Evénements du 9 septembre 2023

  • Le vif du sujet

    02.09.2023  >  21.10.2023

    • Théâtre

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    Les seins, c’est l’histoire de l’humanité. Mais la récurrence accable. Pourquoi tant de victimes du cancer ? Et comment en parler ? Le théâtre et la poésie nous aident à le mettre à bonne distance. Écrite par une femme d’après une multitude d’interviews recueillies pendant de longs mois auprès de femmes et d’hommes touchés par la maladie, la pièce plonge dans le « vif du sujet » en « appelant un chat, un chat ». Sur la durée d’une représentation, une femme va incarner toutes les étapes qui jalonnent ce parcours de combattante. En partant de son enfance, ses relations amoureuses ou avec la médecine, en passant par le regard et les injonctions de la société, elle raconte avec une bonne santé contagieuse. Et ça fait un bien fou. Elle s’adresse à toutes et tous, car de près ou de loin, nous sommes tous reliés et nous sommes concernés. L’autrice trempe sa plume dans l’encre de la résilience comme contrepoint à la résignation, dans l’encre de la joie pour aborder la reconstruction. Et l’actrice, en réaction à l’extrême violence des maux physiques et psychiques que la maladie impose, en miroir aux tourments qu’imposent les relations parfois complexes avec le corps médical, transmet avec une énergie et une drôlerie débordantes, le désir de vivre « l’après » en toute liberté. Devant nous, une femme prend le sujet à bras le corps et retrace les étapes qui lui ont permis de se réapproprier son corps et sa vie, de se délester des préjugés et d’aller de l’avant. __________ De Laurence Bastin / Mise en scène : Patricia Ide / Avec : Laurence D’Amelio __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Classique à l’Abbaye

    03.09.2023  >  02.06.2024

    • Festival
    La nouvelle saison de Classique à l'Abbaye débutera le dimanche 3 septembre. Ensuite, c’est un concert de classe mondiale programmé chaque premier dimanche du mois jusqu'à début juin 2024. Chaque premier dimanche du mois à 11h Abbaye de Dieleghem - rue Tiebackx 14 Avec garderie et apéritif

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  • Traces, discours aux nations africaines

    05.09.2023  >  21.10.2023

    • Théâtre

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    Un africain revenant d’une longue odyssée décide de s’adresser aux siens. Il les invite par une parole poétique à édifier le jour qui vient. Il est debout, dressé face au monde avec la ferme volonté de l’homme qui a quelque chose à partager. Et, il partage une pensée, belle et forte comme un soleil, celle de Felwin Sarr (économiste, penseur et poète sénégalais) qui écrit ce Discours aux nations africaines. Il nous invite ainsi à nous transformer, et inventer d’autres récits, pour écarter les voiles de nos certitudes et rouvrir le champ des possibles : La première puissance que nous devons recouvrer est celle de nous soustraire à la volonté des autres. Cela s’appelle la liberté. Pour nos petits. Pour celles et ceux qui arriveront après nous, un appel à la création d’un nouveau projet de civilisation. Rien de moins. Avec une franche bienveillance, un réel amour de l’humanité, en conteur exceptionnel, Étienne Minoungou s’adresse à nous. Accompagné du merveilleux musicien Simon Winch, Étienne prend la parole pour donner corps au récit de la vie qu’il a traversé en quittant l’Afrique, porteur d’un message d’espoir. Après une longue et prestigieuse tournée qui l’a mené entre autres à Düsseldorf, New York, Marrakech, Casablanca, Atlanta, Princeton, Genève, Kinshasa… à la manière d’une vaste odyssée, Étienne pose ses valises au Public pour quelques semaines, et nous fait le plaisir de partager le regard du continent africain posé sur le monde, au service de l’avenir et de la jeunesse. __________ De Felwine Sarr / Mise en scène : Etienne Minoungou / Regard extérieur : Aristide Tarnagda / Avec : Etienne Minoungou et Simon Winsé (musicien) __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE DE NAMUR EN COPRODUCTION AVEC LE FESTIVAL LES RÉCRÉATRALES– OUAGADOUGOU, LE FESTIVAL AFRICOLOGNE ET LE THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DE LA FONDATION VON BROCHOWSKI SUD-NORD. DIFFUSION LA CHARGE DU RHINOCÉROS.
    Lieu
    Théâtre Le Public
    Rue Braemt, 64 70
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    Tél : +32 2 724 24 44
    Réservation : +32 2 724 24 44
    contact@theatrelepublic.be
    http://www.theatrelepublic.be
  • Macbeth

    07.09.2023  >  30.09.2023

    • Théâtre
    Parodie pour marionnettes, en bruxellois français.

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    Dans la série des “Grands classiques”, Toone VIII - Nicolas Géal présente “Macbeth”, sombre drame shakespearien de la fatalité et de l’ambition devenu, grâce à la malicieuse collaboration d’Arthur et Elisabeth FAUQUEZ, une comédie bruxelloise où l’imparable Woltje, le ketje de Bruxelles, trouve son mot à dire. Créée en 1967, à l’occasion de la “British Week in Brussels”, “Macbeth” reçut un accueil exceptionnel que confirme l’anecdote suivante : un soir que Toone VII – José Géal, comme à l’accoutumée, salue son public, son Excellence l’ambassadeur de Grande-Bretagne lui glisse à l’oreille ces mots historiques : “It’s the first time, I appreciate Shakespeare.” En 1997, Toone VII fait appel au talent du regretté Raymond Renard pour présenter une nouvelle scénographie de ce régicide britannique. Le roi d’Ecosse ne cache à personne sa dévotion pour le “bloempanch” (boudin) et les frites de Madame Macbeth ! Tandis que la forêt de Birnam en marche vers le château sera représentée par le traditionnel “Mâbuum”, le fameux Meyboom bruxellois, arbre planté chaque année, la veille de la Saint- Laurent, au coin des rues du Marais et des Sables d’après une tradition séculaire. “... Toone a surtout respecté l’esprit de Shakespeare et sa création de Macbeth et de Lady Macbeth est remarquable, car ces marionnettes expriment avec vraisemblance le déchirement de la conscience, la fascination du mal et la peur de la damnation.” (C.B. La Cité, 10-11-1969) Et comme l’écrit Luc Honorez : “Toone sait raconter des histoires, il ne trahit pas, il pastiche.” (Le Soir, 12-11-1969)
    Lieu
    Théâtre Royal de Toone
    Rue du Marché aux Herbes - Entrée : Impasse Sainte Pétronille, 66
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 511 71 37
    Réservation : +32 2 513 54 86
    woltje@skynet.be
    http://www.toone.be
  • Lysistrata

    07.09.2023  >  14.10.2023

    • Théâtre
    Librement inspiré d’ARISTOPHANE Il y a 2400 ans, des femmes athéniennes décident de faire la grève du sexe tant que leurs maris feront la guerre.

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    La pièce que nous vous proposons pour démarrer la saison 23-24 est très librement inspirée d’une comédie d’Aristophane, écrite il y a plus de 2400 ans. Le pitch est très moderne : les athéniennes en ont assez de voir leurs maris se battre contre la cité de Sparte depuis 20 ans. Elles s’allient aux femmes spartiates et menacent leurs hommes d’une grève du sexe si le conflit ne s’arrête pas immédiatement. Mais leurs revendications ne s’arrêtent pas là… La pièce nous plonge dans la Grèce antique d’il y a plus de deux millénaires, tout en nous offrant un propos très actuel qui nous touche au plus profond de notre être. Un spectacle haut en couleur accessible à partir de 12 ans !
    Lieu
    Théâtre Royal du Parc
    Rue de la Loi, 3
    1000 Bruxelles
    Réservation : +32 2 505 30 30
    info@theatreduparc.be
    http://www.theatreduparc.be
  • Classement Sans Suite

    07.09.2023  >  09.09.2023

    • Théâtre
    «Classement sans suite» est un spectacle qui déconstruit les préjugés existants autour des violences sexuelles et qui nous parle des failles de notre système judiciaire face à ces violences spécifiques.

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    «Classement sans suite» est une histoire, qui se veut, universelle. C’est l’histoire non pas d’une victime de violences sexuelles mais de toutes les victimes, quels que soient leur âge, leur genre, leur classe sociale, leur origine, leur lien avec l’agresseur, qui décident de porter plainte auprès des services de police et d’entamer une procédure judiciaire. Sur scène, cinq comédien.ne.s dont chacun.e représente une symbolique de ce parcours judiciaire : la victime (Griselda), l’agresseur (Vincent), l’entourage de la victime (Sophie), les associations qui accompagnent les victimes (Agnès) et les institutions judiciaires et policières (Enzo). Chaque comédien.ne incarne son rôle dans toutes ses déclinaisons possibles. Par exemple, Vincent jouera tous les agresseurs, à la fois jeune et plus âgé, d’origine étrangère ou non, proche ou éloigné de la victime, reconnaissant ou non sa responsabilité... La pièce est donc le récit d’une histoire qui parle de toutes les histoires et qui nous renvoie à notre réalité; celle d’une société dont les stéréotypes doivent encore être déconstruits et qui doit absolument continuer à combattre la culture du viol; celle d’une justice, malgré une amélioration de la prise en charge des victimes de violences sexuelles, peu encline à la réparation et à la restauration des victimes.
    Lieu
    Théâtre CreaNova
    rue de la victoire , 96 / 1060
    1060 Saint-Gilles
    Tél : +32 499 50 12 28
    contact@creabxl.org
    http://www.creatheatrebruxelles.be
  • The NarcoSexuals [16+] - Studio Dries Verhoeven

    07.09.2023  >  11.09.2023

    • Spectacle
    Une plongée dans l’espace hors du temps de la drogue et du sexe conjugués.

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    Une plongée dans l’espace hors du temps de la drogue et du sexe conjugués. En scrollant sur leurs smartphones, ils partent à la recherche de sexe – du sexe comme ils n’ont jamais eu auparavant, du sexe au-delà de l’imaginable. Excités et déterminés, ils enfourchent leurs vélos, avec en poche un flacon de GHB, un sachet de 3MMC ou autre chose. Désobéissant à l’obligation de la distanciation sociale, ils font un doigt d’honneur au culte de la Santé, et se rebellent contre la solitude toujours clandestine. Ils se rencontrent sur un divan, dans un salon quelconque, quelque part en ville. Ils se blottissent les uns contre les autres, ils parlent et parlent encore, ils baisent jusqu’à épuisement, parfois ils s’évanouissent, dans les bras l’un de l’autre, ils prennent soin l’un de l’autre. Voici The NarcoSexuals. Dans sa dernière œuvre, Dries Verhoeven enquête sur les tenants et aboutissants de l’usage sexuel de drogues, un phénomène de plus en plus populaire, en particulier auprès des hommes gay. Quarante ans après la Gay Lib, c’est une « narco-révolution » qui a lieu, même si la libération à l’œuvre est invisible pour le monde extérieur. Qu’est-ce qui pousse ces gens à aller jusqu’à risquer leurs vies ? A quel point ont-ils le droit d’être différents? “Aucune autre performance de la saison dernière n'a autant impressionné le jury sur le plan physique, en partie grâce à son jeu intelligent entre regarder et être regardé. Mais ce que nous apprécions peut-être encore plus dans cette installation pénétrante, c'est sa fusion de différents domaines artistiques pour créer de nouveaux cadres de signification.” — #jury23
    Lieu
    Extra Muros
    Extra Muros
    1000 Bruxelles
    http://www.creatheatrebruxelles.be
  • Francis Alÿs : The Nature of the Game

    07.09.2023  >  07.01.2024

    • Exposition
    Découvrez une vaste sélection des célèbres films de jeux d’enfants de Francis Alÿs, en dialogue avec ses peintures délicates et l'installation cinématographique The Silence of Ani.

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    Suite à sa présentation pour la participation flamande au pavillon belge de la 59e Biennale de Venise 2022, Alÿs présente une nouvelle version de l’exposition The Nature of the Game, douze ans après sa rétrospective mémorable au WIELS, qui a fait découvrir au public belge toute l'étendue de son œuvre. À partir de 1999, Francis Alÿs a documenté des enfants jouant dans des lieux publics au cours de ses voyages. Pour la Biennale de Venise, il a présenté une grande série de jeux filmés pendant la pandémie, entre autres en République Démocratique du Congo, en Belgique, à Hong Kong, au Mexique, en Suisse, … en dialogue avec un groupe de ses peintures de petit format. Pour WIELS, il termine quelques nouveaux films, dont des jeux d'enfants qu'il a récemment vus en Ukraine, et les confronte avec l'installation cinématographique The Silence of Ani (2015), où des enfants jouent à cache-cache dans les ruines d'une antique cité Arménienne située aux confins de la Turquie actuelle. Avec des appeaux, les enfants appellent les oiseaux et pour un instant créent l'illusion que la ville revient à la vie. « Alors que les adultes sont plus enclins à utiliser la parole pour traiter leurs expériences - alors que les adultes parlent -, les enfants jouent pour assimiler les réalités qu'ils rencontrent. Leurs jeux imitent, se moquent ou défient les règles de la société adulte qui les entoure. L'acte de jouer peut également les aider à faire face à des expériences traumatisantes telles que celles de la guerre en créant un simulacre du réel et en transformant les circonstances dramatiques qui les entourent en un monde plus fictif et ludique. Mais ce qui est magique dans un jeu d'enfant, c'est qu'il n'a pas de secret, ‘c'est tout ce qu'il y a’. Adulte, nous devons rester fidèle à l’enfant que nous avons été ; nous souvenir et faire confiance à ce moment, le plus précieux de notre existence.’. » Francis Alÿs Jouer est un besoin fondamental de l’être humain, comme manger et dormir. Pendant l’enfance, nous l’apprenons instinctivement ou en imitant les autres. Le jeu doit être considéré comme une relation créative des enfants avec leur univers, activité qui peut parfois dissimuler une dimension sociopolitique. Comme les interactions sociales se déroulent de plus en plus en ligne dans un monde virtuel, Alÿs capture ce moment de profonde transition que vit notre société et rassemble une mémoire des jeux d'enfant avant qu’ils ne disparaissent. Si certains d’entre eux se rattachent à la tradition d’une région spécifique, d’autres sont plus universels, et nombre de ces jeux se retrouvent d'ailleurs dans le tableau du 16e siècle Jeux d’enfants de Bruegel, une œuvre qui a fortement impressionné Alÿs quand, à un âge précoce, il l’a vue pour la première fois. Dans l’œuvre d’Alÿs, observer et documenter le comportement humain dans l’environnement urbain est la constante principale. Ses films enregistrent tant les traditions culturelles que les actions spontanées et sans contrainte des enfants, dans la rue comme dans les zones de conflit et des turbulences de la vie moderne. Les jeux d’enfants ont acquis une place centrale dans la pratique d’Alÿs, lui permettant de capturer la culture et les modes de vie des gens, parfois même dans des endroits où ils semblent le moins susceptibles de se manifester. Commissaires de l’exposition : Dirk Snauwaert & Hilde Teerlinck Francis Alÿs (Belgique, 1959) vit et travaille à Mexico. Il possède une formation d’architecte. Dans sa pratique, il utilise différents médias : de la peinture et du dessin à la vidéo et l’animation. Dans son oeuvre, il aborde des thèmes ethnologiques et géopolitiques en observant la vie quotidienne au cours de ses promenades et de ses voyages. Sa série Children’s Games (1999-en cours) est une collection de scènes de jeux d’enfants dans le monde entier. Une dizaine de nouveaux jeux, filmés en République Démocratique du Congo, en Belgique, au Canada, en Irak et à Hong Kong, ont été présentés en 2022 à la 59e Biennale de Venise. Les œuvres d’Alÿs sont exposées dans des musées renommés du monde entier.
    Lieu
    Wiels - Centre d’art contemporain
    Avenue Van Volxem, 354
    1190 Forest
    Tél : + 32 (0)2-340.00.50
    welcome@wiels.org
    http://www.wiels.org
  • Kijken, werken & verwerken - WISPER

    08.09.2023  >  10.09.2023

    • Cours, Stages et Ateliers
    WISPER organise un stage de trois jours pour tous ceux qui veulent vivre le festival un peu plus intensément que le spectateur moyen. Une révélation pour tous ceux qui pensaient que le théâtre commence et se termine avec l’ouverture et la fermeture du rideau 

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    WISPER organise un stage de trois jours pour tous ceux qui veulent vivre le festival un peu plus intensément que le spectateur moyen. Car pourquoi s’arrêter après la tombée du rideau ? C’est là que les choses deviennent vraiment intéressantes. Au cours de ce stage, nous assisterons à des représentations du festival, après quoi nous aurons une conversation avec l’un des réalisateurs ou l’un des acteurs. Nous les interrogerons sur leur travail. Comment s’est déroulée la création ou la représentation de ce spectacle ? Où avez-vous puisé votre inspiration ? Comment s’est déroulé le processus de répétition ? Quelles limites avez-vous rencontrées lors de la création de la pièce ? Au cours de la journée, nous travaillons activement et de manière réfléchie sur ce que nous avons vu et entendu la veille. Nous examinons attentivement la performance et découvrons les couches qui montrent exactement comment une telle performance a été créée et réalisée. À partir de là, nous jouerons et expérimenterons nous-mêmes. PROGRAMME:Ve. 8/9: The NarcoSexuals – Studio Dries VerhoevenSa. 9/9: Pépé chat; ou comment Dieu a disparu – Lisaboa Houbrechts/laGesteDi. 10/9: Een leuk avondje uit – Jetse Batelaan/hetpaleis/Theater Artemis & Het Zuidelijk Toneel Nous ne referons pas la pièce que nous avons vue, mais nous en appliquerons les principes et les techniques dans le cadre de travaux ludiques ou d’exercices de réflexion. Et nous verrons ce que cela nous apporte en tant que créateurs ou acteurs d’agir ou de réaliser d’une manière similaire. L’après-midi et le soir, nous mangerons au centre du festival.  Une révélation pour tous ceux qui pensaient que le théâtre commence et se termine avec l’ouverture et la fermeture du rideau ! • WISPER organise des cours artistiques de danse, de théâtre, de musique, de photographie, d’arts visuels et de littérature pour les étudiants débutants et avancés âgés de 18 ans et plus. WISPER considère l’éducation artistique comme une mission pour les personnes et la société. Nous croyons non seulement au pouvoir social de l’éducation artistique, mais aussi au pouvoir d’une société diversifiée.
    Lieu
    KVS BOX
    Quai aux Pierres de Taille, 9
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 11 12
    Réservation : +32 2 210 11 12
    tickets@kvs.be
    http://www.kvs.be
  • Visite guidée & talk avec Mehdi-Georges Lahlou (EN)

    09.09.2023

    • Conférences et congrès
    Dans le cadre de l’exposition extra des artistes Mehdi-Georges Lahlou et Candice Breitz, la CENTRALE organise une conversation (EN) autour de l’archive en tant qu’enjeu de mémoire. Modération : Anne Wetsi Mpompa. Avec : Mehdi-Georges Lahlou, Hicham Khalidi, Véronique Clette-Gakuba. Curatrice : Tania Nasielski.

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    L’archive comme enjeu de mémoire 09.09.2023 14:30 > 15:15 : Visite guidée de l’exposition extra avec Mehdi-Georges Lahlou & Tania Nasielski (EN) 15:30 > 17:30 : talk « L’archive comme enjeu de mémoire » (EN) CENTRALE | atelier Place Sainte-Catherine 44, 1000 Bruxelles Tarif unique : 8€ (visite & talk) Réservation obligatoire La CENTRALE for contemporary art organise le 9 septembre prochain une conversation (EN) autour de l’exposition extra des artistes Mehdi-Georges Lahlou et Candice Breitz. Se joindront aux artistes Hicham Khalidi, actuellement directeur de l’académie Jan Van Eyck à Maastricht et Véronique Clette-Gakuba dont le travail s’articule autour des enjeux postcoloniaux, comme celui de la création d’un monde noir à Bruxelles. La rencontre sera modérée par Anne Wetsi Mpoma, historienne de l’art, chercheuse et militante s’intéressant aux stratégies de résistance déployées pour une société plus cohérente en termes de justice sociale, raciale et environnementale dans le monde. À travers l’exposition extra Mehdi-Georges Lahlou et Candice Breitz utilisent l’archive pour questionner tant la mémoire que l’inconscient collectif. Les intervenantxes s’exprimeront sur la manière dont cette exposition s’insère dans les enjeux post/décoloniaux d’une ville internationale comme Bruxelles. Ville où de nombreux(ses) acteurs(trices) plaident activement pour des réparations postcoloniales, un meilleur accès aux archives, la commémoration des anciens combattants non européens ou l’enseignement d’une Histoire véritablement plurivocale. Médiatrice : Anne Wetsi Mpoma Avec : Mehdi-Georges Lahlou, Hicham Khalidi, Véronique Clette-Gakuba. Curatrice : Tania Nasielski. Véronique Clette-Gakuba est chercheuse à l’Institut de sociologie de l’ULB et membre du collectif Présences noires. Son travail porte sur les conditions de postcolonialité dans l’art et la culture en Belgique. En 2023 elle écrit une thèse « Epreuves de colonialité dans l’art et la culture. Faire exister un monde noir à Bruxelles ». Hicham Khalidi est actuellement le directeur de la Jan Van Eyck Académie à Maastricht. Il était curateur associé à Lafayette Anticipations (Fondation d’entreprise Galeries Lafayette) à Paris et a participé à la commande d’œuvres aussi bien dans le domaine des beaux-arts, du design et de la mode. Il sera curateur du Pavillon hollandais de la Biennale de Venise 2024 et travaillera avec Renzo Martens et le Cercle d’Art des Travailleurs de Plantation Congolaise. Anne Wetsi Mpoma est une activiste et une chercheuse artistique et culturelle sur la scène bruxelloise. Elle s’intéresse aux stratégies de résistance déployées pour une société plus cohérente en termes de justice sociale, raciale et environnementale dans le monde. Elle a fondé la Wetsi Art Gallery, un espace indépendant rendant visible le travail d’artistes marginalisés en raison de leur « race », genre, orientation sexuelle, origine ethnique et/ou « handicap ». Mehdi-Georges Lahlou (né aux Sables d’Olonne, France, en 1983) est Français et Marocain. Il vit et travaille à Bruxelles, Paris et Casablanca. Artiste multidisciplinaire, il pratique ainsi aussi bien l’installation que la performance, la sculpture, la photographie, la vidéo ou le dessin etc. L’artiste poursuit à la CENTRALE son exploration de la représentation de la violence et de ses conséquences sur la géopolitique actuelle, en puisant aussi bien dans les archives de guerre et l’histoire ancestrale, que dans ses propres expériences, intimes ou fictives. Candice Breitz (née à Johannesburg, Afrique du Sud, en 1972) est basée à Berlin. Ses installations vidéo ont été présentées dans le monde entier. Née et élevée en Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid, Candice Breitz se confronte dans son travail à la question de la blanchité, depuis ses premières séries photographiques comme Ghost Series (1994), jusqu’à ses installations ultérieures comme Extra (2011) et TLDR (2017). Son installation vidéo la plus récente, Whiteface, représente son coup de poignard le plus direct à l’auto-ethnographie. Ph : Hugard & Vanoverschelde
    Lieu
    CENTRALE for contemporary art
    Place Sainte-Catherine, 44
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 279 64 44
    Réservation : +32 2 279 64 57
    info@centrale.brussels
    http://www.centrale.brussels