Evénements du 1er février 2024

  • Intimes

    18.10.2023  >  14.02.2024

    • Théâtre
    Quand les êtres se racontent

    Lire la suite

    Une exploration de l’intimité des relations au plus profond des personnages et de leurs histoires. Dans la chambre, pièce unique où se passe l’action, les personnages se découvrent, se livrent, s’explorent, s’éloignent, se redécouvrent. Sont abordés sans tabou mais en retenue, tous les aspects de l’intimité, qu’elle soit charnelle, intellectuelle, philosophique, religieuse ou émotionnelle.
    Lieu
    Théâtre l’Improviste
    Rue de Fierlant, 120
    1190 Forest
    http://www.improviste.be/
  • Get a clue ! - An improvised Murder Mystery

    29.10.2023  >  11.02.2024

    • Théâtre

    Lire la suite

  • Being Human – Être Humain

    22.11.2023  >  15.02.2024

    • Exposition
    Du 22 novembre 2023 au 15 février 2024, le Musée de la Migration de Bruxelles accueille “Being Human – La mer de nuit est trop grande !”, une exposition de Gonzalo Orquín. L’exposition, conçue par Francesca Paci et inspirée par la peinture espagnole, met en lumière les histoires des migrants, en se concentrant sur les arrivées par la mer à Lampedusa, en Italie. Réservations : museum@foyer.be

    Lire la suite

    The sea at night is too big! – La mer de nuit est trop grande ! Du 22 novembre 2023 au 15 février 2024, le Musée de la Migration de Bruxelles accueille “Being Human – La mer de nuit est trop grande”, une exposition de l’artiste Gonzalo Orquín. Cet événement s’inscrit dans le cadre de la présidence espagnole de l’Union européenne et a été commandé par l’ambassade d’Espagne en Belgique. L’exposition, conçue par Francesca Paci et inspirée par la peinture espagnole, met en lumière les histoires et les expériences des migrants, en se concentrant sur les arrivées par la mer à Lampedusa, en Italie, et via Bihac, en Bosnie. Les portraits d’Orquín visent à donner une voix à ces individus souvent négligés, favorisant l’empathie et la compréhension. Les 16 œuvres exposées humanisent les migrants en offrant des noms, des visages et des récits, dépeignant leurs expériences avec un réalisme saisissant et des moments d’espoir. L’exposition aborde également les défis auxquels sont confrontés les réfugiés LGBTQI+. Gonzalo Orquín a collaboré avec plusieurs organisations, et une partie des recettes de la vente des œuvres d’art sera versée à ces groupes. Chaque tableau est associé à un nom fictif, et l’exposition comprend un film documentaire qui suit le processus de l’artiste. Le vernissage aura lieu le 22 novembre à 11h au Musée de la Migration de Bruxelles. Pour plus d’informations, visitez mmm.brussels ou gonzaloorquin.com et utilisez le hashtag #BeingHuman pour partager. Réservations : museum@foyer.be
    Lieu
    MigratieMuseumMigration
    rue des ateliers, 17
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 609 55 61
    museum@foyer.be
    http://www.migratiemuseummigration.be
  • Inno JP : True Story

    10.01.2024  >  10.02.2024

    • Théâtre
    Ne riez pas, tout est vrai sauf ce qui ne l’est pas !

    Lire la suite

    Né Innocent à Kigali en 1983 et baptisé Jean-Paul par le couple de lesbiennes quinquagénaires qui l’a adopté à la Hulpe un an plus tard, Inno JP a une histoire qu’il serait improbable d’inventer. Celui qui se définit aujourd’hui comme « le Barack Obama du gazon maudit » raconte son enfance dans un milieu très monochrome quand il était son seul ami noir, son inclinaison pathologique au retard (qui n’est pas de nature à torpiller les clichés) et son cul concave « de blanc » qu’il est occupé d’attraper. Grâce à sa qualité d’écriture rare et son aisance rythmique, Inno JP déconstruit l’air de ne pas y toucher nos fâcheux réflexes néocolonialistes avec son humour irrésistible à déboulonner des statues. Après son carton dans la grande salle la saison dernière, cette fois encore et plus que jamais, il va vous secouer de rire.
    Lieu
    TTO - Théâtre de la Toison d'Or
    Galerie de la Toison d'Or, 396
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 510 05 10
    Réservation : +32 2 510 05 10
    info@ttotheatre.be
    http://www.ttotheatre.be
  • "Ceci n’est pas un Rêve" de Christine Delmotte-Weber

    17.01.2024  >  04.02.2024

    • Théâtre
    Alice, photographe, découvre en 2020 un échange de lettres entre les peintresses surréalistes Leonor Fini et Leonora Carrington en juillet 1939 à Saint-Martin- d’Ardèche.

    Lire la suite

    Du mercredi 17 janvier au dimanche 4 février 2024 « CECI N’EST PAS UN RÊVE » de Christine Delmotte-Weber L’histoire de l’art a souvent gommé les femmes, trop souvent réduites au rôle de muses. Dans le mouvement surréaliste ont émergé de nombreuses peintresses. Alice, photographe, découvre en 2020 un échange de lettres entre les peintresses surréalistes Leonor Fini et Leonora Carrington en juillet 1939 à Saint-Martin- d’Ardèche. Quels liens existent entre ces trois femmes ? Elles vont rêver les unes des autres entre poésie, onirisme et sensualité. Avec : Stéphanie Blanchoud, Ana Rodriguez et Stéphanie Van Vyve Mise en scène : Christine Delmotte-Weber
    Lieu
    Comédie Claude Volter
    Avenue des Frères Legrain, 98
    1150 Woluwe-Saint-Pierre
    Tél : +32 2 762 09 63
    Réservation : +32 2 762 09 63
    secretariat@comedievolter.be
    http://www.comedievolter.be
  • Trois Soeurs

    26.01.2024  >  10.02.2024

    • Théâtre
    Vous dites : la vie est belle. Oui, mais si c’était une erreur ? Pour nous, les trois sœurs, la vie n’a pas encore été belle, elle nous a étouffées, comme une mauvaise herbe…

    Lire la suite

    Prenez trois jeunes femmes, Irina, Olga et Macha, et quelques soldats d’une garnison désœuvrée – sans mission et en déroute philosophique, en quelque sorte … Placez-les dans une maison familiale dont le père et la mère ont disparu. Laissez-les se heurter, se frôler, se divertir, se repousser. Situez l’action dans une ville insignifiante aux confins de nulle part, dans un vide existentiel où passé et futur semblent inconciliables et le présent insoutenable. Telle est l’expérience à laquelle nous convie Christophe Sermet qui lit, dans cette comédie tissée de micro-tragédies, une observation de l’être humain in vivo, détachée de toute interprétation historico-politique ; une réflexion sur la complexité d’être au monde et d’y trouver une harmonie avec l’autre ; une exploration du sentiment tragique de n’être jamais laissé en paix par ses désirs, de n’être ni au bon endroit ni au bon moment, perpétuellement décalé dans le temps et dans l’espace, embarqué dans le drame comique du contretemps. Tchekhov offre une dramaturgie du doute, de l’incertitude, de la complexité et de la remise en cause incessante des points de vue et des opinions. À une époque où le monde numérique appauvrit et nivelle les rapports interpersonnels, il est salutaire de revenir à cette écriture, où la possibilité du sensible – du désarroi intime – passe par le ressenti collectif, entre scène et salle, et dans cet entre- deux trouble où l’on vibre ensemble.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be
  • Tout semblait immobile

    27.01.2024  >  01.02.2024

    • Théâtre
    Un spectacle facétieux et prodigieusement inventif, pour réinventer ces mille et une histoires qui poussent dans les tréfonds de nos fééries intimes.

    Lire la suite

    Et si, pour une fois, c’était l’ogre qui semait des petits cailloux pour retrouver son chemin ? Sillonnant les replis de nos imaginaires, une déambulation frondeuse dans la forêt des contes. Trois spécialistes sont venu·es donner une conférence sur leur sujet de prédilection : le conte. Un brin loufoques, i·els s’assoient derrière une petite table et disposent soigneusement les ouvrages savants à partir desquels i·els élaboreront leur propos (Morphologie du conte, Psychanalyse des contes de fées …), sans oublier, au passage, de nous rappeler l’étendue de leurs titres universitaires respectifs. Passé ce préambule, i·els se lancent dans leur exposé. Mais à mesure qu’i·els naviguent entre des théories parfois alambiquées, leur controverse change de dimension et le monde, autour d’el·leux, glisse lentement vers le songe. Tout ressurgit alors : peur du noir, des monstres, de l’abandon, de la dévoration… Perdu·es dans une forêt profonde qui, à chacun de leurs pas, ravive leurs sensations et leurs souvenirs engloutis, i·els deviennent peu à peu les personnages de cette bourdonnante fabrique d’histoires qu’i·els étaient censé·es décortiquer …   Dans ce magnifique spectacle créé en 2013 et résolument destiné à tous les publics, Nathalie Béasse retourne à la racine de son inspiration. Elle entremêle les mythes et les symboles, échange les rôles et fait voler en éclats les codes de la narration, pour bâtir de nouvelles passerelles entre ces récits enfouis dans nos mémoires. Musique, bruitages, clowneries en tous genres, déguisements farfelus : utilisant tous les moyens du bord, les trois interprètes de tout semblait immobile déambulent entre Hansel et Gretel et le Petit Poucet pour faire naître sous nos yeux des paysages chimériques dont i·els semblent découvrir les secrets en même temps que nous. Explorant de l’intérieur la cruauté de ces contes qui catalysent tant nos frayeurs cachées, i·els en révèlent dans le même temps toute la puissance onirique, qui met nos imaginaires en ébullition. De formidables rites de passages, et des terrains d’apprentissage et d’expérimentation où peuvent librement s’exprimer, sur une ligne de crête entre le réel et le rêve, tous nos désirs et nos espoirs d’enfants.    
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be
  • Ceux-qui-vont-contre-le-vent

    30.01.2024  >  01.02.2024

    • Théâtre
    Aux confins du théâtre, de la danse et des arts visuels, une fresque mouvante et poétique, qui dessine une communauté humaine guidée par la joie enfantine de se tenir en équilibre au bord du monde.

    Lire la suite

    Quand l’horizon nous freine, comment relier nos corps et défier nos limites avec espièglerie ?  Dès le titre, l’énigme semble posée : qui sont ces sept personnes qui vont contre le vent ? Des ami·es ? Une fratrie ? I·els sont là, sur scène, jeunes ou moins jeunes, rassemblé·es autour d’une table. Chacun·e, à tour de rôle, se lève pour lire une lettre. À travers les mots, l’absence se dévoile. Le manque se dessine. La musique les accompagne. Elle se glisse dans leur chair et les met en mouvement. Alors i·els dansent, rient, s’élancent, s’échappent, tantôt comme des adultes, tantôt comme des enfants. I·els explorent leurs pulsions, leurs désirs, leurs vertiges. La chute n’est jamais loin, et pourtant, i·els sont là l’un·e pour l’autre, cherchent leur équilibre, se soutiennent, se rattrapent. Transforment le décor, l’éclairage, construisent et déconstruisent à vue leur terrain de jeu, ce monde dont i·els ne cessent de repousser la lisière et d’explorer les recoins. Un paysage familier qui, pas après pas, se dévoile ou s’estompe, peuplé d’adversités invisibles, face auxquelles i·els tiennent bon.   Intitulé d’après l’autre nom des Omahas, un peuple cité dans Partition rouge, un recueil de poèmes et de chants des Indiens d’Amérique du Nord que Nathalie Béasse conserve depuis toujours comme livre de chevet, ceux-qui-vont-contre-le-vent explore la façon dont nos corps continuent d’avancer en dépit des obstacles. Comment, avec leur solitude et leurs fragilités, ces sept corps peuvent-ils former une même entité, une famille, une tribu ? Face au groupe, comment se transforment-ils, qu’ont-ils à révéler ou à dissimuler ? Créé en 2021 au Festival d’Avignon, ce spectacle puise dans notre humanité pour mettre en scène nos joies et nos empêchements. Nos élans vers l’autre, mais aussi notre difficulté, parfois, à verbaliser des choses que nos mouvements finissent par exprimer. Pour autant, les mots sont bien présents : Flaubert, Rilke, Duras, Gertrude Stein … Des fragments littéraires qui s’invitent avec une telle simplicité dans la voix des interprètes, que cette parole semble avoir été inventée dans l’instant. Un imaginaire d’une très grande délicatesse, qui creuse dans le sensible pour continuer, inlassablement, d’interroger ce qui nous relie. 
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be
  • Sans tambour

    30.01.2024  >  02.02.2024

    • Théâtre
    Sur un thème vieux comme l’amour, celui de la rupture et de l’effondrement que celle-ci charrie dans son sillon, la virtuose bande d’interprètes survole une avalanche de déséquilibres. 

    Lire la suite

    « Tout commence par un effondrement, celui d’un couple, de leur maison et de leur histoire. I·Els parlent ou i·els chantent c’est un peu la même chose finalement. La fin de leur histoire est le début de la nôtre, celle qui consiste à construire de nouveau sur ses propres ruines. » Samuel Achache aime inventer de nouveaux rapports entre théâtre et musique. Dans Sans tambour, il s’attaque aux lieder de Schumann, en subvertit joyeusement la gravité et les décline en diverses saynètes.  Sur un thème vieux comme l’amour, celui de la rupture et de l’effondrement que celle-ci charrie dans son sillon, la virtuose bande d’interprètes survole une avalanche de déséquilibres.  Derrière l’esprit un peu potache de Sans tambour, on perçoit une douce mélancolie. Le plateau devient chantier en déconstruction permanente, composé des strates du passé et des traces du présent. Le chant et les instruments de musique sortent des ruines et semblent renaître, tels des phénix, du chaos. La partition fragmentée nous plonge dans des images subjectives profondes mais fugaces, comme des éclats.
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • ...comme un poisson sans bicyclette

    30.01.2024  >  10.02.2024

    • Théâtre
    Tout part d’un constat et d’une foule de questions. Le constat : née de père inconnu, orpheline dès 3 ans, ma mère ne nous a pas raconté, à ma soeur et à moi, la même histoire concernant son père et sa mère. S’ensuit la foule de questions, et des hypothèses en masse.

    Lire la suite

    Tout part d’un constat et d’une foule de questions. Le constat : née de père inconnu, orpheline dès 3 ans, ma mère ne nous a pas raconté, à ma soeur et à moi, la même histoire concernant son père et sa mère. S’ensuit la foule de questions, et des hypothèses en masse. Ma mère ne m’aidera pas : elle est morte. J’ai la sensation qu’il y a là-derrière quelque chose qui dépasse ma petite histoire personnelle, et j’ai l’envie de partager cette chose encore à découvrir. J’explore, je m’interroge, j’écris…je m’y perds. C’est trop pour une seule femme. Je fais alors appel à des acteurices dont j’apprécie l’intelligence, les qualités de jeu et le rapport au théâtre. Ensemble nous cheminons dans la matière, nous en creusons, nous en inventons la théâtralité. Et voilà, nous y sommes : Comme un poisson sans bicyclette, inspiré du slogan féministe : « Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette ».
    Lieu
    Théâtre Océan Nord
    Rue Vandeweyer, 63-65
    1030 Schaerbeek
    Tél : +32 2 242 96 89
    Réservation : +32 2 216 75 55
    info@oceannord.org
    http://www.oceannord.org