Evénements du 11 décembre 2025

  • Anderlecht-sur-senne

    22.06.2025  >  14.12.2025

    • Visites Guidées

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    Aux confins d’Anderlecht, du boulevard industriel à la chaussée de Mons, l’ARAU vous emmène gamberger le long de la Senne, franchir une écluse, arpenter une cité-jardin historique (et une école Art Déco !), ou encore explorer des potagers collectifs… L’occasion de s’interroger du devenir de ces zones d’entre-deux : lieux de relégation de fonctions et de typologies urbaines pas toujours assumées ailleurs, elles offrent également d’importantes réserves foncières et sont, à ce titre, l’objet de toutes les convoitises.
    Lieu
    ARAU - Atelier de Recherche et d'Action Urbaines
    Rue du Midi, 165
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 219 33 45
    info@arau.org
    http://www.arau.org
  • Bruxelles, la Congolaise

    05.09.2025  >  13.12.2025

    • Expositions
    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique.

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    L’expo « Bruxelles, la Congolaise » au MMM (MigratieMuseumMigration), à partir du 5 septembre jusqu’au 13 décembre, est une exposition sur la présence congolaise à Bruxelles, avec des photos d’archives, des photos personnelles, des tableaux, des récits de vie et de la musique. Cette expo donne une fresque de cette présence, dont les parcours migratoires si différents ne sont pas comme ceux des autres communautés vivant à Bruxelles. Une initiative du MigratieMuseumMigration en collaboration avec Bakushinta asbl. Vernissage : vendredi 5 septembre à 17h00 Réservations : res.museum@foyer.be
    Lieu
    MigratieMuseumMigration
    rue des ateliers, 17
    1080 Molenbeek-Saint-Jean
    Tél : +32 2 609 55 61
    museum@foyer.be
    http://www.migratiemuseummigration.be
  • German Tuners from the ’80s and the ’90s

    05.09.2025  >  14.12.2025

    • Expositions
    Dans les années 80, des préparateurs allemands comme Koenig, Mattig et Brabus ont créé des voitures larges, colorées et extravagantes, prisées par les excentriques fortunés. Autoworld leur rend hommage avec une expo (5/9–14/12) présentant 15 icônes, dont la Quattro Roadster de Treser, la Manta Manta de Mattig et la Rainbow Porsche de Buchmann.

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    Les voitures n'étaient guère passionnantes dans les années 80. Peut-être la situation politique mondiale était-elle si tendue que les constructeurs automobiles préféraient jouer la carte de la sécurité. Sauf dans certaines régions reculées d'Allemagne. Alors que les grandes marques remplissaient leurs showrooms de voitures solides mais assez ennuyeuses, une vingtaine de préparateurs se sont déchaînés avec des turbos puissants, des jantes énormes, des kilos de polyester profilé, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, des portes capables de surpasser celles des aigles, des installations hi-fi capables de faire trembler Rock Werchter et des spoilers qui chatouillaient les nuages. Tout était possible et beaucoup trop n'était pas encore assez. Néanmoins, ce mouvement a touché la corde sensible des cheikhs fortunés et des Allemands aux coiffures douteuses et à l'étrange penchant pour les queues de renard. Du moins pendant un certain temps : au milieu des années 90, la chanson spectaculaire de la plupart des préparateurs était déjà terminée. Les voitures comme phénomène de mode éphémère : c'était du jamais vu. Depuis lors, ces préparateurs allemands, à l'exception d'AMG, Ruf et Alpina, ont été mis au ban de la société et ont même été gentiment ridiculisés par les connaisseurs automobiles. Aujourd'hui, cependant, de plus en plus d'amateurs reconnaissent la valeur technologique et culturelle des créations les plus folles de Koenig Specials, Mattig, Irmscher, Strosek, Gemballa, Brabus, Treser et tant d'autres. Autoworld est le premier musée automobile européen à célébrer ce regain d'intérêt pour les préparateurs allemands avec une exposition thématique. Du 5 septembre au 14 décembre, nous présenterons une quinzaine des plus belles voitures de cette période déjantée. Une Audi Quattro vaut toujours le détour, mais une Quattro Roadster avec toit ouvrant automatique de Treser est aussi rare qu'ingénieuse. La légende du tennis Yannick Noah en possédait une. Peut-on faire plus glamour ? L'icône ultime de la culture du tuning : la Manta Manta de Mattig. D'une largeur presque ridicule, plus colorée que les Dolly Dots et plus extravagante que Borat, mais tellement emblématique qu'elle a joué un rôle principal dans deux longs métrages. Peut-on faire plus extravagant ? Tout aussi colorée et emblématique, mais très chic : la Rainbow Porsche 911 Turbo Targa de Buchmann & Buchmann. Elle aussi a joué un rôle principal dans un long métrage : Carnapping. Peut-on faire plus élégant ?
    Lieu
    Autoworld
    Parc du Cinquantenaire, 11
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 736 41 65
    Réservation : +32 2 736 41 65
    info@autoworld.be
    http://www.autoworld.be
  • Essais Libres

    23.09.2025  >  16.12.2025

    • Théâtre

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    Hugo Simon, le premier journaliste à admettre qu’il raconte des blagues. « Contrairement à ce que l’affiche pourrait laisser croire, ce spectacle ne traite pas de gros moteurs et de vitesse, mais c’est juste pour contraster avec le flegme de celui qui tient le micro ». En plein rodage, le jeune humoriste originaire de la mégalopole de Bastogne, et désormais chroniqueur pour La Tribune, vous invite donc à sa séance d’Essais Libres : une heure de vannes sans le moindre détour pour façonner son tout premier spectacle.
    Lieu
    Le Petit Chapeau Rond Rouge
    Rue Père Eudore Devroye, 12
    1040 Etterbeek
    Tél : +32 498 51 35 63
    Réservation : +32 498 51 35 63
    info@lepetitchapeaurondrouge.be
    http://www.lepetitchapeaurondrouge.be
  • Post Mortem

    03.12.2025  >  13.12.2025

    • Théâtre
    Les morts s’adressent-ils à nous ? Si oui, comment ? Dans la difficulté de faire son deuil, Jasmina Douieb part à la rencontre d’autrui et imagine un spectacle sensible et drôle sur la perte. Une pièce qui croise les voix d’inconnu·es et récolte leurs astuces pour vivre avec l’absence.

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    Au décès de sa mère, Jasmina Douieb s’est sentie démunie : pas de signes à déceler dans l’invisible, pas de rêves dans lesquels elle lui apparaîtrait. Contrairement à d’autres qui ont des récits à raconter dans lesquels leurs morts leur parlent, elle, elle cherche sa mère en vain. L’actrice et metteure en scène a donc mené l’enquête, elle est partie à la rencontre de ceux et celles qui sont parvenu·es à tisser ou préserver un lien au-delà de la mort. Dans une démarche aussi cathartique que fédératrice, la comédienne, privée de mots face au deuil, donne voix à d’autres. Charly Kleinermann et Thibaut De Coster imaginent une scénographie d’objets, de meubles et souvenirs empilés qui seraient autant de ressorts à récits : Jasmina Douieb s’entoure d’histoires glanées, fictionnalisées ou non, qu’elle nous partage et lie entre elles. Autant de confidences qui créent un terrain collectif où un autre rapport à la mort se dessine. Cet espace se prolonge au-delà du plateau, dans la « cabine post-mortem » où le public est invité à déposer sur des bouts de papiers ensemencés ses réflexions, discussions interrompues avec les défunt·es et autres hommages qui seront récoltés dans une boîte aux lettres avant d’être plantés. C’est la seconde fois que le Varia accueillera la création de l’artiste partenaire Jasmina Douieb. La compagnie Entre Chiens et Loups fête ses vingt ans cette année, la coïncidence des calendriers est peut-être ce clin d’œil attendu à l’origine : une célébration conjointe des mort·es et du vivant.
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be
  • When I Saw the Sea

    09.12.2025  >  11.12.2025

    • Théâtre
    "When I saw the Sea" donne voix aux innombrables travailleuses domestiques migrantes au Liban. Naviguant entre l’exploitation et la liberté, la mort et la célébration provocante de la vie, trois femmes chantent sans crainte, avec leurs corps, une berceuse faite de feu, d’amour et de justice.

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    Le 27 septembre 2024, au milieu d’un conflit dévastateur, les travailleuses domestiques migrantes au Liban, déjà vulnérabilisées par les récentes crises, ont été laissées pour compte par leurs employeur·ses fuyant le pays. Sans passeport ni effets personnels, totalement délaissées par l’État libanais et exposées aux bombardements, elles ont lutté pour trouver un abri. Contraintes de chercher refuge au bord de la mer à Beyrouth, elles ont alors aperçu la mer pour la première fois, cet horizon infini de liberté. Ali Chahrour dévoile les cauchemars du système de Kafala. Cette sorte de « parrainage » permet aux particuliers et aux entreprises au Moyen-Orient de contrôler presque entièrement l’emploi et le statut migratoire des travailleur·ses étranger·es, venu·es d’Afrique ou d’Asie. En place depuis des décennies, ce mécanisme est très controversé en raison de l’exploitation systématique, des salaires dérisoires, des conditions de travail déplorables et des abus, notamment la discrimination raciale et la violence sexuelle. Il se rapproche à s’y méprendre de l’esclavage moderne. Au fil des années, des centaines de travailleuses domestiques migrantes sont mortes. Pourtant, certaines femmes ont survécu, ont choisi de rester au Liban et, malgré leur statut juridique précaire, sont devenues militantes. À travers un puissant voyage théâtral et musical d’une énergie organique et cinétique, When I saw the Sea réunit trois femmes militantes. Le spectacle explore les luttes, la résistance et célèbre le courage et l’héroïsme des travailleuses migrantes au Liban. Accompagnées par la musique de Abed Kobeissy et du chant de Lynn Adib, ces trois femmes résilientes partagent leurs expériences par le mouvement et la voix, exposent les injustices du système du travail et revendiquent le changement. Zena, Tenei et Rania occupent la scène, dansant non seulement leurs propres histoires, mais aussi celles de nombreuses autres, situées à l’intersection d’une terre en feu et de la mer Méditerranée.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • I’ll be there for you (for me)

    09.12.2025  >  13.12.2025

    • Théâtre
    I’ll be there for you (for me) est une performance de danse qui mêle les médiums et les disciplines, dans laquelle le besoin de collectivité se heurte à la culture individualiste occidentale. Expérience captivante d’un système qui phagocyte et de tentatives de dissidence qui s’y faufilent – en douce.

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    Comment résister à la pression de la réussite individuelle, dans un monde capitaliste ? Que faire, si – malgré les torts qu’ils peuvent nous causer – les modèles de succès, de reconnaissance, de dépassement de soi continuent à nous apparaître comme étant les uniques possibles ? Comment élargir nos horizons, à l’intérieur même de nos contradictions ? Empruntant à la danse et aux mots, I’ll be there for you (for me) joue avec les codes du système ambiant, les explore pour y tracer de nouvelles échappées. Des performeur·x·euses issu·x·es de différentes disciplines – hip-hop, break, théâtre, sabar et danse contemporaine – expérimentent d’autres présences au monde, faisant l’audacieux pari de la malice, du soin et de la complicité – comme indispensables moyens de subversion.    Dans la continuité de son spectacle Free dance escape – qui interrogeait la notion de connexion (réelle et virtuelle) à partir d’une vidéo virale TikTok – Lorena Spindler poursuit sa recherche autour de la culture relationnelle occidentale depuis une position dominante et dominée. Dans un espace chorégraphique ludique, les interprètes éprouvent des relationnalités solidaires, axées sur l’écoute et la joie. I·Els nous invitent au plus près de leur humanité, dans leurs essais d’empathie – parfois ratés –, leurs moments de brillance, leurs conflits ego tripés et leurs aveux de vulnérabilité.     Lorena Spindler est une artiste hybride de la scène bruxelloise, trouvant ses inspirations dans les phénomènes sociologiques actuels et dans le détournement de codes issus de la (contre-)culture pop et mainstream. I’ll be there for you (for me) créé et présenté à l’atelier 210 la saison passée prendra le grand plateau au Théâtre Varia lors de cette saison.
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be
  • Géométrie de vies • Michael Disanka Christiana Tabaro

    09.12.2025  >  13.12.2025

    • Théâtre
    Sur scène, un mur imaginaire se dresse, symbole des séparations et des cicatrices anciennes. Ces fenêtres s’ouvrent sur des souvenirs, des fragments d’histoires.

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    Toute la beauté du théâtre contemporain dans une fresque chantée, parlée et dansée.  Depuis 2016, Michael Disanka et Christiana Tabaro modèlent le matériau de leur mémoire commune et individuelle à travers le travail de leur collectif d’Art-d’Art. Inspiré·es par la vie dans leurs villes d’origine de Mbanza Ngungu et Bukavu jusqu’à Kinshasa, i·els ont collecté une matière faite d’histoires, de souvenirs et de musiques qui donnent à voir le Congo d’hier et d’aujourd’hui.  Géométrie de vies, poursuit ainsi le travail entamé avec Sept mouvements Congo. Dans cette belle proposition découverte au KVS il y a quelques années, Michael Disanka et Christiana Tabaro articulent une cartographie des épisodes marquants de l’histoire de la République Démocratique du Congo avec une approche documentaire et dramaturgique.  Sur scène, un mur imaginaire se dresse, symbole des séparations et des cicatrices anciennes. Ces fenêtres s’ouvrent sur des souvenirs, des fragments d’histoires. Quatre personnages incarnent le passé, le présent, le futur et l’état de transition. Combinant narration, musique et chant, la pièce puise dans les chroniques d’un pays fracturé, traversé par des drames, les blessures du colonialisme et les illusions perdues. Mais elle n’oublie pas de célébrer également la puissance de la joie partagée pour proposer de nouveaux imaginaires poétiques. Coprésentation KVS, Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Lieu
    Théâtre National Wallonie-Bruxelles
    Boulevard Emile Jacqmain, 111
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 203 53 03
    Réservation : +32 2 203 41 55
    info@theatrenational.be
    http://www.theatrenational.be
  • When I Saw the Sea

    09.12.2025  >  11.12.2025

    • Spectacle
    Le spectacle d'Ali Chahour ouvre la porte à des histoires inédites et plonge dans les cauchemars du système de la Kafala. Trois femmes, qui ont elles-mêmes réussi à échapper à la Kafala en tant qu'employées de maison, montent sur scène pour la première fois. Elles prêtent leur voix aux innombrables travailleur⸱euses domestiques étranger⸱ers au Liban qui sont souvent victimes de ce système de travail brutal. Entre l'exploitation et la liberté, la mort et la célébration rebelle de la vie, les femmes chantent une berceuse fervente, aimante et juste.Entre la mer et une ville en flammes, un chêne retient la terre, dans son ombre un renard danse, et une fille fixe - inébranlablement - l'horizon.

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    Au Liban, des centaines de travailleur⸱euses migrant⸱es ont perdu la vie au fil des ans, victimes de suicides, de violences domestiques et d'abus. Ces tragédies sont indéniablement liées à la discrimination raciale et au système de la Kafala, qui permet aux employeur⸱euses d'exercer un contrôle quasi total sur l'emploi et le statut migratoire des travailleur⸱euses migrant⸱es. Le manque flagrant de protection fait de ce système un terrain propice à l'esclavage moderne.Ces catastrophes sont encore plus visibles en période de crise, lorsque les plus marginalisé⸱es sont abandonné⸱es à leur sort dans les rues : sans abri, sans salaire et sans papiers d'identité. Comme par exemple le 27 septembre 2024, quand des employeur⸱euses ont abandonné d'innombrables travailleur⸱euses  domestiques dans un contexte de guerre dévastatrice. Alors que le ministère libanais de l'Éducation a ouvert des camps d'accueil pour les civil⸱es déplacé⸱es, les  travailleur⸱euses migrant⸱es  en ont été exclu⸱es. Nombre d'entre eux⸱elles ont donc été contraint⸱es de fuir vers la côte de Beyrouth. Là, iels ont découvert pour la première fois un « horizon infini de possibilités » : iels ont vu la mer pour la première fois.Ali Chahrour réunit trois femmes qui ont elles-mêmes été victimes du système de la Kafala mais qui ont réussi à s'en échapper. En montant sur scène pour la première fois, elles donnent la parole à leur communauté de travailleuses domestiques issues de l'immigration au Liban. Dans un voyage à travers la musique, la danse et le théâtre, elles explorent les thèmes de la résilience, de l'héroïsme, de l'injustice et de la résistance à un système oppressif et au racisme généralisé à Beyrouth. Accompagnées par la musique d'Abed Kobeissy et de la chanteuse Lynn Adib, Zena, Tenei et Rania entrent sur une scène presque nue, à l'intersection d'un pays en flammes et de la mer Méditerranée. À travers leur performance organique et énergique, elles dansent non seulement leurs propres histoires, mais aussi celles de beaucoup d'autres. • Né à Beyrouth, le chorégraphe et danseur Ali Chahrour tisse un langage gestuel, libéré des codes occidentaux, qui fait écho à l'âme de sa culture, façonnée par les complexités de la politique, de la foi et de l'histoire. Il met en regard des séries où les œuvres se font écho et tissent un dialogue intime entre elles. Après avoir exploré le thème de la Mort, il a entrepris une série de performances consacrées à l'Amour avec Night (2019), Du temps où ma Mère racontait (2021), The Love Behind My Eyes - qui a remporté le prix du mécénat ZKB au Zurich Theater Spektakel 2022 - et Iza Hawa (2023). Alliant poésie lyrique, mouvement et émotion brute, créant une tapisserie vivante des liens humains, Ali travaille aujourd’hui sur une nouvelle trilogie autour du thème de la Peur.
    Lieu
    Théâtre Les Tanneurs
    Rue des Tanneurs, 75
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 512 17 84
    Réservation : +32 2 512 17 84
    info@lestanneurs.be
    http://www.lestanneurs.be
  • Les arrière-mondes

    10.12.2025  >  12.12.2025

    • Théâtre

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    Échappées de la nuit des temps, des créatures ébouriffées plongent dans nos yeux comme dans un miroir sans fond. Ce sont les éternels rescapés de l’Histoire, des extravagants qui ont traversé les plaisirs et les jours, mais aussi les chaos, les guerres et les pestes. Ils apparaissent et disparaissent, partagés entre attirance et retenue, surgissements de scènes déjà vécues et de désirs soudain retrouvés. Les arrière-mondes jettent une lumière spectrale sur les moments de stupeur et d’incertitude qui accompagnent parfois les passions humaines, et où se révèle à notre insu l’énigme de notre présence.
    Lieu
    Théâtre des Martyrs
    Place des Martyrs, 22
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 223 32 08
    Réservation : +32 2 223 32 08
    billetterie@theatre-martyrs.be
    http://www.theatre-martyrs.be