Evénements du 25 mai 2024

  • Bangla Surf Girls

    25.05.2024

    • Cinéma
    Bangla Surf Girls est un documentaire immersif qui nous emmène au cœur d’un bidonville près de Cox’s Bazar au Bangladesh, où l’on assiste à la transformation de jeunes filles qui rejoignent un club de surf local et osent rêver de liberté et échapper à une vie de corvée et abus.

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    Au Bangladesh, les femmes n’ont pas leur liberté. Alors il faut l’arracher. Un groupe de jeunes surfeuses développe force, audace et discipline avec le soutien de leur coach bienveillant. Vont-elles réussir à continuer leur chemin d’émancipation radicale lorsque celui-ci repart aux Etats-Unis et les laisse seules face à leur famille et à la société ? La jeune cinéaste bangladaise Elizabeth D Costa s’est immergée dans la communauté pendant trois ans. Le résultat est une histoire authentique capturée et racontée sans filtres ni jugement. « Je ne suis peut-être qu’une enfant, mais je rêve grand. Quand je joue avec les vagues, j’oublie tout. Le surf, c’est… Je ne peux pas expliquer cette sensation. C’est complètement enivrant. Tous mes rêves sont liés au surf, mais aucun de ces rêves ne peuvent se réaliser s’il m’est interdit de surfer. —Shobe, participant au film, Bangla Surf Girls
    Lieu
    Le Senghor - Centre Culturel d’Etterbeek
    Chaussée de Wavre, 366
    1040 Etterbeek
    Tél : +32 2 230 31 40
    Réservation : +32 2 230 31 40
    info@senghor.be
    http://www.senghor.be
  • Baul Meets Saz

    25.05.2024

    • Concert
    Emre a appris de la musique de son père, Lütfü Gültekin. Son répertoire est centré sur les chants des aşık, les bardes d’Anatolie. Emre se présente comme un troubadour des temps modernes, muni de son saz. Sa musique de Turquie rencontre la chanteuse Malabika Brahma et le percussionniste Sanjay Khyapa, un duo qui perpétue la tradition de la musique des Bauls.

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    Emre a appris de la musique de son père, Lütfü Gültekin. Son répertoire est centré sur les chants des aşık, les bardes d’Anatolie. Emre se présente comme un troubadour des temps modernes, muni de son saz, le luth à manche long emblématique de la Turquie. Sa musique de Turquie rencontre la chanteuse Malabika Brahma et le percussionniste Sanjay Khyapa, un duo qui perpétue la tradition de la musique des Bauls. Inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO depuis plus de 15 ans, ces chants sont sans contexte une des nombreuses richesses du Bengale, cette région entre l’Inde et le Bangladesh. Ce chant populaire est à la croisée d’influences : du mouvement hindou bhakti ainsi que du shuphi, chargé de spiritualité. Ils sont pratiqués par une communauté d’artistes itinérants qui répond à sa propre philosophie et à sa propre spiritualité. Chez les Bauls, l’amour et la liberté sont des principes fondamentaux. “Je deviens Baul, qui n’a ni maître, ni ordre et je n’obéis à rien” Exceptionnellement, le groupe sera accompagné par le son mélancolique du duduk arménien de Vardan Hovanissian.
    Lieu
    Le Senghor - Centre Culturel d’Etterbeek
    Chaussée de Wavre, 366
    1040 Etterbeek
    Tél : +32 2 230 31 40
    Réservation : +32 2 230 31 40
    info@senghor.be
    http://www.senghor.be
  • Des cités sociales à Ixelles

    25.05.2024

    • Visites Guidées

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    Non loin du Cimetière d’Ixelles, aux confins de la commune, le quartier du Relais abrite plusieurs ensembles de logements sociaux remarquables qui témoignent de mouvements architecturaux successifs. D’abord la Cité Volta (1914-1925), en style médiéval anglicisant, seule cité-jardin de la commune, ainsi nommée du fait de sa proximité avec les bureaux de l’Ancienne Régie d’Electricité. Ensuite, l’imposante Cité Vandeuren (1928-1935), d’inspiration Art Déco, réalisée dans la foulée par le même architecte que la Cité Volta, Joseph Caluwaers. Enfin, d’autres immeubles sociaux fonctionnalistes d’après-guerre contrastent fortement avec les ensembles plus anciens, tandis que les derniers venus, rue Volta (1999), de style postmoderne, renouent avec un certain souci d’intégration. Cette visite vous invite à découvrir l’histoire de ces différents ensembles, ainsi que les vastes projets de rénovation qu’ils ont connus ces dernières années.
    Lieu
    devant l'ancienne centrale Volta,
    Rue Volta, 6a
    1050 Ixelles
    http://www.senghor.be
  • Art Nouveau, "Congo" Style

    25.05.2024

    • Visites Guidées

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    In 1897, Edmond van Eetvelde, the Secretary-General of the Congo Free State, made the astonishing decision to entrust four Art Nouveau architects with the design of the Congolese section of the Brussels Universal Exhibition at Tervuren. This choice was surprising because, at that time, Art Nouveau was a modern style most favoured by the new industrialist middle class and rather looked-down-on by the aristocracy and the King. However, Edmond van Eetvelde was motivated by two strategic reasons. First, the Universal Exhibition was a mass-market event that, through Art Nouveau, could be used to stoke public opinion in favour of colonialism. Second, he hoped it would charm the new Belgian industrialist middle class and encourage them to invest in the Belgian Congo Company. His gamble paid off because the Congolese section at the Tervuren exhibition was such a huge success that “Congo style” became a synonym for Art Nouveau. This guided tour takes this episode as the basis of an exploration, through public spaces, of how Art Nouveau was also used as a propaganda tool during the reign of King Leopold II. The tour begins in Square Ambiorix and travels past Edmond van Eetvelde’s house, designed by Victor Horta. This iconic building, as well as some other Art Nouveau masterpieces in the Squares district, will be used to demonstrate the historical and aesthetical links between Art Nouveau and colonialism. Tour departs at the corner of square Marie-Louise and rue Ortélius, 1000 Bruxelles Duration: 2 hours
    Lieu
    À l’angle du square Marie-Louise
    Rue Ortélius
    1000 Bruxelles
    http://www.senghor.be
  • Track

    25.05.2024  >  26.05.2024

    • Théâtre
    A capella et à dix doigts, un géant délicat veille sur son monde minuscule et crée la première symphonie vocale pour trains électriques.

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    Un wagon sous le bras, le comédien et human beatboxer Laurent Duprat entre en scène. Il dépose des petits trains à moteur sur le circuit et initie une chorégraphie ferroviaire et musicale. Avec sa bouche et sa voix, il leur fabrique des voyages, ouvre des espaces et des chemins sonores et laisse son empreinte vocale se déployer et flotter comme la fumée de ses locomotives. Explorant les nouvelles pistes technologiques du théâtre d’objets sonores et connectés, Track est une odyssée miniature extraordinaire. De et avec Laurent Duprat – L.O.S. Son et objets connectés : Thomas Sillard. Développement : Raphael Renaud – KINOKI. Lumière : Alizée Bordeau. Assistanat à la mise en scène : Adélaïde Poulard. Constructions : Daniel Péraud et Sophie Burgaud. Scénographie : Olivier Droux. Son : Margaux Robin. Mouvement : Thomas Guerry. Costumes : Stéfani Gicquiaud. Lumière : Alizée Bordeau ou Anaëlle Audhui. Son : Thomas Sillard, Margaux Robin ou Félix Mirabel. Circuit métal CAP chaudronnerie du Lycée Réaumur de Poitiers.
    Lieu
    Théâtre La montagne magique
    Rue du Marais, 57
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 15 90
    Réservation : +32 2 210 15 90
    info@montagnemagique.be
    http://www.theatremontagnemagique.be
  • Festival L’art et les tout-petits

    25.05.2024  >  12.06.2024

    • Théâtre
    23e édition du Festival L’art et les tout-petits à La montagne magique. Un champ infini d’émotions, d’éclosions, de rencontres, de découvertes, un florilège de sensations. 10 spectacles à découvrir!

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    L’art et les tout-petits, ça commence par un désir d’adultes : artistes, équipe de programmation et d’accueil, parents, accompagnants. Ensuite, il y a le temps du spectacle, la réunion du public dans une salle, et l’émergence d’étincelles individuelles, partagées et amplifiées par la présence des autres. Et enfin, il y a l’après, et les souvenirs qui creusent des sillons fertiles dans les vies en devenir. Musiques, lumières, voix, images, traces, textures, langages, couleurs, mouvements, regards, tissent des univers que chacun, chacune, traverse au gré de l’éveil de ses sens. Nous n’avons pas les mots, ni nous, ni les bébés, pour dire ce que nous vivons au théâtre, mais chacun, chacune de nous partage mystérieusement un entrelacs d’émotions, avec ses compagnons de voyage. Et en garde des fragments qui habiteront toujours nos corps et nos imaginaires.
    Lieu
    Théâtre La montagne magique
    Rue du Marais, 57
    1000 Bruxelles
    Tél : +32 2 210 15 90
    Réservation : +32 2 210 15 90
    info@montagnemagique.be
    http://www.theatremontagnemagique.be
  • Des villes qui ne nous quittent pas | soirée littéraire - focus Liban avec Haleh Chinikar, Valérie Cachard et Lamia Ziadé

    25.05.2024

    • Divers

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  • Allez ! On danse !

    25.05.2024  >  26.05.2024

    • Théâtre
    Alors que Monsieur pense passer une soirée calme en rentrant de son boulot, sa femme lui annonce qu’elle a deux nouvelles: une bonne et une mauvaise… Quiproquos, gaffes, mensonges et intrigues s’invitent lors de cette comédie vaudevillienne. Alors! Tentez! Venez rejoindre la troupe "Les Craqués de la Planche" pour un instant de rires !

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  • Fampitaha, fampita, fampitàna - Soa Ratsifandrihana|Kunstenfestivaldesarts

    25.05.2024  >  29.05.2024

    • Spectacle

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    Fampitaha, fampita, fampitàna, trois mots malgaches signifiant comparaison, transmission et rivalité. Dans une partition de gestes abstraits et figuratifs, la danseuse et chorégraphe Soa Ratsifandrihana se nourrit de son récit diasporique et de ses origines malgaches pour nous raconter une histoire qu’elle aurait aimé entendre ou voir enfant. Récits radiophoniques, musicaux et chorégraphiques s’entremêlent dans une performance entre l’oralité et le mouvement pour nous rappeler que les corps, au même titre que les paroles ou les sons, portent nos histoires. Ratsifandrihana – précédemment remarquée en tant que danseuse de Rosas dans la nouvelle version de Fase – s’est inspirée de paroles et récits qu’elle a recueillis lors d’un voyage récent à Madagascar. Entourée du guitariste Joël Rabesolo et des performeur·euses Audrey Merilus et Stanley Ollivier, elle voyage vers une forme d’errance et explore comment, à l’image de la créolisation, plusieurs influences peuvent mener à un éclatement inouï de cultures. Tout comme le changement d’accentuation entre « fampitaha », « fampita » et « fampitàna » fait évoluer le sens du mot, les danseur·euses glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle métamorphose.
    Lieu
    Théâtre Varia
    Rue du Sceptre, 78
    1050 Ixelles
    Tél : +32 2 640 82 58
    Réservation : +32 2 640 35 50
    reservation@varia.be
    http://www.varia.be