Evénements du 13 février 2025

  • La nuit du fils

    12.02.2025  >  09.03.2025

    • Théâtre
    "La nuit du fils" Giuseppe Santoliquido Exploration captivante des relations familiales, des secrets enfouis et des réalités changeantes, cette pièce invite le spectateur à plonger dans un univers de mystère et d'intrigue.

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    Fait-on jamais le deuil de celui ou de celle que nous n’avons pas été ? Enfant, des songes nous électrisent, agitent les fantasmes d’une vie pailletée d’éclat et de liberté, de rencontres et d’aventures, de jours prodigieux. Puis la vie nous arrime à la réalité, moins enchanteresse que dans nos rêves, et avec laquelle nous sommes contraints de composer. Voici une œuvre originale, l’histoire complexe d’un père et son fils au milieu de leur garage automobile où différents personnages vont et viennent. Giuseppe Santoliquido est un écrivain belge, auteur de romans (L’été sans retour, L’audition du docteur Fernando Gasparri, L’inconnu du parvis, …) de nouvelles et de pièces de théâtre. Son écriture porte en elle des questions riches d’échos, traverse des thèmes foisonnants et le fait dans une langue attachante. Exploration captivante des relations familiales, des secrets enfouis et des réalités changeantes, cette pièce invite le spectateur à plonger dans un univers de mystère et d'intrigue. « Rien n’est plus complexe que l’aventure humaine. Et rien n’est moins personnel non plus... » - Giuseppe Santoliquido
    Lieu
    Théâtre Royal des Galeries
    Galerie du Roi, 32
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 04 07
    Réservation : +32 2 512 04 07
    infos@trg.be
    http://www.trg.be
  • L’appartement à trous

    12.02.2025  >  16.02.2025

    • Théâtre

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    les vies en soi - volet 4 60 minutes pour parler toutes les langues Sur une table aux multiples tiroirs, Patrick Corillon redonne vie à des cahiers de dessins comme le faisait Ossip Mandelstam quand, pour garder espoir, il racontait des histoires aux compagnons qui partageaient sa cellule de prison. S’il est bien connu que les histoires peuvent nous sauver, y parviennent-elles parce qu’elles ont le pouvoir de nous emmener hors du monde, ou au contraire parce qu’elles nous donnent la force de nous confronter aux réalités les plus dures ? Profitez de tarifs attractifs en combinant l’achat de plusieurs volets des Vies en soi grâce au Combo 3, 5 ou 7 ! COMBO 3 : Plein tarif 54 € | + 65 ans 45 € | – 30 ans 33 € COMBO 5 : Plein tarif 80 € | + 65 ans 65 € | – 30 ans 50 € COMBO 7 : Plein tarif 100 € | + 65 ans 80 € | – 30 ans 65 €
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Prestige // Concertini de La Monnaie

    13.02.2025

    • Concert
    La musique de chambre, c’est l’art du dialogue musical entre les instruments, les interprètes, et le public. Faire de la musique ensemble d’un même souffle pour proposer un autre rapport à la scène.

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    Avec cette série de quatre concerts à la programmation éclectique, les solistes de l’Orchestre symphonique de la Monnaie continuent de vagabonder dans l’histoire de la musique, piochant dans le grand répertoire comme dans les musiques populaires, jouant des sonorités, des styles, et des univers, avec une liberté et une qualité de jeu inépuisables. Au programme : JOÃO GUILHERME RIPPER (°1959) : Duo Sonatina (2006) ROBERT SCHUMANN (1810-1856) : Drei Romanzen, op. 94 (1849) et Sechs studien in Kanonischer form, op. 56 (1845)
    Lieu
    Centre Culturel d'Uccle
    Rue Rouge, 47
    1180 Uccle
    Tél : +32 2 374 64 84
    Réservation : +32 2 374 64 84
    reservation@ccu.be
    http://www.ccu.be
  • Comment j’ai retrouvé ma mère

    13.02.2025

    • Divers

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    Dans cette série radiophonique en neuf épisodes, Juliette Mogenet, qui est déjà passée par Archipel 19 notamment pour un projet sonore à Hunderenveld, part de sa relation avec sa propre mère pour questionner la construction de la maternité dans notre société. Avec Audrey Lise Mallet, la coréalisatrice, elles ont rencontré des mères, des chercheuses, des activistes, des femmes qui souhaitent ne pas être mères, des travailleuses du soin, des autrices… Alliant ces témoignages à des analyses et des décryptages, elles abordent la question sous différents angles : travail, argent, santé, représentations, accès à l’espace public, construction de la famille… Autant de dimensions traversées par de nombreuses violences systémiques envers les femmes. Entre le récit intime d’une réconciliation et l’analyse systémique d’un enjeu social majeur, Comment j’ai retrouvé ma mère est un documentaire critique et consolatoire, qui dessine aussi des pistes de solutions pour des maternités plus joyeuses et plus épanouies. Pour ce Babel Bar, nous vous proposons une session d’écoute d’extraits sonores ainsi qu’une rencontre avec Juliette, modérée par Sabine Panet, rédactrice en chef d’Axelle, le magazine féministe belge qui a produit le podcast. © Visuel : Marine Schneider
    Lieu
    Burger Café Citoyen
    Avenue du Panthéon, 14
    1081 Koekelberg
    Tél : +32 80 08 59 03
    burgercafecitoyen@koekelberg.brussels
    https://koecoon.be/cafe-citoyen/
  • Reappropriation of Public Space

    13.02.2025

    • Divers
    Depuis les années 1990, les théâtres indépendants d'Istanbul ont transformé des espaces à l’abandon en centres de créativité et de résistance, remettant ainsi en question les normes et amplifiant les voix marginalisées. Au-delà de la performance, ils réimaginent l'espace public, en affirmant le droit d'être vu·e et entendu·e dans une ville en pleine mutation. Qu'il s'agisse d'actes quotidiens ou de la résonance politique du mouvement de protestation du parc Gezi  de 2013, ces théâtres ne cessent d'aménager des espaces pour l'art et la communauté. Cette conférence explore leur impact et établit des parallèles avec Bruxelles, en s'interrogeant sur la manière dont les villes peuvent être reconquises par la créativité et la visibilité.

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    La scène théâtrale indépendante d'Istanbul est une constellation de créativité, de résilience et d'innovation qui demeure largement invisible dans les récits occidentaux dominants sur la Turquie. Au-delà des gros titres politiques et des transformations urbaines, ces théâtres ont, au fil du temps, été à l’origine d'une transformation discrète du tissu social et culturel de la ville depuis les années 1990.En réaffectant des lieux vacants pour en faire des espaces de représentation intimes, des groupes indépendants ont redéfini les limites de la scène et la signification de l'espace public. Ces espaces ne se bornent pas à accueillir des spectacles : ils remettent en question les normes sociétales, rendent visibles les récits des minorités et créent des arènes où les récits des exclu·es du récit dominant peuvent être entendu·es et vu·es.Les pratiques artistiques des théâtres alternatifs d'Istanbul réorganisent les relations entre le public et les artistes, et font écho à la manière dont l'espace public lui-même peut être contesté et reconfiguré. Elles revendiquent leur droit à la ville, en apportant une nouvelle visibilité aux communautés marginalisées et en réimaginant le rôle de l'art dans la vie urbaine. Ces actes entrent en résonance avec des questions plus générales sur la manière dont les villes sont encadrées : Qui y est vu·e et qui est en exclu·e ?Des événements comme le mouvement de protestation du parc Gezi en 2013 ont mis en lumière le potentiel politique de ces espaces, les places publiques devenant le théâtre d'une résistance et d'une créativité collectives. La véritable force de ce mouvement théâtral réside cependant dans son engagement quotidien dans le paysage urbain dynamique d'Istanbul, en créant continuellement des espaces pour l'art et la sociabilité au milieu du flux constant de la ville.Cette conférence invite le public à explorer cette dimension méconnue d'Istanbul, tout en établissant des comparaisons avec Bruxelles. Que peuvent nous apprendre ces théâtres alternatifs sur la reconquête des espaces urbains pour la créativité, la visibilité et la communauté ? Et comment l'art peut-il remettre en question la manière dont les villes sont encadrées et vécues ?
    Lieu
    Kaaistudio's
    Rue Notre-Dame du Sommeil, 81
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 201 59 59
    Réservation : +32 2 201 59 59
    info@kaaitheater.be
    http://www.kaaitheater.be
  • Le ciné club des Sous-Entendu·e·s : Irréprochables

    13.02.2025  >  26.02.2025

    • Cinéma
    Confrontées à la perte de leurs droits parentaux ou mises en péril suite à des décisions de justice, des mères rencontrent des actrices et leur racontent comment se sont tissés leurs parcours au sein des institutions de l'Aide à la Jeunesse.

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    Confrontées à la perte de leurs droits parentaux ou mises en péril suite à des décisions de justice, des mères rencontrent des actrices et leur racontent comment se sont tissés leurs parcours au sein des institutions de l'Aide à la Jeunesse. Ensemble, elles rejouent les failles d'un système qui, petit à petit, ont éloigné ces mères de leurs enfants. Cineflagey by Cinematek & Kinograph Le ciné club des Sous-Entendu·e·s En collaboration avec le Kinograph, la collective féministe Les Sous-Entendu.e.s vous proposera des documentaires ou des films qui seront suivis d'un débat avec des intervenant·e·s autour de thèmes en lien avec les violences sexistes et sexuelles mais aussi de la représentation des personnes FINTA (Femmes, personnes Intersexes, personnes Non binaires, personnes Trans et personnes agenres) sur les petits et grands écrans. Qu'il s'agisse de films à grand succès ou de documentaires, nous vous proposerons de les aborder avec un angle féministe et intersectionnel. € 7
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 20
    Réservation : +32 2 641 10 20
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • Jeudi de l’histoire : Victor Jamaer, 200 ans d’un grand architecte à Bruxelles

    13.02.2025

    • Animations
    Né à Bruxelles en 1825, Victor Jamaer marque l'histoire architecturale de notre ville. Devenu Architecte de la Ville en 1864, il joue un rôle déterminant dans le façonnement du paysage urbanistique bruxelloise au 19e siècle.

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    Né à Bruxelles en 1825, Victor Jamaer marque l'histoire architecturale de notre ville. Devenu Architecte de la Ville en 1864, il joue un rôle déterminant dans le façonnement du paysage urbanistique bruxelloise au 19e siècle. On lui doit des contributions majeures à des bâtiments emblématiques tels que la Maison du Roi qui abrite aujourd'hui le Musée et sa propre maison (avenue de Stalingrad). Victor Jamaer supervise également d’importantes restaurations, comme celles de l'église de la Chapelle, de l’Hôtel de Ville et plusieurs maisons de la Grand-Place. À l’occasion des 200 ans de sa naissance, nous vous invitons à (re)découvrir la vie et l’œuvre de cet architecte visionnaire lors d’une conférence gratuite. Plongez dans l’histoire et laissez-vous inspirer par le riche patrimoine laissé par Victor Jamaer.
    Lieu
    Musée de la Ville de Bruxelles / Maison du Roi
    Grand-Place
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 279 43 50
    Réservation : +32 2 279 43 67
    musea@brucity.be
    http://www.museedelavilledebruxelles.brussels
  • Rectum Crocodile

    13.02.2025  >  14.02.2025

    • Spectacle
    Rectum Crocodile sonne comme le titre d’un roman noir et décalé, mais c’est un conte fabuleux où les personnages défilent dans de magnifiques parures. Ainsi, fantômes, humain•e•s et bêtes se mêlent, les arbres parlent, et collectivement, ce beau monde tente d’expier un colonialisme tenace.

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    Au cœur d’une plantation coloniale, les êtres vivants ou morts défilent et se croisent, guidés par la voix malicieuse et énigmatique d’un enfant. Tout droit jaillis de l’imaginaire carnavalesque des Caraïbes, différentes figures nous font face, déclamant poèmes et incantations. Rectum Crocodile est un conte magique, une fable politique et dansée qui tente d’exorciser les fantômes de la domination blanche dans le « Nouveau Monde ».Marvin M'Toumo, créateur de mode et metteur en scène, nous offre ici une création profonde et fiévreuse où les gestes se mêlent aux mots et où les deux se confondent dans la danse. Les costumes soigneusement conçus constituent le point de départ de la pièce, qui se situe à l'intersection de plusieurs arts tels que la mode, la danse, la performance, les arts visuels, le théâtre et la poésie. Au milieu d'une plantation luxuriante, la nature et les gens s'interrogent sur l'esclavage, le colonialisme et la fétichisation. Les dynamiques coloniales qui façonnent nos façons d'aimer, notre sexualité et nos relations sont mises en avant. M'Toumo lance ainsi un défilé plein de frictions, dans lequel les corps et les voix qui se croisent reprennent radicalement leur pouvoir. Rectum Crocodile est autant un rugissement qu’un manifeste. Éblouissante et insolente de magnificence, la pièce convoque le passé colonial et lui demande des comptes.  • Marvin M’toumo est un artiste dont la poésie singulière se réclame au-delà des distinctions académiques entre arts, théâtre, littérature et mode. Il exprime sa sensibilité dans la fluidité, où il place les identités, les stéréotypes et les archétypes au centre d’une poétique critique remplie de symboles, d’humour et de dramaturgie. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Villa Arson de Nice en 2016 et de la Haute Ecole d’Arts et de Design (HEAD) de Genève en 2019, Rectum Crocodile est sa deuxième création de théâtre après Concours de larmes (2022), qu’il a écrit, mis en scène, performé et pour laquelle il a conçu la scénographie et les costumes. Dans le monde de la mode, il a collaboré avec l’atelier Lognon de la maison Chanel et avec la maison Jean Paul Gaultier.
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be
  • Conférence de Maïté Maskens – « Les frontières de l’amour au guichet de l’état civil : une ethnographie bruxelloise »

    13.02.2025

    • Conférences et congrès
    Maïté Maskens est docteure en anthropologie et maître de conférences à l’Université libre de Bruxelles. Ses intérêts intellectuels hétéroclites l’ont porté à travailler sur le pentecôtisme, le genre, la migration, l’amour, la bureaucratie et l’utopie.

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    Ses recherches ont d’abord portés sur les formes spécifiquement religieuses d’incorporation de fidèles euro-africain.e.s et euro-latino-américain.e.s à Bruxelles. À partir d’une ethnographie fournie et détaillée, sa thèse de doctorat avait pour ambition de décrire et d’analyser l’enchevêtrement particulier entre l’expérience migratoire d’acteurs.rices euro-africain.e.s et euro-latino-américain.e.s à Bruxelles et leur affiliation religieuse au(x) pentecôtisme(s) dans cette même ville. En effet, il s’agissait d’explorer la manière dont les converti.e.s travaillent collectivement à réaliser la transformation encouragée par le scénario religieux qui consiste à appliquer le « plan parfait de Dieu » dans leur vie. C’est ainsi que les fidèles – qui sont aussi des migrant.e.s et dont la légitimité de citoyen à part entière est constamment mise en doute – s’appuient sur la lettre biblique pour donner une consistance divine à leur présence sur le territoire belge. Par la suite, ses travaux ont questionné l’administration par l’Etat belge de l’intimité. Maïté Maskens s’est concentré sur l’étude des interactions entre agents de l’Etat et couples binationaux dans le cadre des politiques publiques de luttes contre l’instrumentalisation de l’institution maritale. Ces unions qui questionnent les contours et les contenus des frontières produisent des anxiétés étatiques dans de nombreux pays européens car elles touchent à la question de l’inclusion nationale. A ce titre, elles sont un peu partout l’objet de régulations de plus en plus strictes. Sa recherche postdoctorale a questionné de manière ethnographique la mise en œuvre des politiques publiques à l’échelon communal (agents de l’état civil) et à l’échelon fédéral (cellule de police spécialisée « mariage blanc ») dans la ville de Bruxelles. En effet, en Belgique et depuis 1999, l’officier de l’état civil est muni du pouvoir légal de différer ou de refuser la célébration d’un mariage lorsque l’un des partenaires/les partenaires est/sont soupçonné(s) de mariage d’intérêt ou de complaisance. Un dispositif de contrôle et d’authentification a donc été mis au point afin de confirmer ou dissiper les soupçons nés des prétentions d’union entre un citoyen(ne) belge ou européen(ne) et un(e) ressortissant(e) d’un pays tiers. Son enquête de terrain a permis de mettre en lumière les critères implicites, éminemment moraux, qui servent de ressorts dans la prise de décision des agents de l’État belge. En effet, en interrogeant l’État par le truchement du travail quotidien, répétitif et hautement moralisé de ses agents, la question des frontières de l’Europe incarnée dans les interactions entre migrants et agents de l’État a occupé une place centrale. Cette frontière s’articule ici autour de la conception partagée ou non des notions de citoyenneté et des formes légitimes d’affectivité. C’est pour qualifier le travail moral quotidien des bureaucrates que les concepts de féminisme et de romantisme bureaucratiques ont émergé de mes observations ethnographiques ; ces concepts visent à rendre compte d’une tendance des agents de l’État à évaluer les partenaires binationaux à l’aune de critères implicites (l’amour dans sa forme romantique, l’égalité entre les sexes et le libre choix du partenaire) et non, comme le texte de loi l’indique, à l’aune des traces objectives d’instrumentalisation de l’institution du mariage.
    Lieu
    Théâtre de la Parole
    Rue du Rouge-Cloître, 7 / D
    1160 Auderghem
    Tél : +32 2 736 69 50
    info@theatredelaparole.be
    http://www.theatredelaparole.be
  • Conférence – Discussion croisée entre Véronique Clette-Gakuba et Norman Ajari

    13.02.2025

    • Conférences et congrès
    Cette conférence sera modérée par Camille Bakkali

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    Véronique Clette-Gakuba est chercheuse en sociologie à l’Université Libre de Bruxelles (centres de recherche CAC et METICES). Elle est titulaire du cours Arts visuels de l’Afrique et de ses diasporas à l’ULB. Ses recherches portent sur les liens entre négrophobie, art et culture et sur les résistances noires se jouant dans les entremêlements entre recherche, créations artistiques et engagements politiques. En juin 2023, Véronique Clette-Gakuba a soutenu sa thèse de doctorat à l’ULB intitulée : « Epreuves de colonialité dans l’art et la culture. Faire exister un monde noir à Bruxelles » (à paraître aux Éditions Météores en septembre 2025). Né en 1987, Norman Ajari est docteur en philosophie et maître de conférences en études noires francophones (Black Francophone Studies) à l’Université d’Édimbourg, après avoir enseigné à l’Université de Toulouse et à l’Université Villanova de Philadelphie. Il est membre du bureau exécutif de la Fondation Frantz Fanon et auteur de La Dignité ou la mort. Éthique et politique de la race (La Découverte, 2019) et de Noirceur : Race, classe et pessimisme dans la pensée africaine-américaine au XXIe siècle (Diver
    Lieu
    Théâtre de la Parole
    Rue du Rouge-Cloître, 7 / D
    1160 Auderghem
    Tél : +32 2 736 69 50
    info@theatredelaparole.be
    http://www.theatredelaparole.be