

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    Respire est une histoire vraie. Il raconte comment nos vies sont tissées d’autres vies. Comment mon rapport à l’argent est directement lié à la manière dont la famille de ma mère a traversé la guerre. Respire est un texte tragi-comique qui transforme ma mère en héroïne d’une résistance sourde et tenace ; où mon père fait office de sauveur malgré lui. Une petite histoire fracassée par la grande. À la fois ridicule et étrangement belle Qui dit que ce qui a été impacte ce qui est Où la mort n’est pas aussi définitive que ce qu’on imagine. Il y a mon grand-père qui amasse Ma grand-mère sans dot L’oncle mort sur le front de l’Yser L’arrière-grand-père qui fuit en Angleterre Le cousin qui se mêle de ce qui ne le regarde pas Et des femmes qui thésaurisent Qui comptent Les poings serrés pour que rien ne leur file entre les doigts. Comment l’argent structure-t-il une famille ? Une femme interroge son rapport à la richesse et à l’héritage. De quoi est-on riche ? De ce que l’on offre ou de ce que l’on reçoit ? De ce qui sonne et qui trébuche ? Ou de ce qui est impalpable, l’héritage culturel, intellectuel, voire génétique ? Respire appartient au registre de l’intime, du secret, et affirme un rapport de proximité avec le public. En interlocuteur privilégié, celui-ci entre dans les pensées et les souvenirs de la narratrice, par l’intermédiaire de ses mots, des diapositives familiales et des bribes de musiques. Au travers d’une histoire singulière, un fragment de l’histoire de la Belgique au 20ème siècle se révèle et touche tout·e un·e chacun·e. À la fois histoire vraie, confession, fumisterie et théâtre, l’autofiction se déploie, soutenue par la création musicale originale et enveloppante du compositeur Fabian Fiorini. Un spectacle en forme d’hommage, un devoir de réparation à ses pairs.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be

  • En finir avec Eddy Bellegueule

    17.03.2026  >  22.03.2026

    • Théâtre

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    « Il fallait fuir. Mais d’abord, on ne pense pas spontanément à la fuite parce qu’on ignore qu’il existe un ailleurs. On ne sait pas que la fuite est une possibilité. On essaye dans un premier temps d’être comme les autres, et j’ai essayé d’être comme toute le monde. » Eddy Bellegueule est un enfant considéré par sa famille et les gens du village comme différent des autres. Exclu, harcelé, violenté, Eddy évolue dans un milieu précaire où cinq euros de plus ou de moins font la différence à chaque fi n de mois, où les garçons doivent rejeter l'école et mépriser leurs professeur·es, où la seule façon de se construire en tant qu'homme est d'être reconnu comme un dur ! Un monde où le travail à l'usine détruit les corps des ouvrier·ère·s, où l'on se retrouve au chômage du jour au lendemain, où l'on boit pour oublier, où la télévision est allumée à longueur de journée, où écrasé·e·s, abandonné·e·s et déçu·e·s par les gouvernements en place, on vote Front National, car les discours racistes sont omniprésents. Un milieu aussi, où l'on déteste les pédés. Et Eddy est un pédé. Depuis l'écriture de ce premier roman, Édouard Louis a pris une place à part entière dans la vie politique actuelle. Icône générationnelle, il apporte à la littérature une réalité qui en est trop souvent invisibilisée : l'injustice sociale, la violence d'un monde oublié de la classe dominante, où toute différence est vécue comme une faiblesse.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be

  • Nullipare

    17.03.2026  >  28.03.2026

    • Théâtre
    À l’aube de ses 40 ans, Nullipare fait le constat doux-amer de ne pas être devenue mère. Elle qui l’avait tellement espéré. Seule sur scène au milieu de ses jouets, assise pour l’éternité à la table des enfants, elle entreprend une discussion avec elle-même petite. Théâtre, en français

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    À l’aube de ses 40 ans, Nullipare fait le constat doux-amer de ne pas être devenue mère. Elle qui l’avait tellement espéré. Seule sur scène au milieu de ses jouets, assise pour l’éternité à la table des enfants, elle entreprend une discussion avec elle-même petite. Faire des enfants, avoir une famille à soi, c’était une façon de laisser une trace, ne pas mourir seule. Aujourd’hui elle ne sait plus. Comment Nullipare va-t-elle faire pour transformer un rêve d’enfant déçu en une nouvelle narration puissante ? Quels modèles existent-ils autour d’elle ? À travers l'univers onirique que Nullipare déploie sous nos yeux, des voix de femmes sont invitées à partager leurs récits, la guidant sur le chemin de la résilience. Théâtre, en français
    Lieu
    Théâtre de la Vie
    Rue Traversière, 45
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 219 11 86
    Réservation : +32 2 219 60 06
    reservations@theatredelavie.be
    http://www.theatredelavie.be

  • Bonjour, on est un tsunami

    19.03.2026  >  27.03.2026

    • Théâtre
    Un road trip initiatique qui fonce à travers l’adolescence au volant d’une 2CV et explore – avec humour et tendresse – les méandres de la fin de l’enfance.

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    À 18 ans, guidé·es par leur soif de liberté, quatre ami·es réparent une 2CV toute rouillée et prennent le large, pour la première fois. Direction : l’aventure ! Sur scène, des années plus tard, l’un d’ell·eux se souvient. Il nous raconte l’exaltation du départ, les soirs d’été, les premiers frissons et les grands banquets… Immanquablement, le souvenir submerge. Car ce voyage est bien plus grand qu’une trajectoire sur la carte : la découverte du monde et la perte de l’innocence, on ne les vit qu’une seule fois…   Que laissons-nous derrière nous, en devenant adultes ? Comment le désir d’être libres se confronte-t-il à l’appréhension des responsabilités ? Comment la réalité répond-elle aux velléités d’émancipation ? Avec un regard autobiographique et un humour hors-pair, la Compagnie Renards / Effet Mer explore ce passage, à la fois tendre et féroce, qui marque la fin de l’enfance. Seul en scène, Baptiste Toulemonde jongle merveilleusement entre mille et un personnages, contant avec ferveur et sensibilité les péripéties d’un quatuor adolescent.     Après Foxes et Tadam, la Compagnie Renards / Effet Mer continue de nous faire vibrer avec un spectacle intergénérationnel, s’adressant autant à la nostalgie des plus grand·es qu’à l’imaginaire et aux projections des plus jeunes. En proposant une réécriture du spectacle créé en 2012, nourrie des réflexions et interrogations actuelles de la compagnie, Arthur Oudar et Baptiste Toulemonde signent une véritable ode à l’amitié, à la fête et aux premières fois, dont on sort certes bouleversé·es – mais avec un désir toujours intact... 
    Lieu
    Studio Varia
    Rue Gray, 154
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    info@varia.be
    http://www.varia.be