Evénements du 2 avril 2022
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Dans l’engrenage
31.03.2022 > 02.04.2022
Trouver une place, aussi fragile soit-elle. Se battre pour y arriver, pour la garder. Jouer des règles pour se maintenir quitte à transgresser. Ils croient en un meilleur, s’engagent envers et contre tous. Ils se battent. Pris dans l’engrenage, ils se confondent, se fondent à nouveau dans la masse. Pour combien de temps ? -
Hope hunt and the ascension into lazarus
31.03.2022 > 02.04.2022
Une voiture attend, phares allumés et musique puissante. Un homme – interprété par la danseuse et chorégraphe Oona Doherty – s'extirpe de ce bouclier de métal et s'empare des attitudes et gestes souvent provocateurs des jeunes de Belfast. Par la parole, le mouvement, les sons, il tord et déforme une certaine idée de la masculinité. Par cette tentative de déconstruction des stéréotypes, le chasseur nous emmène dans sa quête d'espoir. -
Ceci n’est pas une femme blanche
31.03.2022 > 02.04.2022
L’identité nous est donnée malgré nous, dès la naissance, et puis, peu à peu, nous nous l'approprions. Ainsi on devient "je" pour la façonner, la détourner, la détruire ou simplement l’accepter. Mais avons-nous réellement le pouvoir de choisir ? Ceci n'est pas une femme blanche est un solo, une invitation à revenir à la nature des choses, à l’essence de nous-mêmes, faite de chairs et de muscles. -
Buddy body
31.03.2022 > 02.04.2022
Un soir, il y a 11 ans, j’ai croisé́ une femme nue au milieu de la foule. Ce que ça a généré s’est traduit par une collaboration inédite entre plasticiennes, créatrice sonore, dj et interprètes. Buddy Body est le journal de bord d’une femme qui cherche à comprendre les possibles déploiement du corps. Les témoignages et pensées réflexives se formulent entre jeu et morceaux obsédants qui constituent autant un partage des savoirs et des expériences qu’une matière à danser. -
Trajectoires
31.03.2022 > 02.04.2022
La performance Trajectoires cristallise la rencontre du chorégraphe Julien Carlier avec la guitariste classique Gaëlle Solal. Les deux interprètes explorent les moyens organiques et spontanés de se connecter à distance l’un à l’autre. Ils se prêtent au jeu des chemins labyrinthiques leurs disciplines respectives : de l’interprétation d’un prélude de Bach à la guitare et l’entremêlement de gestes en tension. -
Plastic Heroes
31.03.2022 > 02.04.2022
Désir, violence, sexe, haine et peur, Plastic Heroes raconte la guerre dans toute son horreur, en donnant vie à de naïfs jouets. L'innocence de l'enfant qui joue rencontre la violence du monde adulte. Combinant habillement manipulation d'objets et jeu d'acteur, Plastic Heroes parvient à être à la fois drôle et douloureux, à traiter de questions difficiles tout en nous offrant un spectacle de marionnettes débridé et rafraîchissant. -
Carré de Je
31.03.2022 > 02.04.2022
Carré de Je est un hymne à la complicité, à l’union fraternelle. Dans un espace simple et brut, se retrouvent deux frères. Cohabitant, ils se confrontent l’un à l’autre dans un jeu acrobatique déroutant, les amenant à se retrouver seul ou dans une grande harmonie. Un univers plein d’imaginaire, dans lequel confusion et connexion s’entrecroisent jusqu’à semer le trouble. -
Mode majeur de la fugue
31.03.2022 > 02.04.2022
Martine, agricultrice depuis cinquante ans, travaille dur sans loisirs ni repos. Un jour, une voix à la radio ravive ses rêves et sa sensibilité. Mode majeur de la fugue nous livre une expérience acoustique construite à partir du témoignage de cette femme en lutte avec sa condition. -
Le Condamné À Mort – Genet – Hugo – Genet
31.03.2022 > 09.04.2022
« On peut se demander pourquoi les cours condamnent un assassin si beau qu’il fait pâlir le jour » (J.Genet). Victor Hugo et Jean Genet associés dans un seul spectacle. Association incarnée par une éblouissante Carmela Locantore. Création. -
Chroniques martiennes
31.03.2022 > 02.04.2022
Succession d’histoires aussi intimes que surréalistes, les Chroniques Martiennes s’étalent dans le temps comme s’étale la conquête d’une terre promise. Certains y commencent une vie, d’autres fuient la leur. Sofia Betz et la Compagnie Dérivation adaptent et s’approprient sauvagement le roman de Ray Bradbury, dans une esthétique décalée et un humour noir qui questionnent la place de l’absurdité dans la nature humaine.