Evénements du 14 mars 2024

  • Kidzik Édition Printemps

    01.03.2024  >  31.03.2024

    • Festival
    Le Kidzik est un festival de musique jeune public dédié aux enfants de 0 à 10 ans. Concerts, spectacles, films, ateliers et animations vous attendent pour un mois de fête en musique !

    Lire la suite

    Un festival aux saveurs du printemps ! Vous les entendez, ces bruissements de feuilles, ces ailes qui se défroissent, ces murmures d’abeilles ? Vous les sentez, ces parfums de bourgeons qui éclosent, ces effluves d’herbe fraîche, cette odeur de gaufres cuites, au coin d’une rue ? Vous les voyez, ces giboulées glacées, ces rayons de soleil tièdes ? C’est l’heure ! Le printemps revient mettre un peu de douceur et de poésie dans la ville. Il est temps pour Nouille la Grenouille d’ouvrir en grand les portes du Kidzik et de faire entrer les spectateurs dans un univers merveilleux : celui de la musique jeune public ! Rendez-vous aux quatre coins de la capitale pour découvrir des spectacles, des concerts et des activités spécialement conçues pour les petites oreilles, tout au long du mois de mars. Bienvenue ! Parents et enfants doivent chacun être en possession d’une entrée pour participer à une activité payante.
    Lieu
    Bruxelles
    Bruxelles
    1000 Bruxelles
  • Expo Golf 50 Years

    01.03.2024  >  28.04.2024

    • Exposition
    Du 1er mars au 28 avril, Autoworld rendra hommage aux 50 ans de la Volkswagen Golf. À sa naissance, le successeur de la Coccinelle VW s'est vu confier la lourde tâche de faire au moins aussi bien. La décision a été prise d'opérer un changement radical de style avec la VW Golf. La Golf deviendra la voiture européenne la plus réussie de tous les temps. Et le reste, c'est de l'histoire!

    Lire la suite

    Du 1er mars au 28 avril, Autoworld rendra hommage aux 50 ans de la Volkswagen Golf. À sa naissance, le successeur de la Coccinelle VW s'est vu confier la lourde tâche de faire au moins aussi bien. Mais comment suivre la voiture la plus vendue de tous les temps ? La décision a été prise d'opérer un changement radical de style avec l'introduction de la VW Golf. La Golf ne succédera pas seulement à la Coccinelle, mais deviendra la voiture européenne la plus réussie de tous les temps. Et le reste, c'est de l'histoire, que vous pouvez venir découvrir chez Autoworld à partir du 1er mars.
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be
  • Souveraines

    05.03.2024  >  31.03.2024

    • Festival
    Une série d'activité en écho à la Journée internationale des droits des femmes : séances de cinéma, spectacle et expo.

    Lire la suite

    Une série d'activité en écho à la Journée internationale des droits des femmes : séances de cinéma, spectacle et expo. Elles sont militantes, metteuses en scène, artistes, réalisatrices, photographes, petites filles, femmes de ménages, comédiennes et créatures mythologiques. Œuvres de fiction ou réelles, plurielles dans leurs expressions des féminités, elles sont souveraines : celles dont le pouvoir n'est limité par celui d'aucun autre. Sur scène, à l’écran ou dans l’ombre, chacune à sa façon, elles luttent et elles ont mille choses à dire, à montrer et à revendiquer. En mars, venez les écouter, pour faire, nous l’espérons, un pas de plus vers la fin du patriarcat.
    Lieu
    La Vénerie / Espace Delvaux
    Rue Gratès, 3
    1170 Watermael-Boitsfort
    Tél : +32 2 663 85 50
    Réservation : +32 2 663 13 59
    info@lavenerie.be
    http://www.lavenerie.be
  • Les Brigands

    05.03.2024  >  16.03.2024

    • Théâtre
    Serions-nous comme la pierre martelée par Michel-Ange, déterminé·es à une certaine destinée ?

    Lire la suite

    Bruno a vécu toute son adolescence dans un home pour enfants du juge. Battu par son père, il a fui le foyer familial et s’est rendu lui-même à la police. À dix ans, Bruno a découvert Michel-Ange au cinéma, accompagné de sa grand-mère polonaise. À quinze ans, il a découvert les sculptures de l’artiste lors d’un voyage scolaire à Florence. Et puis ses poèmes et sa correspondance. La rencontre avec le maître italien et le placement de Bruno ont été des éléments déclencheurs pour échapper à la violence paternelle. Le récit de Bruno est une fiction basée sur des faits réels. Il nous est nécessaire pour tenter de comprendre cette fameuse énigme de la lutte des classes. Bruno a grandi en artiste autodidacte avec l’obsession de ne pas devenir RIEN. Aujourd’hui, quelle est donc la place de l’ART dans notre éducation ? À quoi sert-il ? Sert-il à être plus grand que soi ? Serions-nous comme la pierre martelée par Michel-Ange, déterminé·es à une certaine destinée ?
    Lieu
    Théâtre Océan Nord
    Rue Vandeweyer, 63-65
    1030 Schaerbeek
    Tél : +32 2 242 96 89
    Réservation : +32 2 216 75 55
    info@oceannord.org
    http://www.oceannord.org
  • Les yeux noirs

    05.03.2024  >  15.03.2024

    • Théâtre

    Lire la suite

    "Les yeux noirs", est un triptyque pour une actrice et un acteur, une œuvre de fiction qui nous donne à voir un enfer dissimulé au regard du monde. L’écriture puissante, organique et implacable de Céline Delbecq explore et questionne la reproduction de la violence conjugale et intrafamiliale. Phare. Elle raconte la force avec laquelle les vagues frappent les parois du phare où ils habitent ensemble depuis 14 ans. Elle reconnaît ces déferlantes imprévisibles, qui ne viennent pas que de la mer, et qu’elle rêve de calmer pour qu’ils puissent continuer à vivre là, même si c’est impossible. La nuit est noire. Il marche dans la nuit noire après avoir quitté la fête. Des souvenirs d’enfance ressurgissent. Quelles traces ont laissé en lui les coups portés sur le corps de sa mère ? À quoi doit-il faire face aujourd’hui ? À quelles pulsions, quelles angoisses ? Les ombres. Elle et lui. Six instantanés se succèdent devant nous, dans lesquels se dévoile l’organisation intime de la violence dans leur couple, alors qu’elle est enceinte de leur premier enfant. __________ De Céline Delbecq / Mise en scène : Jessica Gazon / Avec : Sébastien Bonnamy et Céline Delbecq / Costumes : Elise Abraham / Lumière : Aurélie Perret / Création sonore : Ségolène Neyroud __________ UNE PRODUCTION DE LA COMPAGNIE DE LA BÊTE NOIRE. AVEC L’AIDE DU RIDEAU DE BRUXELLES, XS FESTIVAL/THÉÂTRE NATIONAL, CENTRE CULTUREL DE MOUSCRON, CENTRE CULTUREL DE SAINT-GHISLAIN.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • PARTIR – Émigration des femmes espagnoles

    06.03.2024  >  29.03.2024

    • Exposition
    Entre les années 1950 et 1960, plus de 7 000 Espagnols ont émigré en Belgique. La plupart des hommes sont allés travailler dans les mines, mais qu’en est-il des femmes ?

    Lire la suite

    Entre les années 1950 et 1960, plus de 7 000 Espagnols ont émigré en Belgique. La plupart des hommes sont allés travailler dans les mines, mais qu’en est-il des femmes ? Du 6 au 29 mars 2024, le MMM accueille une nouvelle exposition “PARTIR”. Cette exposition est un voyage à travers la vie et les expériences des femmes espagnoles qui ont quitté leur pays à la recherche d’opportunités en Belgique dans les années 1960. Grâce à une compilation minutieuse d’objets de l’époque et à des fragments d’interviews réalisées pour le podcast PARTIR, cette exposition vise à rendre hommage à cette génération en rapprochant les visiteurs de leurs histoires, de leurs expériences et de leur mode de vie. Elle établit également un dialogue avec les autres pièces exposées dans le musée, en soulignant la contribution de l’Espagne à l’histoire des mouvements migratoires dans la capitale belge. Avec cette exposition, Partir donne une continuité et offre des nouveaux éléments pour compléter les témoignages qui peuvent être entendus dans la série de podcasts pour reconstruire l’histoire à partir d’une perspective féministe. → Vernissage : mercredi 6 mars à 11h Réservations : museum@foyer.be
    Lieu
    MigratieMuseumMigration
    rue des ateliers, 17
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 609 55 61
    museum@foyer.be
    http://www.migratiemuseummigration.be
  • Essaie un peu pour voir...

    06.03.2024  >  14.03.2024

    • Spectacle

    Lire la suite

    "Les femmes vivent d’autres violences que les hommes, dans les familles et ailleurs. Elles les vivent autrement. La peur des femmes est permanente et les accompagne toujours ; elle résulte de l’impuissance apprise par une éducation et une socialisation qui ne préparent jamais, d’aucune façon, les jeunes femmes à faire face aux violences. Le mythe de la faiblesse féminine rend les femmes faibles. Les déséquilibres de pouvoir réels et imaginaires préparent les femmes à être déjà victimes avant même que l’agresseur ait levé le petit doigt." Je me présente : Gail Verhasselt, psychologue, danseuse, chorégraphe et fréquemment victime de toute une panoplie d’agressions Devenir victime, ce n’est pourtant pas comme devenir aveugle. L’avoir été dans une situation à un certain moment ne veut pas dire que je dois le rester. Pour l’occasion, j’ai créé une chorégraphie censée vous enthousiasmer toutes et tous à vous lancer dans l’autodéfense. Un jour, j’ai appris à me défendre. Depuis on ne m’agresse plus. Et la peur, celle que connaissent toutes les femmes, a disparu. Je n’ai plus jamais peur. Je ne suis ni maître en jujitsu, ni championne de boxe. L’autodéfense, d’abord, c’est mental. C’est décider : j’ai de la valeur. Et pas la valeur qu’on éduque aux femmes, qui s’acquiert grâce au dévouement avec lequel nous nous occupons des autres. L’autodéfense mentale, c’est se donner la permission, en cas de violence, de déployer tous les moyens à notre disposition ; pour survivre, pas pour gagner. Les hommes ne viendront pas défendre les femmes. Que voulez-vous ? Depuis que nous les traitons collectivement comme des ‘porcs’ potentiels ‘à balancer’ et leur masculinité, qui leur permettait de défendre les femmes, jugée agressive, immorale et égoïste… L’autodéfense est tout un ensemble d’astuces, de gestes et d’attitudes qui vont vous rendre fortes et sûres de vous. C’est savoir maîtriser ses émotions sans chialer, calmer un fou en crise de rage, maîtriser verbalement une agression, rester mobile sans se paralyser de peur et saisir le moment de fuir. Savoir quand il est trop tard pour fuir et une confrontation inévitable, alors décider de se défendre bec et ongles. __________ Par Gail Verhasselt
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • In Movement Festival 2024

    07.03.2024  >  23.03.2024

    • Festival

    Lire la suite

    Festival biennal, In Movement combine créations, reprises et soirées composées : des œuvres aux styles variés qui témoignent de l’engagement vivant des chorégraphes, toutes générations confondues, dans l’univers contemporain. Au-delà de leurs différences artistiques et de leurs origines de vie, les artistes invités au festival ont tous des liens avec Bruxelles, pour y vivre et surtout pour y travailler. Une conférence et une table ronde encadreront les spectacles et prolongeront nos préoccupations sur la crise écologique tout en croisant les enjeux de la danse contemporaine et de sa fonction dans la Cité.
    Lieu
    Les Brigittines
    Petite rue des Brigittines
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 213 86 10
    Réservation : +32 2 213 86 10
    info@brigittines.be
    http://www.brigittines.be
  • Le Misanthrope

    07.03.2024  >  06.04.2024

    • Théâtre
    Après L’Avare et L’École des femmes, Patrice Mincke plonge cette fois dans cet autre chef d’œuvre du grand Poquelin avec Itsik Elbaz dans le rôle-titre. L’action est transposée dans une entreprise d’aujourd’hui (genre Google, Amazon…) où l’hypocrisie, la flatterie règnent en maître, au grand désespoir d’Alceste !

    Lire la suite

    Le Misanthrope est une pièce qui m’accompagne depuis des années. Je l’ai vue pour la première fois en 1985 au Théâtre National de Belgique et, même si la langue de Molière est sans doute restée un peu hermétique pour moi (j’avais 11 ans), je me souviens d’avoir été touché par la détresse d’Alceste et par le mélange d’agacement et d’empathie qu’il suscitait. Le propos aussi m’avait bousculé : il faudrait donc mettre des limites à notre sincérité ? Mais alors, comment éviter d’être hypocrite ? Depuis lors, le Misanthrope s’est souvent rappelé à moi, dans mes relations avec mes amis ou mes collègues : je me reconnais tantôt en Alceste, tantôt en Philinte, parfois aussi en Célimène, et le fait de pouvoir conceptualiser mes actes (« mais je suis en train de faire l’Alceste ! ») m’a parfois permis, je crois, de prendre du recul et de mieux comprendre la situation dans laquelle je me trouvais. Si cette pièce m’a marqué plus qu’une autre, c’est qu’elle occupe à mon sens une place particulière dans l’œuvre de Molière : alors que la plupart de ses autres textes mettent en scène un personnage doté d’un défaut clair (l’avare, le malade imaginaire, le bourgeois, etc.) auquel s’opposent des personnages sensés (les enfants d’Harpagon, Toinette et Béralde, Nicole, etc.), celui-ci fait s’entrechoquer des personnages dont les comportements sont opposés et pourtant tous justifiés. Célimène, Alceste, Philinte, et même dans une moindre mesure Oronte et les marquis, tous ont un comportement défendable et peuvent autant susciter notre empathie que notre désapprobation. Notre point de vue sur l’un et l’autre bascule au fil de la pièce, et nous restons avec moins de réponses que de remises en question. Pour rendre plus épineuse la question de la sincérité, Molière situe son action dans un monde tendu, sous pression, hyper connecté, où chacun est informé des moindres faits et gestes de chacun, où les privilèges obtenus ne sont jamais véritablement acquis, où le critère de réussite n’est pas le mérite, ni le travail, mais bien la popularité et la capacité à « réseauter ». Dans ce monde, les conséquences de la flatterie et de la franchise deviennent concrètes : Célimène, par exemple, ne peut froisser Oronte ni les marquis sous peine de perdre son rang ou son influence, et Alceste, parce qu’il dit ce qu’il pense, est en passe de perdre des procès importants et d’être mis au ban de la société. Plus fondamentalement, Le Misanthrope nous montre ce que la société fait de nous, à quelles compromissions elle nous pousse. Quel enfant a dit un jour « moi, plus tard, je voudrais être un peu lâche, un peu flatteur, pour obtenir l’appui de gens influents afin de m’élever professionnellement, quitte à entretenir un système que je sais toxique et injuste » ? Et pourtant, nous finissons tous par faire des petits tours de passe-passe avec notre conscience et nous tentons de concilier nos valeurs avec notre envie de réussite. On renomme nos actes «mentir » devient « préserver l’autre », « flatter » devient « entretenir une bonne relation »), on se raccroche à l’idée que toute vérité n’est pas bonne à dire, et on suit la « realpolitik » dePhilinte. Mais en chacun de nous vit aussi un Alceste (parfois savamment bâillonné, il est vrai) qui n’est dupe de rien et pointe sans pitié ces petits accommodements peu reluisants. Voilà ce qui guide mon travail autour du Misanthrope : plutôt que de dépeindre un « atrabilaire amoureux » (le sous-titre de la pièce), je voudrais mettre l’accent sur le problème systémique, à savoir l’impossibilité, dans une société qui nous met en concurrence les uns avec les autres, de résoudre la délicate question de la sincérité. Ce n’est pas dans la nature intrinsèque de Célimène de séduire et manipuler, ni dans celle d’Alceste de se brouiller avec le monde entier, mais ils se débattent comme ils peuvent dans une société peu humaine. Patrice MINCKE
    Lieu
    Théâtre Royal du Parc
    Rue de la Loi, 3
    1000 Bruxelles
    Réservation : +32 2 505 30 30
    info@theatreduparc.be
    http://www.theatreduparc.be
  • Amours bancals

    07.03.2024  >  23.03.2024

    • Concert

    Lire la suite

    Amours bancals, c’est un projet musical conçu sur mesure pour le focus "Les BienVeilleuses" avec 3 artistes de la scène belge qui reprennent et réadaptent des chansons françaises et internationales, abordant les violences conjugales. De He hit me (and it Felt like a kiss) des Crystals à Clara Luciani, de Pierre Perret à la Canson sin miedo de Vivir Quintana, un concert qui balance sans tabou ni oeillères, les coups qu’on peut donner, recevoir ou ceux qu’on préfère ne pas voir. Karin Clercq : En 2002, à une époque où peu de femmes encore occupaient le paysage musical, Karin Clercq a sorti Femme X, un album remarqué dans toute la francophonie, mettant en valeur des portraits féminins singuliers. Aujourd’hui, avec 6 albums et 1 EP à son actif, la chanteuse, auteure-compositrice et comédienne jongle entre musique, théâtre, écriture, fiction et doublage. Valérie Lemaître : Comédienne au théâtre et au cinéma, aussi bien en France qu’en Belgique, metteure en scène, dramaturge, scénariste, habituée des studios de voix, autrice-compositrice-interprète, elle a créé en 2021 son deuxième projet musical, Aldous, avec le musicien Martin Daniel. Cédric Van Caillie : Chanteur, guitariste, bassiste et compositeur, il est le Frontman du groupe Balimurphy, avec qui il a enregistré plusieurs albums et effectué des tournées européennes. Il collabore aussi avec des artistes comme Marie Warnant, Kris Dane, Karin Clercq et Le Major Dubreucq. En tant que coach au Studio des Variétés, il contribue à la formation de la jeune génération. __________ Concert de Karin Clercq, Valérie Lemaître, Cédric Van Caillie
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be