Evénements du 13 septembre 2024

  • Porca Strada ! Une histoire italienne

    03.09.2024  >  19.10.2024

    • Théâtre

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    Luca, 50 ans, d’origine italienne, vit à Bruxelles, avec sa femme et ses enfants jusqu’au jour où il apprend que sa maison de famille en Italie fait l’objet d’un avis de démolition. Porca Strada ! c’est l’histoire d’un homme qui ne veut pas voir son enfance disparaitre sous les gravats parce que des édiles locaux corrompus prétendent construire une route inutile. C’est le récit, drôle et haut en couleur, d’un homme qui va se battre de toutes ses forces pour conserver la terre de ses aïeux. C’est l’éternelle histoire du pot de terre contre le pot de fer. Celle d’un citoyen qui va devoir affronter un système où les magouilles au profit de quelques-uns l’emportent trop souvent sur l’intérêt de tous. Mais aucun combat ne laisse indemne celui qui le porte, et au contact de personnages aussi truculents que douteux, des questionnements vont bientôt agiter l’esprit de Luca. D’où est-il vraiment ? Quel est son rapport au passé, à ses origines, à la transmission ? A-t-il l’âme d’un super héros ou la réalité le poussera-t-elle à courber l’échine ? Co-écrit par Giuseppe Santoliquido (L’audition du docteur Fernando Gasparri et de L’été sans retour) et Fabrizio Rongione, Porca Strada ! est une comédie douce-amère à l’italienne, un voyage initiatique et cocasse, entre un présent fait d’engagements et un passé teinté de nostalgie et de soleil d’Italie. __________ De Fabrizio Rongione et Giuseppe Santoliquido / Mise en scène : Gabriel Alloing / Avec : Fabrizio Rongione / Assistante à la mise en scène : Sandra Raco / Dramaturgie : Giuseppe Santoliquido / Scénographie : Gabriel Alloing et Fanfan Rahir / Lumière : Alain Collet __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES - DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Les Trois Mousquetaires

    05.09.2024  >  28.09.2024

    • Théâtre
    Parodie pour marionnettes, en bruxellois français.

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    C'est en collaboration avec Auguste Maquet qu'Alexandre Dumas écrit "Les Trois Mousquetaires". Ils ont pour nom Athos, Pothos et Aramis (tous ont existé mais n’étaient pas de la même génération) et sont au service de Louis XIII. Arrivé de sa Gascogne natale sur un bidet jaune de robe, avec une lettre de recommandation de son gentilhomme de père pour M. de Tréville, capitaine des gardes, à Paris, d'Artagnan doit gagner sa belle casaque de mousquetaires. Il commencera par se battre en duel avec ceux qui deviendront ses inséparables amis. L'amour que d'Artagnan porte à Constance Bonacieux (Constanske chez Toone), fidèle femme de chambre d'Anne d'Autriche, le lance dans l'aventure dite des "Ferrets de la Reine": douze ferrets de diamants, présents du roi, que la reine a offerts à Buckingham. A l'instigation du cardinal de Richelieu qui veut perdre la reine, Louis XIII somme son épouse de les porter au prochain bal de la cour. Ces ferrets sont en réalité des bouts métalliques qui terminent des rubans. Dans le cas de la reine de France, ces ferrets sont ornés de diamants. Pour les commodités de la scène et aussi par confusion de récits, ces ferrets se transforment chez les Toone du passé en collier de la reine. Cet épisode naît probablement d'un autre roman de Dumas: "Le Collier de la Reine" qui trouve sa source dans l'Affaire du collier de 1785-1786, scandale qui éclata en France à la fin de l'Ancien Régime, à la suite d'une escroquerie montée par la comtesse de la Motte aidée de Cagliostro. Ces derniers convainquirent le cardinal de Rohan d'acheter pour la reine un collier qu'il ne put jamais rembourser. Cette affaire compromit la reine Marie-Antoinette qui était pourtant innocente. Confusion dans les récits, anachronisme font partie du quotidien des Toone. Ils ne s'embarrassent guère de détails. Comme disait Molière: "L'important, c'est de plaire!" De nos jours encore, Toone respecte les anachronismes de ses prédécesseurs.
    Lieu
    Théâtre de Toone
    Rue du Marché aux Herbes - Entrée : Impasse Sainte Pétronille, 66
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 511 71 37
    Réservation : +32 2 513 54 86
    woltje@skynet.be
    http://www.toone.be
  • When Automotive Design Becomes Art

    06.09.2024  >  15.12.2024

    • Expositions
    Une voiture peut-elle être considérée comme une œuvre d'art ? Tout dépend de votre définition personnelle de l'art. Selon le principe du Bauhaus, l'art peut aussi remplir une fonction, plutôt que d’exister pour lui-même. Indépendamment de la pertinence de la question, de nombreux arguments plaident en faveur de l'automobile comme une œuvre d'art.

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    Une voiture peut-elle être considérée comme une œuvre d'art ? Tout dépend de votre définition personnelle de l'art. Selon le principe du Bauhaus, l'art peut aussi remplir une fonction, plutôt que d’exister pour lui-même. Indépendamment de la pertinence de la question, de nombreux arguments plaident en faveur de l'automobile comme une œuvre d'art. Entre le 6 septembre et le 15 décembre, Autoworld rassemble les icônes les plus belles et les plus artistiques ayant marqué le design automobile. D'une Bugatti 35 'Art Car' à la Cisitalia 202 exposée au MoMa de New York, en passant par la voluptueuse Lamborghini Miura, l'indispensable Gullwing, l'iconique E-type, la sophistiquée Citroën DS jusqu'à l'Audi TT Bauhaus -pour n'en nommer que quelques-unes- : à partir du 6 septembre, Autoworld sera dédié au design automobile en tant qu'art. Tout sera mis en œuvre pour présenter les voitures exposées de manière à ce que les visiteurs puissent apprécier chaque courbe et chaque détail. La question de savoir si une voiture ou une moto peut être considérée comme de l'art est une réflexion à laquelle chacun peut apporter sa propre réponse, en admirant les modèles les plus expressifs et diversifiés. Un rendez-vous incontournable pour tout véritable amoureux de l'automobile, de la moto et de l'art. Les visiteurs pourront s'immerger dans ce qui fait l’incroyable a beauté du monde automobile.
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be
  • Christopher Kulendran Thomas - ’Safe Zone’

    07.09.2024  >  05.01.2025

    • Expositions
    En collaboration avec Annika Kuhlmann Pionnier de l’art post-IA, Christopher Kulendran Thomas a recours aux technologies de l’intelligence artificielle depuis une dizaine d’années pour créer une œuvre inclassable sur les fictions fondatrices de l’individualisme occidental. Safe Zone associe peinture et images télévisuelles auto-éditées, pour confronter les médias du soft power.

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    À WIELS, Kulendran Thomas présente exclusivement des créations récentes dont une série de tableaux de petite taille et une très grande toile, ainsi qu’une œuvre vidéo sur 24 écrans. Évoquant le travail des premiers modernistes sri-lankais comme Justin Pieris Deraniyagala et George Keyt, dont on estime qu’ils ont apporté le cubisme sur l’île, les tableaux de Kulendran Thomas sont composés au moyen d’un réseau de neurones artificiels formés sur l’histoire de l’art colonial, introduit au Sri Lanka par les colons européens. Elles sont ensuite peintes à la main et représentent des scènes sur les plages de Mullivaikkal – peut-être une fête qui aurait un peu dégénéré, peut-être un violent massacre. Des silhouettes peintes avec une émulsion photoréfléchissante surgissent de l’obscurité, dotées d’une présence spectrale, éclairées par la lueur chaude d’une œuvre vidéo sphérique intitulée Peace Core (2024). Réalisée avec Annika Kuhlmann, collaboratrice de longue date, Peace Core contient des images diffusées à la télévision aux États-Unis pendant plusieurs minutes, un matin particulier, il y a des années. Cette œuvre s’inspire du montage des vidéos « corecore » sur TikTok, dans lesquelles images et musique sont associées arbitrairement dans le but de produire un impact émotionnel, donnant du sens à ce qui n’en a pas. Mais les images qui apparaissent dans Peace Core ont bel et bien un sens, sont continuellement éditées, de façon algorithmique, en une méditation hypnotique, et synchronisées avec une bande son en constante évolution, composée au moyen d’outils IA afin qui remixent à l’infini les sons et la musique diffusés ce matin-là.
    Lieu
    Wiels - Centre d’art contemporain
    Avenue Van Volxem, 354
    1190 Forest
    Tél : + 32 (0)2-340.00.50
    welcome@wiels.org
    http://www.wiels.org
  • Ana Jotta - ’On peut… On peut encore… ’

    07.09.2024  >  05.01.2025

    • Expositions
    Au fil des cinquante dernières années, Ana Jotta (née en 1946 à Lisbonne) a développé un vocabulaire artistique très singulier, qui non seulement rejette mais aussi défie toute forme de classification. Loin d’essayer d’englober l’intégralité de son œuvre, l’exposition se concentre sur un aspect spécifique de son travail : sa façon d’investir le dessin d’une multiplicité de sens.

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    Si certains de ses dessins sont au crayon, sur papier, de nombreux autres, affranchis des confins de la page, existent en tant que broderies, cuir cousu, tissu décoloré, objets variés. Pour Jotta, dessiner, c’est révéler – démontrer, découvrir ou étoffer les potentielles connexions en dormance entre diverses images et références. Pour elle, dessiner c’est aussi puiser – saisir, s’approprier, extraire du monde. Mais le simple acte consistant à tracer un trait, de la façon la plus élémentaire qui soit, est une manière de créer des liens, de mettre en rapport, et représente une métaphore appropriée de l’ensemble de sa pratique. Jotta enrichit le langage du dessin en inventant un champ où esquisses, points de couture, gribouillis, silhouettes, griffures et ciseaux contribuent à un écosystème de gestes qui se recoupent. Ils reflètent son approche artistique et incarnent son indifférence à l’égard des catégories et des frontières qui délimitent traditionnellement les registres esthétiques – notamment la distinction entre l’art et la vie. À PROPOS DE L’ARTISTE Ana Jotta (née en 1946 à Lisbonne) a créé un corpus d’œuvres qui défie la notion d’autorialité et brouille la frontière entre l’art et la vie. De la fin des années 1970 à la fin des années 1980, elle travaille dans le théâtre, à la fois comme comédienne, costumière et scénographe. Elle développe parallèlement sa pratique artistique pluridisciplinaire. Elle a fait l’objet d’expositions monographiques au Kunsthalle, Zurich (2024) ; au Wattis Institute, San Francisco (2023) ; à la Casa São Roque – Centro de Arte, Porto (2019) ; à la Temporary Gallery, Cologne (2018) ; à Établissement d’en face, Bruxelles (2016), au Cédrac, Ivry-sur-Seine (2016) et à Culturgest, Porto (2016). Une première rétrospective de son œuvre a été présentée au Serralves Musem, Porto, en 2005 ; une deuxième au Culturgest, Lisbonne (2014). Elle vit et travaille à Lisbonne.
    Lieu
    Wiels - Centre d’art contemporain
    Avenue Van Volxem, 354
    1190 Forest
    Tél : + 32 (0)2-340.00.50
    welcome@wiels.org
    http://www.wiels.org
  • Jamais, toujours, parfois

    10.09.2024  >  27.09.2024

    • Théâtre

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    Anna a 18 ans. Depuis qu’elle est petite, elle suit un traitement pour soigner ses troubles psychiatriques. Mais elle n’en veut plus ; les médicaments nuisent à son très grand potentiel artistique. Car Anna écrit ; et plutôt bien… Alors, elle arrête tout. Advienne que pourra… Victime et bourreau, prodige de fantaisie et d’énergie, Anna est une sorte d’astre noir qui vampirise tous ceux qui l’approchent et désespère ceux qui tentent de l’aider : sa mère, son mec et sa pédopsychiatre qui a du mal à respecter la distance thérapeutique. Comment aimer une jeune adulte en grande difficulté psychique ? Comment la protéger, sans confondre au passage notre propre besoin d’être rassuré ? Comment préserver la part vibrante de son être, anéantie par des traitements lourds ? Telles sont les questions posées dans Jamais, toujours, parfois. Chacune, chacun, a ses raisons dans Jamais, toujours, parfois où l’on se gardera bien de porter sur les personnages un regard trop idéalisé. Construit comme une suite de duels entre ceux-ci, il sera difficile pour le spectateur de prendre parti. C’est à une sorte, sinon d’éloge, du moins de réhabilitation du risque que se livre l'australienne Kendall Feaver en s'efforçant de redonner à Anna un libre arbitre et un avenir possible.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be
  • Nina

    11.09.2024  >  14.09.2024

    • Théâtre
    Un tourbillon de rire pour sublimer la femme!... Dans Nina, tout est à l’envers! Pas évident, en 1949, de célébrer via Nina le droit des femmes à l'adultère. Pire: d'y voir une source de rayonnement, d'affirmation de sa liberté, de sa sensibilité, de sa sensualité. C'est pourtant ce qu'ose André Roussin (1911-1987), auteur adulé du boulevard d'après guerre.

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    Un tourbillon de rire pour sublimer la femme!... Dans Nina, tout est à l’envers! Pas évident, en 1949, de célébrer via Nina le droit des femmes à l'adultère. Pire: d'y voir une source de rayonnement, d'affirmation de sa liberté, de sa sensibilité, de sa sensualité. C'est pourtant ce qu'ose André Roussin (1911-1987), auteur adulé du boulevard d'après guerre. En renversant finement les codes du vaudeville, l’auteur revisite les classiques avec une vivifiante modernité… Le triangle habituel pose les pions dans une configuration inattendue. L’intrigue n’en est que plus ambigüe. L'histoire est simple: un mari veut se venger des tromperies de sa femme et décide de tuer cet amant. Mais c’est sans compter le caractère peut être trop gentil du mari. Car dans Nina, tout est à l’envers. C’est le mari qui se cache derrière un paravent après une intrusion chez l'amant. C’est l’amant qui est las de de ses 5 à 7 torrides et de sa vie de bohème. Le beau Gérard n’a même pas peur lorsqu’il se retrouve visé par le canon d’un revolver! Il est désabusé et sa vie manque de sens. Il veut bien mourir! C'est le mari enfin qui se sent soudain pris de compassion! Et surtout, c’est la femme objet, qui devient femme sujet à plein temps, torrentielle, avec le caractère intrépide d’une reine des neiges!
    Lieu
    Festival Bruxellons! Au Château du Karreveld
    Avenue Jean de la Hoese
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 762 95 02
    http://www.bruxellons.be
  • Face à Face

    12.09.2024  >  19.09.2024

    • Théâtre
    Entrez dans le monde envoûtant du mentalisme avec Mat O'Neill, un jeune prodige originaire de Los Angeles, dont le talent exceptionnel a illuminé les scènes les plus prestigieuses à travers le monde. Depuis des années, il captive et émerveille les spectateurs du célèbre Magic Castle : le sanctuaire de la magie américaine.

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    Entrez dans le monde envoûtant du mentalisme avec Mat O'Neill, un jeune prodige originaire de Los Angeles, dont le talent exceptionnel a illuminé les scènes les plus prestigieuses à travers le monde. Depuis des années, il captive et émerveille les spectateurs du célèbre Magic Castle : le sanctuaire de la magie américaine. Lors du dernier congrès international de magie à Blackpool, son art unique et sa maîtrise époustouflante du mentalisme ont attiré l'attention de Jack Cooper qui a tout de suite souhaité partager cela avec le public du Festival Bruxellons! Malgré ses racines américaines, Mat O’Neill s'est imprégné de la culture francophone et maîtrise parfaitement la langue française. Aujourd'hui, il s'apprête à franchir de nouveaux horizons en présentant son spectacle pour la toute première fois en Belgique, lors de quelques dates exceptionnelles. Il vous invite à plonger au cœur de son univers fascinant, où les frontières entre la réalité et l'illusion s'estompent pour se confondre avec les mystères les plus profonds de l'esprit humain. Réservée à une poignée de chanceux grâce au cadre privilégier de la salle des Chevaliers, vous serez transporté dans un voyage captivant où chaque numéro est une expérience sensorielle et intellectuelle unique. L'humour ravageur de Mat, combiné à son charisme magnétique, vous garantit une soirée inoubliable, ponctuée de moments de stupéfaction et de rires. Préparez-vous à être ébloui par les performances de mentalisme innovantes et étonnantes de Mat O'Neill, qui repoussent les limites de l'imagination et défient toute logique. Ne manquez pas cette occasion rare de vivre une expérience magique, complice et immersive aux côtés d’un jeune artiste à l’avenir très prometteur!
    Lieu
    Festival Bruxellons! Au Château du Karreveld
    Avenue Jean de la Hoese
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 762 95 02
    http://www.bruxellons.be
  • Stephan Vanfleteren - ’Atelier’

    13.09.2024  >  21.12.2024

    • Expositions
    ATELIER de Stephan Vanfleteren est une ode à la capacité d’observer, de représenter, de sublimer et, finalement, de connecter. Son coeur d’artiste et son savoir-faire technique font de nous les témoins et les complices de la lumière incidente, qui se reflète aussi bien sur l’objet que dans son esprit. Son atelier, sorte de no man’s land intime tendu de gris semble absorber le temps.

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  • L’avare

    13.09.2024  >  29.09.2024

    • Théâtre

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    L’argent est un tyran. Amasser éperdument une fortune qui n’est jamais assez colossale, tout placer, à l’abri des regards, au secret, ne rien partager, n’être jamais satisfait...Chez Harpagon posséder est une passion dévorante, aveuglante. Valeur suprême, l’argent l’amène à tyranniser tout le monde, à soupçonner tout le monde. Arpagon est un tyran. Malgré son immense fortune, il maltraite, frappe, affame, et cette adoration mystique pour l’argent corrompt tout. Pour survivre, ses proches sont réduits à la ruse, au cynisme et aux combines. C’est dans ses démêlés avec ses créanciers que Molière puise son inspiration. Et il le fait avec génie. Tous les personnages sont fabuleux, la langue d’une force inouïe, des moments de grande drôlerie succèdent à des scènes de grande vérité. L’avare n’a rien perdu de sa puissance, au contraire, la pièce retrouve de nos jours toute sa pertinence. C’est à un moment de théâtre mémorable que nous vous convions. Si vous l’avez raté l’an dernier, si vous avez envie de le revoir, voici donc la reprise attendue pour les distraits et les passionnés ! Avec Michel Kacenelenbogen dans le rôle du grippe-sou, entouré d’une distribution « en or » et qui « se dépense sans compter », on vous promet des « perles ». Non, décidément, l’argent qu’on amasse ne fait le bonheur de personne. __________ De Molière / Mise en scène : Michel Kacenelenbogen / Avec : Baptiste Blampain, Jérémy Bouly, Jonas Claessens, Didier Colfs, Salomé Crickx, Michel Kacenelenbogen, Frédéric Nyssen, Nicole Oliver, Wendy Piette et Réal Siellez / Assistantes à la mise en scène : Hélène Catsaras et Lou Kacenelenbogen / Scénographie : Renata Gorka / Costumes : Chandra Vellut / Lumière : Laurent Kaye / Musique originale : Pascal Charpentier __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES - DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be