Evénements du 26 avril 2022

  • Les cabots magnifiques

    22.04.2022  >  30.04.2022

    • Théâtre

    Lire la suite

    Trois acteurs, plus cabotins les uns que les autres, se retrouvent pensionnaires d’une maison de retraite. Pour notre plus grand plaisir, ils se détestent et ne manquent pas de s’envoyer des vacheries à la figure. Sous l’impulsion d’une animatrice passionnée de théâtre, ils vont mettre leurs talents en commun pour tenter de sortir une comédienne du silence dans lequel elle est plongée depuis des années.
    Lieu
    Centre Culturel Bruegel
    Rue des Renards, 1 F
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 503 42 68
    Réservation : +32 2 503 42 68
    info@ccbruegel.be
    http://www.ccbruegel.be
  • Malus

    22.04.2022  >  10.02.2024

    • Spectacle
    Malus est un mot latin qui signifie « mal », « mauvais » et fait référence à l’obscurité des choses qui restent toujours dissimulées sous la surface. Pour le spectacle Malus, le chorégraphe Igor Shyshko travaille avec le compositeur Alain Franco en vue de créer un réseau de liens. Le corps semble se débattre, se replier sur soi, tenter d’avoir prise sur le temps qui s’écoule, dans un mouvement circulaire, lent mais constant.

    Lire la suite

    Le yogi et le danseur Pour ce spectacle, Shyshko s’inspire de ses expériences de yogi. Une pratique qu’il définit lui-même comme un voyage intérieur d’introspection et de lien, contrairement au corps du performeur qui est extraverti et dirige son énergie vers le public, en fonction des intentions du créateur. Porter à la scène l’intensité sereine du corps du yogi consiste en une tentative de rompre la logique de voir et être vu. Le corps se débat pour rester vide, travaille, tremble, répète. Dans l’espace entre la musique et les corps, le chanteur et le danseur, la lumière et la sculpture, il recrée sa propre « réalité onirique ». Danser dans l’obscurité À une époque où nous faisons quotidiennement face à l’incertitude, nous nous sommes familiarisés avec la soif fébrile de notre esprit de projeter des modèles sur le quotidien. Des visions qui confirment tout ce que nous pensons déjà savoir sur notre sort et nos avoirs.  Malus révèle l’absurdité de créer et de recréer des « réalités » à partir d’idées divergentes. La pomme de Malus est surtout une référence au désir ardent d’être maître de notre destin. Une chute qui a commencé par notre soif de savoir, l’exigence de mieux nous connaître nous- mêmes, notre corps et le monde qui nous entoure. La pomme, qui a aussi bien enclenché les Lumières que l’érotisme. La quête spirituelle s’est transformée en spectacle dès que s’est manifestée la nécessité de clarté. Dans ce processus, nous nous sommes trouvés et en même temps aliénés de notre environnement. Une tentative de nous reconnecter avec nous-mêmes Dans Malus, nous assistons aux tentatives du corps humain à retrouver le lien avec lui-même et à maîtriser le temps et les circonstances. Malus n’est pas tant un commentaire qu’une méditation sur notre époque. Un laps de temps, une invitation à faire le bilan de ce dont nous sommes constitué·es. Ce que nous souhaitons voir lorsque nous regardons ce qui est devant nous.
    Lieu
    KVS
    Quai aux Pierres de Taille, 7
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 11 12
    Réservation : +32 2 210 11 12
    info@kvs.be
    http://www.kvs.be
  • Thomas Boivin - ’Belleville’

    23.04.2022  >  26.06.2022

    • Exposition
    Black and white analogue documentary photography

    Lire la suite

    Les photographies de Thomas Boivin à Belleville, Paris, montrent la ville à l’état organique, désordonnée. Ces images sont délibérément dépourvues des marqueurs habituels de la ville planifiée par Hausmann mais elles n'en sont pas moins belles, parfois romantiques. Belleville est issue de l'expérience vécue de Thomas Boivin, photographiant des lieux et des personnes proches de chez lui, fixant les limites du projet au quartier qu’il pouvait parcourir lentement en une journée. Belleville reflète le passage du temps, des saisons, le mouvement de l'œil du sol à l'arbre, d’une clôture à un visage. Boivin reste dans les espaces ouverts, en documentant les limites - clôtures, trottoirs, vitrines à rideaux à travers lesquelles nous ne pouvons pas voir. Il capture des moments privés dans des espaces publics, ses sujets savent qu'il est là et sont complices et confortables même s’il reste toujours une distance. Les images collectées dansent sur une ligne fine, suffisamment proche pour émouvoir, tout en évitant l'intrusion. Place de la République est un travail en cours, montré publiquement pour la première fois à la Fondation A. Contrairement à Belleville, ces portraits de la jeunesse parisienne sont pris à partir d'une position fixe, Boivin revenant encore et encore sur la même place, à une courte distance de son domicile, avec un appareil photo monté sur trépied. Comme à Belleville, ses sujets sont clairement au courant de la présence du photographe. Prises ensemble comme série, ces oeuvres soulignent l'échange entre le sujet et l'artiste et la profondeur de ce geste simple : témoigner de l’existence d’une personne en demandant de faire son portrait. Les deux projets tiennent légèrement à distance la nostalgie et la mélancolie profonde de Paris. Au contraire, en enracinant sa pratique dans son propre quartier, les images de Thomas Boivin expriment plutôt une curiosité pour son environnement immédiat, un désir d'une forme d'intimité dans l'espace public et, surtout, un souci des autres. Tristan Lund, commissaire de l’exposition.
    Lieu
    Fondation A Stichting
    Avenue Van Volxem, 304
    1190 Forest
    Tél : +32 2 502 38 78
    info@fondationastichting.be
    http://www.fondationastichting.be
  • Dark Red — Beyeler / RPS - Anne Teresa De Keersmaeker/Rosas

    23.04.2022  >  08.05.2022

    • Exposition
    Que se passe-t-il quand la chorégraphie se fait exposition ? En 2021, De Keersmaeker a été invitée par la Fondation Beyeler à créer Dark Red—Beyeler, une  installation « live » qui confronte le corps dansant à l’univers sculptural d’Auguste Rodin et de Hans Arp.

    Lire la suite

    En 2021, De Keersmaeker a été invitée par la Fondation Beyeler à créer Dark Red—Beyeler, un projet qui confronte le corps dansant à l’univers sculptural d’Auguste Rodin et de Hans Arp. Dans cette installation « live » de longue durée, les danseurs donnent vie aux sculptures. Sur le fil entre abstraction et représentation, ils créent des liens cinétiques entre des œuvres statiques. De temps à autre, un danseur joue les guides en faisant part de ses réflexions sur les sculpteurs et leurs œuvres. Que se passe-t-il quand la chorégraphie se fait exposition ? Comment l’architecture des musées s’adapte-t-elle à celle des corps ? Quels dialogues peuvent émerger de la rencontre entre la danse et les arts plastiques ? Ces questions ont été un point de départ dans le travail d'Anne Teresa De Keersmaeker depuis la fameuse exposition Work/Travail/Arbeid au Wiels en 2015 et, plus récemment, dans le cadre du projet de recherche actuel Dark Red. Aujourd’hui, avec Dark Red—Beyeler/RPS, cette performance est présentée dans les locaux de Rosas, là où les travaux de recherche pour cette création ont vu le jour. Dans Dark Red—Beyeler/RPS, le processus ci-dessus est inversé : au lieu de transposer la salle de danse dans un musée, cette fois, c’est une chorégraphie spécifiquement conçue pour un musée qui s’invite dans une salle de spectacle. Comment évolue-elle dans cet espace ? Quelles traces reste-t-il des sculptures qui l’ont inspirée ? Comment l’incarnation de l’abstraction s’exprime-t-elle en ce lieu ?
    Lieu
    Rosas
    Avenue Van Volxem, 164
    1190 Forest
    Tél : +32 2 344 55 98
    mail@rosas.be
    http://www.rosas.be
  • Orphelins

    26.04.2022  >  30.04.2022

    • Théâtre
    Orphelins est aussi bien ficelé qu’un thriller psychologique, un polar haletant ou une comédie noire. Dennis Kelly nous tient sous tension du début à la fin en nous montrant comment la violence la plus crue peut brusquement faire irruption dans une cellule familiale et l’embraser jusqu’au point de non-retour.

    Lire la suite

    Hélène habite avec son compagnon Danny. Un soir, son frère Liam arrive sans prévenir chez eux. Il est couvert de sang. En état de choc, il parle confusément d’un « accident » et « d’un jeune gars blessé » qu’il aurait pris dans ses bras. Alors que Danny et Hélène cherchent à en savoir plus, la vérité se tord dans les propos de Liam, sa parole devient de plus en plus ambigüe. Des tensions naissent alors au cœur de la maison, dévoilant progressivement la part d’obscurité de chacun des trois personnages.
    Lieu
    Petit Varia
    Rue Gray, 154
    1050 Ixelles
    http://www.rideaudebruxelles.be/14-lieux/55-petit-varia
  • Appellation sauvage controlée

    26.04.2022  >  30.04.2022

    • Théâtre
    Appellation sauvage contrôlée est une création théâtrale documentaire à partir de l’expérience fondamentale de déplacement vécue par l’artiste Hélène Collin pendant les mois qu’elle a passés dans le quotidien d’une réserve autochtone au Canada.

    Lire la suite

    Appellation sauvage contrôlée est une création théâtrale documentaire à partir de l’expérience fondamentale de déplacement vécue par l’artiste Hélène Collin pendant les mois qu’elle a passés dans le quotidien d’une réserve autochtone au Canada. Un spectacle qui met en évidence les questions de décolonisation, de génocide, du rapport au temps, à la parole, aux histoires, au territoire, à la vie et à la mort dans une dimension respectueuse qui cherche la juste place puisqu’Hélène Collin ne s’approprie pas une parole ou une culture mais tente de s’en faire le relais. C’est en 2011 que j’ai fait ma première rencontre avec le territoire de Wemotaci, une des trois réserves de la Nation Atikamekw. Un voyage initial bouleversant. Au fil des années, j’ai rencontré d’autres territoires et d'autres Nations comme la Nation Innu ou Kanienkehaka. Wemotaci a toujours agi comme un aimant. Mon désir est de pouvoir immerger le spectateur dans ce territoire du bout du monde restitué par le travail du son, de la vidéo et des histoires. Avec mon spectacle, je mets l’oralité et le temps présent du théâtre au centre du projet. Mes archives seront réactivées pour que la dimension de la parole vivante, des corps en présence et de la contagion des histoires soient au cœur de la réception du spectacle. (Hélène COLLIN) Une création d’Hélène Collin. Avec entre autres les paroles et présences de Jacques Newashish, Marcel Petiquay, Yvette Niquay, Christiane Birothé, Pierrette Blacksmith... Mais aussi de Stuart Myiow, Représentant de la maison longue up-the-hill de Kahnawake. Interprétation : Hélène Collin I Dramaturgie : Jacques Newashish I Mise en scène : Valérie Cordy I Assistant à la mise en scène : Dario Bruno I Scénographie : Matthieu Delcourt I Création lumière : Florentin Nico Crouzet, Perrine Vanderhaegen I Création sonore : Marc Doutrepont I Création vidéo : Jeanne Cousseau, Sebastien de Buyl I Régie son et vidéo : Nicolas Stroïnovsky I Régie lumière : Gauthier Minne I Régie plateau : Stanislas Drouart I Conseillère artistique : Françoise Berlanger I Collaboration avec les Esprits de la Nature Laurence Renard - Merci aux personnes qui ont accompagné le projet pendant une phase ou l'autre de sa gestation. Une création de la Compagnie Niska. Production Le Rideau de Bruxelles, Espace Magh, Compagnie Gazon-Nève, La Fabrique de Théâtre, COOP asbl. Avec le soutien du Delta (Province de Namur), de la Chaufferie Acte1, des Abattoirs de Bomel, de AdLib, de Shelterprod, Taxshelter.be, ING et du Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge.
    Lieu
    Centre culturel Espace Magh asbl
    Rue du Poinçon, 17
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 274 05 10
    info@espacemagh.be
    http://www.espacemagh.be
  • Le Décaméron 20.20

    26.04.2022  >  07.05.2022

    • Théâtre
    La seule chose qui soit vraie dans les histoires c'est pourquoi on les raconte.

    Lire la suite

    Et si raconter des histoires était aussi se raconter soi-même ? Et si la fiction et l'imaginaire pouvaient soigner nos maux et réparer le monde ? Et si la force des récits était essentielle à nos émotions, à nos désirs, à nos horizons ? Le Décaméron, œuvre gigantesque et généreuse, ne cesse de faire écho dans nos mémoires au plus près de notre Histoire. Boccacio y dénonce l’aliénation au religieux, la perversion du pouvoir et y revendique la liberté du désir et le droit à la jouissance terrestre. L’Infini Théâtre, toujours au plus près des êtres, choisit de livrer avec jubilation ces contes d’hier comme s’ils survenaient aujourd’hui. Ce théâtre authentique, avoue son besoin de recréer du lien et de nous emporter au cœur de nous-mêmes par une mise en jeu moderne, sans artifice qui proclame le courage des idées et l’urgence de partager la culture ! Au milieu du XIVe siècle, témoin d’une époque ravagée par la peste, le jeune florentin composait cent fables inspirées de la culture populaire, réunies dans « Le livre des dix journées » : Le Décaméron. De jeunes gens cherchent à fuir la peste, s’en « protéger » symboliquement et à se divertir du chagrin. Ils vont refaire le monde à leur façon : ils mangent, boivent, dansent, chantent et surtout se racontent des histoires. A l’ombre d'une nouvelle organisation de vie, chacun s’adonnera successivement au plaisir de conter pour retrouver le sens de l’existence. Cette œuvre généreuse et humaniste s’impose plus que jamais dans notre actualité comme une ode à la joie, au désir, à la vie et à la conscience. Le Décaméron 20.20 se compose de 10 nouvelles séparées en 2 parties. Le spectacle se présente en alternance du mardi au vendredi et dans une version plus festive les samedis.  Forces sont Reines sera jouée 26 et 28/04 et les 3 et 5/05 à 20h15  Une confession Coupe et cœur La cour et la tour La danse du coffre Avec Laurent Capelluto, Alexia Depicker, Elfée Dursen, Stéphane Fenocchi, Vincent Huertas, Georges Siatidis, et Laure Voglaire Désirs sont Rois sera jouée les 27, 29/04 et 4 et 6/05 à 20h15  Le pot de Basilic Nathan Les mille et une nuits d'Alatiel Le palefrenier  Avec Laurent Capelluto, Alexia Depicker, Elfée Dursen, Camille Léonard, Georges Siatidis, et Laure Voglaire Tarifs : 18€ prix plein 9€ tarif réduit pour les étudiants et demandeurs d’emploi Pour une expérience immersive dans la Toscane de Boccacio, les samedis 30/04 et 7/05, les 2 Parties Forces sont reines et Désirs sont rois seront jouées consécutivement à partir de 18h30 entrecoupée d’un repas gourmand. Avec : Laurent Capelluto, Alexia Depicker, Elfée Dursen, Stéphane Fenocchi, Vincent Huertas, Camille Léonard, Georges Siatidis, et Laure Voglaire Tarifs :   45 € prix plein repas compris 32 € tarif réduit pour les étudiants et demandeurs d'emploi
    Lieu
    Studio THOR
    Rue Saint-Josse, 49
    1210 Saint-Josse-Ten-Noode
    https://www.thor.be/fr/studio-residences/
  • Jean-Paul Estiévenart, Marcel Ponseele & Il Gardellino feat. Anthony Romaniuk

    26.04.2022

    • Concert
    Que se passe-t-il lorsque trois musiciens brillants issus de mondes différents se tendent la main pour proposer ensemble un tryptique musical unique autour de la musique de Johann Sebastian Bach ?

    Lire la suite

    Que se passe-t-il lorsque trois musiciens brillants issus de mondes différents se tendent la main pour proposer ensemble un triptyque musical unique autour de la musique de Johann Sebastian Bach? Les chefs d’oeuvre du compositeur baroque ont inspiré à notre artiste en résidence, Jean Paul Estievenart, à l’hoboïste Marcel Ponseele et au claveciniste Anthony Romaniuk un projet où la musique de Bach alterne avec des interprétations personnelles et des improvisations. Et comme il s’agit d’un triptyque, il se compose de trois parties: “Misère”, “Transition” et “Transfiguration”. Bach les regarde de loin, avec tendresse. Le nombre 3 ne symbolise-t-il pas la trinité divine? Flagey Deux mondes si différents, baroque et jazz, se rencontrent et constatent qu’il ne s’agit plus de quel genre ils jouent. En touchant les cœurs des auditeurs, ils comprennent que la Musique est une Langue Universelle qui peut tout transcender. Marcel Ponseele Au coeur même de la formule traditionnelle du quintet acoustique, il arrive à transformer ses pures mélodies en morceaux d’improvisation contemporaine., éclatant dans toutes les directions. Le résultat séduira tout autant les fans de jazz des années 50 et 60 que les amateurs de musique mélodique. Vers l’Avenir Il sait comment tracer l’intersection entre jazz passé et present d’une manière purement acoustique. Jazzenzo Estievenart, qui écrit toute la musique, laisse un large espace aux membres de son groupe. Mais à la fin, c’est lui qui fait la plus grande impression. Un trompettiste subtil, aux compositions robustes. De Standaard Ceux qui pensent qu’il n’est question que d’harmonie et de mélodie seront déçus. L’improvisation joue un rôle central dans la musique de cet incroyable trompettiste belge. Jazz Nu € 26 > € 21
    Lieu
    Flagey
    Place Sainte-Croix
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 641 10 10
    Réservation : +32 2 641 10 10
    info@flagey.be
    http://www.flagey.be
  • De Vloed / De Vlucht

    26.04.2022  >  27.04.2022

    • Théâtre
    En 2017, la femme de théâtre Clara van den Broek a effectué une tournée à travers la Flandre et s’est produite à Avignon avec le spectacle De Vloed [Le Raz-de-marée]. Trois ans plus tard, l’auteur Paul Verrept lui a écrit une suite : De Vlucht [La Fuite].

    Lire la suite

    De Vloed racontait l’histoire d’une femme. Dans De Vlucht, la parole est donnée à un homme. Ensemble, ils brossent le tableau d’une relation, mise à mal par l’actualité. De Vloed / De Vlucht est un portrait subtil d’une relation abîmée dans un monde en pleine mutation. Deux récits à part qui sont en même temps les maillons d’une histoire plus vaste et plus globale. Rien n’est jamais définitivement raconté, tout dépend de la perspective à partir de laquelle on regarde les choses.
    Lieu
    KVS
    Quai aux Pierres de Taille, 7
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 11 12
    Réservation : +32 2 210 11 12
    info@kvs.be
    http://www.kvs.be
  • À ce qui manque - Chloé Winkel

    26.04.2022  >  07.05.2022

    • Théâtre
    Entremêlant passé, présent et futur, réalité et fantasmes, faisant dialoguer les êtres et les choses, Chloé Winkel tente de dire la peur frénétique de l’oubli, de la solitude face à l’inéluctable et de l’enfermement.

    Lire la suite

    La pièce prend racine dans une histoire à la fois personnelle et universelle : la perte d’une grand-mère, comme première rencontre avec la mort, opérant une forme de rituel de passage à l’âge adulte. Une famille, ce tout incommensurable, se voit amputée d’un élément fédérateur, laissant la porte ouverte à l’intrusion d’un élément perturbateur et révélateur de nos peurs les plus secrètes. Comment faire face au manque, à la perte ? Partant du constat que l’individu se construit en tant que sujet d’émotions dans une communauté donnée, ici la famille : que se passe-t-il lorsque la communauté bannit ce que l’on pourrait appeler sa « fragilité » ? Quels mécanismes développe-t-on pour faire face à ses émotions, les exprimer ou au contraire les passer sous silence ? Entremêlant passé, présent et futur, réalité et fantasmes, faisant dialoguer les êtres et les choses, Chloé Winkel tente de dire la peur frénétique de l’oubli, de la solitude face à l’inéluctable et de l’enfermement. Elle témoigne ici de son besoin de raconter et de transcender une histoire intime au plateau.
    Lieu
    Théâtre Océan Nord
    Rue Vandeweyer, 63 65
    1030 Schaerbeek
    Tél : +32 2 242 96 89
    Réservation : +32 2 216 75 55
    info@oceannord.org
    http://www.oceannord.org