Evénements du 22 mars 2024

  • 9ème Art Nouveau

    01.12.2023  >  31.03.2024

    • Exposition

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    Installé dans l’un des joyaux architecturaux conçu par Victor Horta, le Centre Belge de la Bande Dessinée évolue entre Art Nouveau et Neuvième Art depuis sa création. Aussi, lorsque Bruxelles célèbre l’Art Nouveau, le CBBD est heureux de proposer à ses visiteurs une exposition inédite, valorisant la richesse du thème et l’inventivité des artistes. Au-delà de la simple représentation de l’Art Nouveau dans la bande dessinée, l’exposition mettra en lumière la relation de ces deux arts en une découverte originale. Elle invitera à une immersion dans l’époque et explorera les sources d’influences et les auteurs majeurs, tel Alphonse Mucha, qui ont inspiré le Neuvième Art. Une sélection de planches et de reproductions permettra de (re)découvrir le travail des auteurs franco-belges qui ont revisité l’Art Nouveau pour livrer des œuvres à son image : fortes, rythmées, colorées, et d’une liberté créative exceptionnelle…
    Lieu
    Musée de la Bande Dessinée (Centre Belge de la Bande Dessinée)
    Rue des Sables, 20
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 19 80
    visit@cbbd.be
    http://www.cbbd.be
  • Chez Colette

    22.02.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre
    Vous ne riez pas ? Tsss c’est tellement boomer !

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    Chez Colette : un resto-bistro, ou une maison kangourou ? D’un côté, il y a Manu et Nikita, les jeunes qui ont repris l’endroit avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de mettre à la carte des sujets sociétaux comme la guerre en Ukraine, l’écologie ou la décolonisation… Ils ont mis une annonce : « cherche serveureuses » De l’autre, il y a Claude et Dominique, deux amies récemment retraitées qui viennent d’emménager en face avec l’idée mi-utopiste, mi-maladroite de recommencer une nouvelle vie pleine de projets et de mouvement… Tiens, une annonce, ça tombe bien ! Entre les deux, il y a Max, en rupture. Max et ses chiens Max et son désenchantement. Max et sa grandiloquence. Chez Colette, on n’aime pas les idées toutes faites… Alors, Chez Colette, on refait le menu, on bat les cartes, et ça cause crise énergétique, âgisme, appropriation culturelle, chiens, hauteurs de tabourets de bar, Gouzoul Banosch et pâtes au sucre. Ça se toise, ça se bouscule, ça s’apprivoise, ça saute comme des kangourous. Et puis ça s’aime. Et ça, c’est tout sauf boomer.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • L’album photo

    29.02.2024  >  23.03.2024

    • Théâtre

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    À l’époque, l’album photo n’était pas une application sur votre téléphone. Non, c’était un objet. Une sorte de livre à l’intérieur duquel on collait des photos. On rangeait ces livres sur des étagères. On les oubliait… Aujourd’hui, Elle, sa profession, c’est album photo. Lui, il a loué ses services. Elle a le pouvoir de lui faire revivre les moments anodins, les repas, les conversations, les vacances. Avant les séances, elle prévient : vos culpabilités, vos douleurs, ce n’est pas de son ressort. Elle n’est pas là pour nous soigner, ou nous pardonner.  Non. Elle est juste un album photo. Les paroles s’envolent, les photos restent. Elles sont un entrelacs d’images qui s’assemblent, jaillissent et se succèdent selon l’axe irréversible du temps. Venez vous plonger dans cet album photo, et ces petits moments occultés qui nous révèlent ce que nous nous cachons à nous-même.  Philippe Blasband, grâce à sa plume délicate et franche, nous plonge, mine de rien, dans les profondeurs sublimes de nos mélancolies. __________ De Philippe Blasband / Mise en scène : Philippe Blasband / Avec : Georges Siatidis et Aylin Yay __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Le Misanthrope

    07.03.2024  >  06.04.2024

    • Théâtre
    Après L’Avare et L’École des femmes, Patrice Mincke plonge cette fois dans cet autre chef d’œuvre du grand Poquelin avec Itsik Elbaz dans le rôle-titre. L’action est transposée dans une entreprise d’aujourd’hui (genre Google, Amazon…) où l’hypocrisie, la flatterie règnent en maître, au grand désespoir d’Alceste !

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    Le Misanthrope est une pièce qui m’accompagne depuis des années. Je l’ai vue pour la première fois en 1985 au Théâtre National de Belgique et, même si la langue de Molière est sans doute restée un peu hermétique pour moi (j’avais 11 ans), je me souviens d’avoir été touché par la détresse d’Alceste et par le mélange d’agacement et d’empathie qu’il suscitait. Le propos aussi m’avait bousculé : il faudrait donc mettre des limites à notre sincérité ? Mais alors, comment éviter d’être hypocrite ? Depuis lors, le Misanthrope s’est souvent rappelé à moi, dans mes relations avec mes amis ou mes collègues : je me reconnais tantôt en Alceste, tantôt en Philinte, parfois aussi en Célimène, et le fait de pouvoir conceptualiser mes actes (« mais je suis en train de faire l’Alceste ! ») m’a parfois permis, je crois, de prendre du recul et de mieux comprendre la situation dans laquelle je me trouvais. Si cette pièce m’a marqué plus qu’une autre, c’est qu’elle occupe à mon sens une place particulière dans l’œuvre de Molière : alors que la plupart de ses autres textes mettent en scène un personnage doté d’un défaut clair (l’avare, le malade imaginaire, le bourgeois, etc.) auquel s’opposent des personnages sensés (les enfants d’Harpagon, Toinette et Béralde, Nicole, etc.), celui-ci fait s’entrechoquer des personnages dont les comportements sont opposés et pourtant tous justifiés. Célimène, Alceste, Philinte, et même dans une moindre mesure Oronte et les marquis, tous ont un comportement défendable et peuvent autant susciter notre empathie que notre désapprobation. Notre point de vue sur l’un et l’autre bascule au fil de la pièce, et nous restons avec moins de réponses que de remises en question. Pour rendre plus épineuse la question de la sincérité, Molière situe son action dans un monde tendu, sous pression, hyper connecté, où chacun est informé des moindres faits et gestes de chacun, où les privilèges obtenus ne sont jamais véritablement acquis, où le critère de réussite n’est pas le mérite, ni le travail, mais bien la popularité et la capacité à « réseauter ». Dans ce monde, les conséquences de la flatterie et de la franchise deviennent concrètes : Célimène, par exemple, ne peut froisser Oronte ni les marquis sous peine de perdre son rang ou son influence, et Alceste, parce qu’il dit ce qu’il pense, est en passe de perdre des procès importants et d’être mis au ban de la société. Plus fondamentalement, Le Misanthrope nous montre ce que la société fait de nous, à quelles compromissions elle nous pousse. Quel enfant a dit un jour « moi, plus tard, je voudrais être un peu lâche, un peu flatteur, pour obtenir l’appui de gens influents afin de m’élever professionnellement, quitte à entretenir un système que je sais toxique et injuste » ? Et pourtant, nous finissons tous par faire des petits tours de passe-passe avec notre conscience et nous tentons de concilier nos valeurs avec notre envie de réussite. On renomme nos actes «mentir » devient « préserver l’autre », « flatter » devient « entretenir une bonne relation »), on se raccroche à l’idée que toute vérité n’est pas bonne à dire, et on suit la « realpolitik » dePhilinte. Mais en chacun de nous vit aussi un Alceste (parfois savamment bâillonné, il est vrai) qui n’est dupe de rien et pointe sans pitié ces petits accommodements peu reluisants. Voilà ce qui guide mon travail autour du Misanthrope : plutôt que de dépeindre un « atrabilaire amoureux » (le sous-titre de la pièce), je voudrais mettre l’accent sur le problème systémique, à savoir l’impossibilité, dans une société qui nous met en concurrence les uns avec les autres, de résoudre la délicate question de la sincérité. Ce n’est pas dans la nature intrinsèque de Célimène de séduire et manipuler, ni dans celle d’Alceste de se brouiller avec le monde entier, mais ils se débattent comme ils peuvent dans une société peu humaine. Patrice MINCKE
    Lieu
    Théâtre Royal du Parc
    Rue de la Loi, 3
    1000 Bruxelles
    Réservation : +32 2 505 30 30
    info@theatreduparc.be
    http://www.theatreduparc.be
  • BANAD - Brussels Art Nouveau & Art Deco Festival

    09.03.2024  >  24.03.2024

    • Visites Guidées
    Le Brussels Art Nouveau & Art Déco (BANAD) Festival est un événement exceptionnel mettant en valeur le patrimoine Art nouveau et Art Déco en Région de Bruxelles-Capitale. Il se tient chaque année durant uniquement les week-ends de mars.

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    Le Brussels Art Nouveau & Art Déco (BANAD) Festival est un événement exceptionnel mettant en valeur le patrimoine Art nouveau et Art Déco en Région de Bruxelles-Capitale. Il se tient chaque année durant uniquement les week-ends de mars. Au cœur du festival : les visites guidées d'intérieurs Art nouveau et Art Déco habituellement fermés au public. Une occasion unique de (re)découvrir ces joyaux de notre architecture ! En complément, d'autres activités mettant en valeur le patrimoine Art nouveau et Art Déco sont organisées : parcours (en extérieur) guidés, concerts, conférences, événements, activités pour les familles, foire aux objets d'époque, activités pour les PMR, activités pour les écoles… Ce concept est unique en Europe !
    Lieu
    Explore.brussels
    Avenue Brugmann, 405
    1180 Uccle
    Tél : +32 2 319 50 01
    info@explore.brussels
    https://www.explore.brussels/fr
  • Samouraï

    12.03.2024  >  30.03.2024

    • Théâtre

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    « Tu veux pas écrire un roman sérieux ? ». Voilà l’ultime conseil prodigué par Lisa à Alan, avant qu’elle le quitte. Depuis, Alan cherche un sujet de «roman sérieux». Le précédent a fait un flop : 104.546ème des ventes sur Amazon. Alors, il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’une épopée profonde et poignante. En même temps, il s’occupera de la piscine de ses voisins. Mais rien ne va : la piscine verdit et accueille rapidement une quantité de bestioles. Dans le même temps, il met une énergie de dingue à fuir les rencontres amoureuses et à gérer sa phobie des scènes de spectacles. Alan s’inscrit dans la prestigieuse lignée des anti-héros. Un personnage à la Tchekhov, dans lequel on retrouve probablement quelque chose des personnages de Fritland de Zenel Laci et du Champ de Bataille de Jérôme Colin, également mis en scène par Denis Laujol au Poche ces dernières saisons.
    Lieu
    Théâtre de Poche
    Chemin du Gymnase, 1 A
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 649 17 27
    Réservation : +32 2 649 17 27
    reservation@poche.be
    http://www.poche.be
  • Parti en fumée d’Othmane Moumen

    12.03.2024  >  23.03.2024

    • Théâtre
    Dans "Parti en fumée", Othmane Moumen tente d’explorer l’énigme qu’est son père. Il y a sept ans, on lui a diagnostiqué un cancer des poumons en stade 4… le stade terminal. Depuis, il ne lui reste qu’un poumon. Pourtant, son père est toujours là. Il semble vivre un sursis inespéré. Et il continue à fumer clope sur clope.

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    « Le poumon, c’est l’organe de la tristesse chez les Chinois, paraît-il. Alors, je me demande… Pourquoi il s’inflige ça ? Pourquoi il n’arrête pas ? Les questions affluent dans ma tête, face à ce papa qui ne parle pas. Pourquoi a-t-il migré un jour ? Pourquoi ne bouge-t-il plus aujourd’hui ? Pourquoi refuse-t-il de repartir ? Qu’est-ce qui le raccroche à la vie, lui qui n’a jamais été un épicurien ? Ce n’est pas facile de lui tirer les vers du nez. La pudeur des pères, quoi ! Mais je suis allé l’interroger. Je l’ai enregistré. J’ai sa voix. Elle est là, dans la boîte, prête à être utilisée. » Lors d’un workshop de marionnettes avec Natacha Belova, Othmane Moumen construit de ses propres mains un double de son papa, pour le faire parler et au-delà pour se pencher sur des thématiques qui le travaillent : l’immigration, les illusions perdues, la maladie, la transmission… Beaucoup de pères ne parlent pas mais leur manière de vivre, leurs regards, leurs silences, leur façon de s’accrocher à des bouées comme la cigarette parlent pour eux. Par l’intermédiaire de marionnettes et d’un masque, Othmane Moumen crée trois doubles de son père et livre un dialogue attendrissant, drôle et sincère entre une marionnette et son manipulateur, entre un papa et son fils. Prêter son corps à ce double du père lui permet de revivre des épisodes de sa vie, en y apportant une touche d’onirisme : sa carrière de chauffeur de bus à la STIB, sa nostalgie renforcée par l’écoute d’Oum Khaltoum, ses rêves, ses fantasmes. Est-ce une répétition avant le grand voyage ? Comment gérer ce départ ou plutôt ici ce « non-départ » ? En psychanalyse, on parle de tuer le père mais comment fait-on quand celui-ci est increvable ? Ce temps gagné sur la mort est une occasion pour Othmane Moumen d’approfondir l’enquête, de laisser son père se raconter, vite, avant qu’il ne parte définitivement en fumée…
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • L’apocalypse heureuse

    12.03.2024  >  24.03.2024

    • Théâtre
    Je commençais seulement à comprendre que j'avais écrit des livres pour me préserver. Là où je pensais avoir été incapable de me sauver, je n'avais fait que cela avec les moyens que j'avais eus à ma disposition.

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    Dans L’apocalypse heureuse, Stéphane Lambert revient sur sa propre histoire pour en dénouer les nœuds et passe par le geste de l’écriture pour sortir du labyrinthe de la souffrance, dépeignant la mémoire traumatique de l’enfant abusé qu’il a été, en retraçant les contours pour pouvoir mener sa vie d’adulte sur un chemin plus apaisé. Convoquant de nouveau les faits vécus, il tisse une toile qui prend l’universel pour périmètre. La maison en Bretagne, la séparation des parents, le déménagement avec la mère, la mort d’un amour, la découverte d’un autre, la mort du père, les flux croisés de la vie passée et du temps présent, autant d’arrêts qui balisent « cet itinéraire du soi » qui permet d’aller vers demain.
D’une grande douceur, le texte nous dit l’urgence de vivre, d’aimer pour vaincre la mort et les spectres qui nous retiennent à eux, nous invitant à les affronter sans baisser les yeux. Écrit à la première personne du singulier, le récit nous invite à parcourir, sans faux-semblants, l’intimité des souvenirs, confrontant l’adulte avec les chocs, les culpabilités, et les non-dits qui ont marqué l’enfance.
 Jean-Baptiste Delcourt, en étroite collaboration avec l’auteur, adapte ce récit à la scène, avec pour désir d’en faire entendre la parole au présent et d’en faire partager l’esprit de conquête d’une renaissance.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Marie & Woyzeck

    12.03.2024  >  24.03.2024

    • Théâtre
    Voyez-vous, nous les gens du commun, ça n'a pas de vertu, mais si j'avais de l'argent, et un costume. Et si je savais parler comme il faut, pour sûr que je voudrais être vertueux.

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    L’histoire du Woyzeck de Büchner est simple, efficace et glaçante : un jeune soldat se porte à la fois volontaire pour être cobaye auprès d’un médecin contre de l’argent et, comme subalterne de son capitaine de garnison, sombre dans la folie et poignarde sa femme. 
Avec Marie et Woyzeck, Pauline d’Ollone s’inspire de ce classique inachevé du dix-neuvième siècle, déplaçant l’action de la caserne d’hier à l’entrepôt de la grande distribution d’aujourd’hui, pour interroger nos systèmes de production actuels et les maux qui en découlent, abrutissant les égarés de l’existence qui s’y enrôlent pour subsister. Elle s’en empare sans rien lui ôter de sa réalité diffractée. À la négativité de la marchandisation de l’être humain considéré comme une ressource à optimiser, elle oppose le feu créateur de la musique et de la poésie : toujours plus de beauté, toujours plus de rêve et d’humanité, toujours plus de sororité et de fraternité. Elle l’enrichit d’un procès, celui du meurtre de Marie, du féminicide commis par Woyzeck, instruisant deux questions : La violence d’un homme est-elle aveugle à tout autre choix que celui « d’user » et donc de tuer ce qu’il considère comme sa propriété ? Ou bien n’est-elle que la conséquence de la petite graine qui a patiemment poussé, arrosée qu’elle était chaque jour par une idéologie patriarcale, capitaliste et sexiste ?
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • La passion de Victor Paléon

    13.03.2024  >  29.03.2024

    • Théâtre
    Une des rares choses dont on puisse être sûrs est que nous avons toutes et tous été enfant. Victor lui a eu une enfance coupée en deux, une longue enfance…presque quarante ans. Au fond, quand se termine l’enfance?

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    Une des rares choses dont on puisse être sûrs est que nous avons toutes et tous été enfant. Que cette enfance ait été douce ou amère, courte ou longue, nous avons vécu cet âge. Et c’est d’enfant dont nous allons vous parler, d’enfant qui vit, qui rencontre le bonheur, les joies et aussi la peur, le malheur, le cri, le silence. C’est l’histoire d’un gamin que nous allons raconter et jouer pour vous, oui jouer comme des enfants… Victor a eu une enfance coupée en deux, une longue enfance…presque quarante ans. Au fond, quand se termine l’enfance? Bien sûr, Victor est devenu un monsieur "bien sous tous rapports", un monsieur "on ne dirait pas". Un bon métier, une famille, être dans la norme... On ne peut pas raconter cette histoire en dix lignes, mais ce qu’on peut dire, c’est qu’il y a sur la scène trois artistes, une fille et deux garçons qui joueront tous les rôles: des messieurs, des dames. Que le décor est comme un grand livre tout écrit, réécrit, raturé. Qu’il se plie, se déplie. Que les costumes sont en papier, tout blanc, comme si on pouvait y dessiner la suite. Qu’il y a de la musique, des airs bien connus. Que l’histoire brise le silence et qu’elle donne la parole à cet enfant qui pourrait être vous, vos voisins, vos amis et amies… Que ça se termine bien. Oh, ce n’est pas un happy end, mais c’est bien à la fin. Ce serait chouette d’ailleurs, lorsque vous viendrez nous voir, qu’on reste un peu à parler après, prendre un verre… Ca nous fera du bien à toutes et tous. Ce qui est sûr aussi, c’est que cette histoire, quand on vous l’aura jouée…vous ne l’oublierez jamais. **************************************** Parce que nous croyons en l'importance du respect des sensibilités comme de l'intégrité des œuvres que nous présentons, nous tenions à vous avertir que ce spectacle aborde la thématique de la pédophilie dans l'église. Vous pouvez ainsi choisir de poursuivre votre réservation en toute connaissance de cause. Sachez également que, volontairement, les artistes ne présenteront rien frontalement et prendront le temps de la discussion à l'issue des représentations. **************************************** Tarif libre - "Choose ce que tu betaalt" De 8 à 25€, payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous parait juste, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous semble utile, ce qui vous semble indispensable, équitable, acceptable!
    Lieu
    Les Riches-Claires
    Rue des Riches Claires, 24
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 548 25 80
    Réservation : +32 2 548 25 80
    accueil@lesrichesclaires.be
    http://www.lesrichesclaires.be